a»®3 FOUR 11 U 0 LS Pharmacie ouverte, AUTOMOBILES. gbis 4^ rue au Beurre, YPRES. VÊTEMENTS FOURRURE REPOS DOMINICAL État-Civil d'Ypres. scandaleuse, chargent de façon igno ble les opéras-boutfes ultra-légers qui constituent le répertoire de ces spec tacles de famille Langue étrangère laquelle Nous ne sachons qu'on joue autre chose que des pièces françaises. Voyons, serait-il possible que cette langueétrangère qu'on vise soit la française Mais n'est-ce pas la langue véhiculaire la seule qu'emploient dans notre petite Belgique, les quelques sept millions d'habitants auxquels leurs trois patois usuels, dérivant du flamand, du fran çais et de l'allemand, ne peuvent sufQr se faire comprendre Pour peu que le Journal ajoute et du Vlaamsche Ster nous tombons d'accord. Pourquoi il nous faut un théâtre Mais, parce que c'est le nec plus ultra des endroits où l'on se délasse, où l'on s'instruit, où l'on peut admirer tout ce que la littérature française a d'admira ble. Parce que nous estimons qu'il ne suffit pas que nos jeunes gens aient des mollets puissants et des biceps ro bustes, et qu'à la santé du corps on peut bien, malgré tout, adjoindre un peu de savoir-vivre, un peu de con naissance du monde, dont la morale et la vertu n'ont nullement s'alarmer. Qu'on nous dote donc d'un théâtre. Qu'on nous accorde, pour contenter tout le monde, et le Journal, un hippo drome, un skating, un tennis, etc., etcNous applaudirons de bon cœur la création de tous ces lieux de divertissement. Quant au tir pigeons qu'il n'en soit pas question. Tout en n'étant pas affilié la Société protectrice des ani maux, nous protestons contre le sport barbare où des hommes sans cœur massacrent cruellement de pauvres colombes inoffensives,et nous croyons que nos tireurs trouveraient faire un usage plus agréable et plus utile de leur adresse, si on les gratifia du STAND que les citoyens prévoyants, soucieux de la défense efficace de notre Patrie, réclament grands cris comme une nécessité primordiale. Pardon. Qu'on donne un local plus confortable, où l'on a la certitude de pouvoir se caser au moins convena blement, et l'on verra que ce qui re tient aujourd'hui loin de notre scène municipale, quantité de nos conci toyens, ce n'est ni la fièvre des sports nouveaux, ni la décadence du théâtre vieux-systèmeD'ailleurs, plus Taffluence sera grande, et plus les troupes exploitantes seront môme de réduire le prix des places qui, de ce fait, deviendront accessibles toutes les bourses. Terminons, enfin, en disant que le théâtre sera ou restauré ou recon struit, que le Journal le veuille ou non. Il suffit, pour s'en convaincre, de con stater avec quelle ardeur, quelle téna cité deux Conseillers communaux deux habitués assidus de nos repré sentations ont pris cœur de faire aboutir un projet que de nombreux Yprois sont impatients voir se réa liser. Souhaitons que ce soit bientôt Le Conseil communal de notre ville se réunira Lundi soir, 5 heures. Voici les objets qui figurent son ordre du jour 1. Ecole industrielle budget 1910. 2. Finances communales budget 1910. Nous donnerons le compte-rendu de cette séance dans notre prochain nu méro. MAISON DE CONFIANCE FONDÉE EN 1842. •o m Grand choix de Skunks.Renards, Martres, Astrakan, Caracul, Hermine, Petit-GrisCastor, Loutre, Mongolie, Vison, Murmel, Putois. Fouine. Vente de Peaux pour vêtements elles sont coupées sur patronsuivant la demande. Toutes les fourrures peuvent être changées de forme et réparées sans recourir des intermédiaires Seule maison faisant l apprêt, la confection, le lustrage et nettoyage des peaux. Conservation et entretien des fourrures pendant l'été. COIFFUKE FT LOQUES POUR DAMES ET ENFANTS CHAPELLERIE DE LUXE ET ORDINAIRE Nouveautés pour erf.iEils (Ihapeaiix pour Prêtres. Articles pour militaires, sociétés et administrations, li» liaison n'a aucune* succursale en ville. MM. Colaert et Van Merris, TifTTiTTW—fi i wnw ■i—iainiMW mm—m Travaux de pavage. Le 15 de ce mois la ville a fait commencer le pavage de la rue Car ton et le redressement deses trottoirs. Ce travailest exécuté paréconomie (oh combien ou autrement dit en journées, par des hommes du K. Volkshuis. Nous nous demandons et le public avec nous, si le moment, en plein hiver, est bien choisi, pour faire ce pavage dans de bonnes conditions Pourquoi aussi n'a-t-on pas mis en adjudication publique un travail de cette importance comme on le fait partout ailleurs Il aurait été mieux exécuté, plus vite achevé' et eut coûté beaucoup moins. Le public pourra donc constater une fois de plus la différence qu'il y a entre la manière de travailler des ouvriers de la ville qui sont souvent abandonnés eux mêmes, et celle des paveurs diligents employés par la direction des ponts et chaussées qu'on a vu l'œuvre dans les rues de Lille, de Dixmude et autres, sous la surveillance d'un cantonnier. Les Usines RANHARD LE- VASSOR, ne prenant part au cune exposition cet hiver, prière de demander les nouveaux tarifs l'agence officielle belge, 14 rue du Magistrat, Bruxelles. Nous avons reçu de l'Hôtel-de- Ville la proclamation suivante ALBERT I POEERlNGHE. Directeur M. E. VAN ELSLANDE. Répétition-C oncert 1. Marche militaire, E. Vari Elslande. 2. Cortège fleuri, morceau de concours, J.-E. Strauwen. 3. Ouverture de Tannhaûser R. Wagner. 4. Scènes Alsaciennes, J. Massenet. 5. A tes beaux yeux, valse Th. Moreaux. 0. Romulus, allegro E. Van Elslande. Vonltz-\ous une bonne chose. Où le mi01 et le nectar Sont mêles In bonne Honc Prenez l'EX&DJS PL BECJKE' AER. Vous conserverez tout votre linge blanc comme neige par l'emploi régu lier du Sunlight Savon. DE MIDI A 10 HEURES DU SOIR. Samedi Noël Décein. ÎÎIOÎ) \l A. WECIÎESSER, M. L. AERTSEXS, MM. Colaert et Yan Merris, Déclarations du 17 au 24 Déc. 1909. Naissances De Roo, Marguerite, rue des Chiens. Leen, Anna, rue de Menin. Knoc- kaert, Gustave, rue Eigeu Heerd. Ravau, Emile, VieuxMarché au Bois. Talon, Robert, rue langue de Thou- rout. Thiteca, Georges, rue du Lis Bleu. Dury, Oscar Pannenhuistraat. Maurissen, Huberte, rue d'Elver- dinghe. Wythouck, Pierre, ma,Hlde bestiaux Boesinghe, et Busschaert Marie, caba- retière, veuve de David, Louis, et Bruynooghe, Hector, Ypres. Desmidt, Clémence, 79 ans, religieu se, rue de la Boule. Dechièvre, Syl vie, 70 ans, négociante, célibataire, Place Alphonse Vandenpeereboom. Meurisse, Amédée, 73 ans, sans profes sion, veuf de Bigotte, Emilie, rue de Lille. Velghe, Camille, 1 mois, rue Jansénius. Debruyne, Jean, 77 ans, sans profession, veuf de Molein, Julien ne, rue de Dixmude. Clabeau, Rosa lie, 84 ans, sans profession, veuve de Petipas, Pierre, épouse de Hellin, Pierre, Hoornwerk. Deuly, Denise, 1 mois, rue du Lombard. Verraes, Charles, 54 ans, sans profession, époux de Vanhee, Sidonie, rue Longue de Thourout. Duprez, Julienne, 44 ans, dentellière, épouse de Knockaert Ange, rue Eigen Heerd. De Witte, Joseph, 2 ans, rue Gustave de Stuers. Wyl- lemet, Hubert, 8 mois, rue de l'Arse nal. OkOOOOOO-^ ^-oooooo©» **00 o O O O O O O ÛO O O O O O O O p-2.5 5 .s? g u Ci* C o "SV <D <D G V ce D CT Voir 8» milite (les articles la Ie page Il est surtout des scènes locales mille fois plus dignes encore d'émarger au tré- sor yprois des scènes éclairées, chauffées et outillées sans frais pour la ville des scènes où les acteursdes concitoyens de talent et de moralité connue ne met- tent en honneur ni une langue étrangère, ni des mœurs plus étrangères encore. Si la ville éprouve le besoin de construi- re un théâtre au profit des troupes exoti- ques, qu'elle subsidie chacune des repré- sentations dramatiques de Willen is Kunnen «Pourquoi faut-il que la ville ait son théâtre A-t-elle son hippodrome, son vélodro- me, son tir pigeons, son skating, son tennis, etc., etc. Et plusieurs de ces in- stallations-là ne peuvent-elles pas invo- quer le perfectionnement de l'homme, son délassement et sa santé, même morale, avec plus de raisons que le théâtre Et contre un bourgeois même et dési- reux de se payer le plaisir du théâtre, n'y en a-t-il pas cent qui préfèrent d'au- très plaisirs, d'ailleurs, plus accessibles leur bourse représentants catholiques d'Ypres et de l'arrondissement ont voté contre la suppression du tirage au sort, l'abolition du remplacement, la réduction du temps de service. Chers Concitoyens-! Nous venons d'assister la prestation de serment du ROI. monte sur le trône, entouré de l'affection et du respect de son peuple. Comme ses illustres prédécesseurs, le nou veau ROI ne fera pas de distinction entre les Belges. Comme Eux, Il saura maintenir notre, Indépendance. Comme Eux, Il aimera passionnément nos institutions et nos libertés. Ccmme Eux, Il travaillera de toutes ses forces au bonheur et la prospérité du pays. Saluons son avènement comme de bons et loyaux sujets Jurons amour et fidélité nos Souverains ALBERT et ELISABETH VIVE LE ROI! VIVE LA REINE! Dieu protège la Belgique Le Bourgmestre d'Ypres, R. COLAERT. Bruxelles, le 23 Décembre 1909. Tous ceux qui font leur café au filtre emploient la chicorée en grain Perle d'Or des Trappistes Vincart c'est la meil leure. I En vente dans toutes les maisons Delhaize. Société Philharmonique. du Si Décembre 1909. P R 0 G R A M M E Instructions avec chaque brique. RUE DE DIXMUDE. n° 68. I PRES. Dimanche iî<> Déeem. 19()î) MARCHÉ A U BEURRE n? 9 YPRES Le Dentiste II. IILILIl a l'hon neur d'informer «a nombreuse clientèle qu'il ne pourra plu* <*e rendre IMIO VISOIIt LMIAT Ypres pour y être consulté et qu'il n'y sera remplace par per sonne. Le* client* qui auraient cependant le «lésir de consulter II. Ileier *ont prié* de *e rendre sa maison fourlrai. coin «le la rue de Iloiiseron 11 2. maison porte e«»elière, pré», de la prison. représentants catholiques d'Ypres et de l'arrondissement ont voté contre la suppression du tirage au sort, l'abolition du remplacement, la rédaction du temps de service. Mariage Décès or—oooooo <5-1 or— ooooco <3* O O O ce co oooooooo ooooooooo ce oc G <D I- (S) i- <V G V- C V G o On se charge au bureau du journal de l'impression des cartes de visite et de tous genres de travaux d'impression tant en lithographie qu'on typographie.

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Le Progrès (1841-1914) | 1909 | | pagina 3