AVIS Revalenta du Barry. A. Decttièvre CANADA EDMOND CASIER - YGODT, La Banque de Courirai, suceur sale d'Ypres,a l'honneur d'infor mer Messieurs les porteurs de lots de la ville d'Anvers Emprunt 1887 qu'elle se chargera, dater du 1 1 Jan vier courant de l'opération d'échange de ces titres CON TRE DES LOTS NOUVEAUX du dit Emprunt. La lin de l'aventure. Chaque pays, sa carte. Concours International Bibliographie. Bitte que et Recouvremeii l. Ac fuit et H eu le de È'outfs publics Échauffe de coupous f ou ver ni ou et Piouscriptiou Délivrance m*r tous pops Y B» SB E S. AVIS IMPORTANT. Les plus belles Icitcs a froineiil de l'Ouest Canadien Prix raisonnables Termes de paiements faciles. Climat sain. Pluies abondantes. Bonne eau. Taxes et contributions légères. YPRES M. Al El ER, chirurgien - dentiste - spé cialiste de Cou rirai, est consultera YPRES, com me par le passé, trois jours par semaine Les LundisJeudis et Samedis de 9 h. midi, chez Mme Van Kemmel, Grande- Place, 5. Maladies de la bouche. Dents artificielles 5 fr. Dentiers complets de puis 100 fr. garanties pour la vie. P( a 1 S tzl S H I 3 Sur l'impôt de 4 p c sur les valeurs mobilières 332.500 fr. les sels, 197,000 fr. les suerez. 79.400 francs Il y a moins-value sur le timbre, 3,859,500"francs l'impôt sur les opé rations ;e bourse, 94,000 fr. les doua nes, les huiles minérales 649,000 fr. les postes, 947.100 fr. Par rapport aux recouvrements du mois de Décembre 1906, il y a augmen tation sur L'impôt Je 4 p c sur les valeurs mobilières, 31,000 fr. les douanes, 1.0 5,000 fr. les huiles minérales, 56,000 fr. les sels, 137,000 francs les sucres, 2,312.000 fr Il y a diminution sur lie timbre, 81 500 fr l'impôt sur les opérations de bourse, 209,500 fr. les postes, 115,300 francs. En quelles circonstances précises s'est ter miné le procèsou plutôt le bluff, Bruce-Portland. La. der nière espérance du demandeur. Voici exactement ce qui s'est passé en ce qui concerne la fin de l'affaire Portland, dont on a reçu hier la nou velle succincte Samedi dernier, aprè3 nne délibéra tion de plusieurs heures, les avocats de George Hollamby Druce avaient fait entendre de vagues menaces après tout, le cadavre exhumé n'était peut- être pas celui de T. G. Druce; com ment la barbe patriarcale que portait celui-ci sur sou lit de mort avait-elle pu «e changer en favoris découvrant le menton Un moyen de convaincre Herbert Druce île parjure et même do substitu tion de cadavre allait peut être être trouvé. De cette humeur batailleuse, rien n'a percé devant le juge Plowen, Glarkenweil. Le magistrat avait sus pendu, le 20 Décembre dernier, les débats du procès de parjure, pour lais ser aux fonctionnaires du Home Office lesoin d'ouvrir le monument de High- gate Oemetery. Ces fonctionnaires sont venus aujourd'hui lui faire leur rap port. L'entrepreneur Sigers a affirmé que, dans ['.intérieur du tombeau, aucune trace de fracture, de pierre descellée, n'a pu être relevée le docteur Pepper a ensuite décrit le cadavre conservé ce point que rien n'était plus simple que de l'identifier avec la photographie du défunt les cheveux étaient exacte ment divisés, comme si la dernière toi lette avait été faite hier le menton n'était point rasé, comme on l'a dit, mais couvert d'une barbe broussailleu se largement épandue sur les joues. Seules, les parties basses du corps étaient en état de décomposition, vu la nature de la maladie laquelle T.-G. Druce a succombé. Le docteur Pepper a identifié le cadavre l'aide d'une photographie, et M. William Thackrah qui, durant quatre années, fut l'em ployé de T. G Druce, l a identifié l'aide de ses souvenirs sans l'ombre d'un doute, il a reconnu son ancien patron dans le corps rappelé la lu mière. En présence d'affirmations si préci ses, M. Atherley Jones n'avait qu'un parti prendre capituler. Il a décla ré abandonner, au nom de George Hol lamby Druce, l'accusation de faux té moignage portée contre Herbert Druce. Prenant alors la parole, le juge Plowden a tiré la conclusion de ces longs débats Désormais, les romans dont on 3 chargé la mémoire du duc de Portland sont évanouis. George Hollamby Druce abandonne l'action criminelle et pour le salut de sa cause, place sa confiance dans les tribunaux civils. Avec quel front soucieux ne doit-il pas aborder la lutte Il lui faut au jourd'hui, en tenant tête toute une armée de chicaneurs, prouver 1° Que le Druce, marié en 1816, Elisabeth Grickmere (dont il est soi di sant issu) est lori John Bentinck, plus tard titulaire du duché de Portland 2° Que ce Druce n'est nullement le T. G. Druce de Baker etreet, dont la personnalité indépendante est aujour d'hui prouvée. Ce travail deman ie le génie de la patience de l'hypothèse et de la chi cane. Si George Hollamby Druce réu nit les qualités nécessaires au triomphe de sa cause, le duché de Portland peut lui être offert titre de récompense nationale. Des actionnaires de la Druce Limited Company vont toutefois se réunir sous peu, pour savoir si, leurs frais, pareille carrière doit être ouverte aux efforts du prétendant. Il faut revenir sur la carte de visite. Cela s'impose la 3eule pensée que, dans le monde entier et propos du Jour de l'An, on en échange six cents millions. C'est la fortune principale ment des Etats, chaque carte suppo sant un timbre de cinq centimes. Les Chinois prétendent se servir des cartes de visite depui- Coufucius c'est-à-dire cinq ceuts ans avant Jésus Christ. Mais remonter si haut n'entraîne aucu ne gloire. La carte de visite n'a, en effet, qu'une importance relative. Mais l'importance y est tout de même. L«s sauvages du Dahomey ont leurs cartes. Ils s'annoncent, en effet, mu tuellement leurs visites au moyen d'une planchette de bois ou d'une branche d'arbre sculptée avec art Le visiteur se fait précéder par ces objets, qu'il reprend lors de son départ. Les natu rels de Sumatra out une carte de visite qui est un morceau de bois d'environ trente centimètres de longueur, orné d'un nœud en paille et d'un couteau. Nou8somme8 loin du bristol. SANTÉTrOtS»^ sans purge et sans frais, par la délicieuse farine de santé, la Elle guérit les constipaiions habituelles les plus rebelles, dyspepsies, gastrites, gastral gies, dysenterie, glaires, aigreurs, acidités, pi tuites, nausées, renvois, vomissements, diar rhée, coliques, loux, asthme,catarrhe, influen- z;i, grippe, hronciiue, oppression, congestion, névrose, faiblesse, épuisement, anémie, chlo rose, rhumatisme, goutte, tous désordres de la vessie, foie, reins, intestins et sang. Pour les convalescents, c'est la nourri ture par excellence, l'aliment indispensable pour réparer les forces épuisées par l'âge, le travail ou les excès. Elle est aussi le meilleur aliment pour élever les enfants, qui la pren nent avec plaisir quand toute autre nourriture leur répugne. M. le 11' Elmslie écrit ce sujet Votre Revalenta vaut son pesant d'or Extrait d'une lettre de M. DÉ DÉ. chimiste, Paris ...Ce qui m'étonne le plus, c'est sa hien- faisante influence sur les organes digestifs, sa propriété de complète assimilation au corps humain de bien nourrir et développer l'al- pétit, et surtout d'assainir et rajeunir le sang Ce qui en faitun bienfait vraiment divin, c'est d'augmenter et bonifier le lait des nourrices. Son adoption générale dans les hôpitaux se- rail désirer. Toutes les drogues^du monde sont distancées par les propriétés cTiratives de la Revalenta En boites de 2 fr. 30, 4 fr. 30, 7 fr. 73, 17 fr. 50 6 kilos, 40 francs Soit environ 10 c. le repas. Envoi franco contre mandat- poste M. KALCKER WIELEUANS, 2. rue, Rouppe, Bruxelles chez tous les bons phar maciens et épiciers. Ypres. Libotte, pharm Deliouck, pharm. Gaimant, pharm. de Chant d'Ensemble et de Choral-Mixte A ANVERS. A l'occasion des fêtes du centenaire de la naissance d'ALBERT Grisar, com positeur anversois, l'Administration communale d'Anvers organise avec le concours des sociétés Les Disciples de Grisar et La Wallonie s un grand concours international de chant d'en semble et de choral-mixte, qui aura lieu les Dimanche 9, Samedi 15, Dimanche 16 Août 1908. Une somme dé 16000 francs et plu sieurs objets d'art sont alloués pour les prix de ce tournoi auquel toutes les sociétés belges et étrangères sont invi tées participer. Pour les renseignements s'adresser an secrétaire général du Comité orga nisateur Monsieur Ad WITTEVRONGHEL. Avenue du Peuple. 19. On lira dans Le Ralliement de cette semaine nne joyeuse silhouette parle mentaire, due la plume incisive de Gobseck, croquant sur le vif deux sénateurs cléricaux qui se distinguè rent récemment par leur rare éloquence dans la discussion des budgets Ce numéro du Ralliementqui pré sente un intérêt particulier, contient également un article signé de M. Emile Buisseï, concernant la question des croix sur les corbillards, des articles très remarquables de M. François Rosseels sur le Congo, de Fernand Bouché sur l'Enseignement, etc. Les dames trouveront dans ce nu méro un fort bon article sur la Mode en Janvier. Voici le sommaire de ce numéro La semaine politique. La liberté de conscience et les cérémonies funè bres. Emile Buisset. Questions d'enseignement. Ferd. Bouché. L'actif du Congo. François Rosseels. Silhouettes parlementaires. Gob seck. Courrier des théâtres. Dans les Balkhans, Georges Lorand. La modo de Janvier La Petite Marquise. Propos hebdomadaires. M. S. Le Ralliement est en vente dans fout le pays au prix de 10 centimes le numéro. On s'abonne tous les bureaux de poste et aux facteurs en tournée raison de fr. 2.50 par semestre. (Etranger, fr. 3.50) tous emprunts Belges et étrangers. de lettres de crédit, traitesetchèques. A vances de fonds. Dépôt de fonds. Comptes - courants de Dépôts de fonds avec carnet de chèques 8h. rue de SfiCBiiia. 15 S <N C O a- O 1 liaison fï»fi»*icc en g s 1873- Kù C*> Vérification des tirages de titres remboursables. L(is listes qui me sont présentées doivent être dressées par ordre numé rique. Le bureau est ouvert de 912 7zres matin. situées dans les meilleurs districts proximité d'écoles, d'églises et de chemins de fer. Pour tous détails s'adresser la C1'' Im mobilière et Agricole du Canada (Land and Agricultural Cy of Canada) 11, Place Léopold, Anvers, ou 216 Portage Avenue Winnipeg (Manitoba). (On demande de bons Agents dans les principaux centres agricoles belges). dTÏFîlDlNlER, rue de IHxmurie, n° 33, a l'honneur de porter la connaisance de3 habitants d'Ypres et des environs, qu'il se charge des projets, des change ments et de l'entretien des jardins et serres, ainsi que pour l'ébranchage des arbres fruitiers et d'ornement des conditions très avantageuses. Tous ces travaux peuvent se faire par entreprise ou par journée. I e café avait un mauvais g ût ce malin Quoi d'é tonnant si vous n'employez pas la CHlCOHEE F. C. JiCOBS. De même que l'or est le plus pur de tous les métaux, le SUNLIGHT SAVON est le plus pur de tous les savons. Pour la blanchisserie, le bain, la cuisine, le mé nage, partout il est sans rival. État-Civil d'Ypres Déclarations du 3 au 10 Janvier 1908. Naissances Didier, Norbert, rue de Menin. Doolaeghe, Berthe, rue de Terre. Gottegnie, Gérard, Kalfvaart. Van- demoortel, Arsène, rue du Temple. -- Deleye, Adrienne, chaussée de Zonne- beke. Vandemarliere, Raoul, rue de Lille. Décès Verhack, Alfred, 77 ans, sans pro fession, célibataire, rue de Lille. Page, Maximilieone, 81 ans, sans pro fession, veuve de Lebecq, Paul, chauB- sée de Poperinghe. Roussel, Noémi, 46 ans, sans profession, célibataire, chaussée de Poperinghe. Decrée, Antoinette, 24an3, sans profession, cé libataire, chaussée de Poperinghe. Tegethoff, Auguste, 17 an9, tailleur, rue du Lombard. Bourgeois, Amélie, 85 ans, sans profession, célibataire, chaussée de Poperinghe. Lecocq, Marie, 78 ans, sans profession, céliba taire, rue Gourte de Thourout. Rom- mens, Amélie, 67 ans, cabaretière, veuve de David, Gharles. rue Gourtedu Marais. Hollebeke, Henri, 52 ans, ouvrier au chemin de fer, époux de Lelong, Marie, rue de Terre. 03 D ÎH l* 'd o A o u X t/i X X -O VJ a> x o O X S 'E ti. X -3 S) 'X OC 5- a y. r e k a c X S CL x 5 s i csa ■jZ -f- c— 5 z w •p M S X I O ooooooooo o s: o o o o r. T-CîCiOOOOCC <3-1 -H o O CO co ooooooooo ooooooooo ooiCfcoooo©* «■1 o O Ci G* o o o o o o o o o o o o oo Ci p o h ed g z: c z 2 Cj2 OJ M s «"S. -r. -g <o Z S «77 a «- S 5- JE 3 s S S 2Z t-a)> -„r z

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Le Progrès (1841-1914) | 1908 | | pagina 3