SAVOI DADA ilNLlGif Pharmacie ouverte, i* 11 S 111 Hommage au Comité, hommage aux Dames Protrctrices et Amies de nos enfants libéraux. Hommage enfin tous ceux qui ont contribué la réussi te de cette inoubliable fête de Noël. Ce qu'il faut savoir. Les personnes nerveuses, faibles ou délicates peuvent sup porter l'usage du café, grâce l'addition par moitié, de Chicorée des Trappistes Vincart. Celles qui prennent celle-ci pure s'en trouvent encore mieux. J En vente dans toutes les maisons Delhaize. Le Stand. Le bruit court avec persistance en ville, qu'à la suite de pressantes dé marches faites par le Major de la Garde civique et par le Major du 3"" de ligne auprès du Bourgmestre d'Ypres, celui- ci aurait accepté, enfin, d'entrer en pourparlers avec le Gouvernement au sujet du projet de Stand, dressé par le Major du Génie Lemouche. Voici les bases de l'accord qui serait intervenu Projet Lemouche fr. 120,000 30,000m2 de terrain estimé 2 francs 60,000 Total fr. 180,000 Le département de l'Intérieur inter viendrait pour 1/3 et le département de la Guerre pour 1/6 dans la dépense totale, soit donc Département de l'Intérieur fr. 60,000 Id. de la Guerre 30,000 Ville d'Ypres 1° Apport du terrain 60,000 2° Espèces 30,000 Total fr. 180,000 L'établissement entier appartiendrait exclusivement la ville,, moyennant un débours de 30,000 francs, ce qui lui ferait de jolies étrennes pour 1910. MM. Colaert et Van Merris, représentants catholiques d'Ypres et de l'arrondissement ont voté contre la suppression du tirage au sort, l'abolition du remplacement la réduction du temps de service. Une brute. Samedi matin, vers 6 heures, le nommé Casteieyn Georges, scandaleu sement ivre, est allé sonner la porte de la prison de notre ville. Le portier ayant ouvert et demandé Casteieyn l'objet de sa visite, ce dernier s'est mis l'injurier et le frapper, tout en ré clamant la mise en liberté d'un de ses camarades. Le gardien parvint avec beaucoup de peine se débarrasser de la brute et l'expulser. Casteieyn se mit alors heurter la porte, des mains et des pieds, tout en hurlant et vocifé rant comme un possédé. Entretemps deux sœurs de la prison rentrèrent de la messe et voulurent pénétrer dans l'établissement. L'ivrogne les attaqua aussitôt, les injuriant etdôchirant leurs voiles et leurs robes. La police, qu'on était allô prévenir arriva peu après et l'ivrogne fut conduit au bureau où on l'a enfermé dans l'amigo. I EXyOIS DE BUEKELAEK* Bagarres. D .nanche soir, vers 7 1/2 h., les rvtnmés fcriem Cyrille et Beekaert Jé rôme, tous deux journaliers en notre ville, se trouvaient dans le cabaret du nommé Arthur Lacroix, rue de Lille, en état d'ivresse. Comme ils cher chaient des difficultés aux autres con sommateurs deux d'entre ces derniers résolurent de les mettre la porte, la cabaretière étant absente. Mal leur en prit, car Priera tira son couteau et en frappa un certain René Gadeyne, lui faisant ainsi une blessure de 3 centi mètres de longueur, par laquelle il a perdu beaucoup de sang. Les ivrognes s'emparèrent alors de nombreux ver res bière, qu'ils brisèrent sur le pave ment et contre les murs du cabaret. On parvint alors les expulser, mais aussitôt tous les carreaux de vitre de la façade du cabaret volèrent en éclats. Les deux individus, Priem et Beekaert avaient soustrait et caché dans leurs poches plusieurs verres bière et, arrivés dans la rue, les avaient lancés travers les fenêtres. On courut pré venir la police, mais les deux coupa bles avaient déjà pris la fuite, l'arri vée des agents. Le même soir, vers 10 heures, la nommée Louise Leleu, demeurant en notre ville, rue Basse, a été attaquée et brutalement maltraitée par un certain Jules Jacobs. Celui-ci l'a rouée de coups, lui a arraché les cheveux et dé chiré ses vêtements, tout eu proférant de terribles menaces l'adresse de la famille Leleu. Uu coup (le lusil dans une fenêtre. Mardi soir, vers 9 heures, un coup de fusil a été tiré dans, une fenêtre du cabaret De Voerman occupé par la veuve Dhooghe, en notre ville, Porte de Lille, n'ayant heureusement eu pour conséquence, que le bris d'un carreau de vitre. On a retrouvé dans la salle de l'estaminet une balle de gros calibre. Jusque maintenant on n'a pu retrouver l'auteur de ce stupide méfait. On se rappelle que le tenancier du même cabaret De Voerman le sieur Henri Dhooghe, fut tué dans des cir constances tragiques, devant la porte de son établissement, il y a quelques années, par un certain Monnet. Société des Francs Arbalétriers. Tir du 27 Décembre 1909. Au Cekcle Haut total Vandaele. Bas total Podevyn. Société de Garde-civiques. Tir Réduit du 23 Décembre 1909. Salomé A. 25 20 20 25 20 Dehollander H. 15 20 20 20 25 Gruwez A. 20 20 15 20 20 Vandevyver A. 20 10 15 25 20 Verineulen R. 15 20 10 20 20 Fol J. 10 15 25 15 20 Bartier E. 15 15 20 15 20 Vantholl 11. 20 20 15 15 15 Verineulen H. 10 20 20 10 20 Pintelon M. 25 15 15 10 15 M essines. Vol avt'C effrtictloii. La nuit de Dimanche Lundi des voleurs se sont introduits l'aide d'ef fraction chez M. Louis Deduytschaeve, boutiquier Messines. Les malfaiteurs ont pénétré dans le magasin, en cou pant un grand carreau de la porte vi trée et en passant par cette ouverture. Ils ont fracturé le tiroir du comptoir et un pupitre, qui ne contenaient heureu sement, que quelques pièces en mon naie, M. Deduytschaeve ayant l'excel lente habitude de vider ses tiroirs le soir. Les voleurs ont parcouru d'autres pièces de l'habitation et ne trouvant pas ce qu'ils désiraient se sont bornés emparer quelques pièces d'étoffe, qui ont été retrouvés le lendemain dans les jardins l'Institut Royal, si tués une légère distance de la demeu re Deduytschaeve. Vers 4 h. du matin, la servante avait entendu la sonnerie électrique mais croyant ses raaitres déjà levés, n'attacha que peu d'im portance cet incident. On suppose que les malfaiteurs auront heurté les fils et au bruit de la sonnerie, auront pris la fuite. Les portes et volets portent la trace d'un grand ciseau froid, mais ont résisté aux tentatives pour en faire sauter les serrures et c'est grâce ces circonstances fortuites que les voleurs n'ont pu réussir complètement dans leur entreprise. On ri'a pas de soupçons. La gendar merie procède une enquête. Wervicq. ne sont autres que des amateurs de pigeons voyageurs, jaloux du succès de Ghesquière. Le Dentiste D. DLIl.lt a l'hon neur d'informer sa nombreuse elienlèle qu'il ne pourra pins se rendre PROYISOIIUAILYI Ypres pour y être eonsnlté et qu'il n'y sera remplacé par per sonne. Les clients qui auraient cependant le désir de consulter M. >1 eier sont priés de se rendre sa maison Courtrai. coin «le la rue de Moiiseron n maison porte coeliérc, prés de la prison. Zillebeke. Une ieuiie fille qui se noie. Mardi dernier, vers I heures de l'après-midi, la nommée Marie Leplat, âgée de 17 ans, tille de Charles Leplat- De Groote, fermier Zillebeke s'est noyée en voulant puiser de l'eau dans un puits une vingtaine de mètres de la ferme. Une planche s'avance au- dessus de l'eau du puits et une perche fait office de rampe. La jeune fille était infirme elle avait toute une partie du corps paralysée. On suppose qu'en se courbant pour battre de l'eau, la main infirme aura lâché la perche ce qui aura fait perdre l'équilibre la jeune fille. C'est la mère Leplat qui, ne la voyant par revenir, fui aussitôt prise de tristes pressentiments courut au puits. Elle vit le seau et les sabots de la jeune Marie, flottant sur l'eau. Elle ap pela aussitôt son mari et les autres habitants de la ferme. Après plusieurs sondages, on parvint enfin retrouver la malheureuse jeune fille, mais celle- ci ne put être rappelée la vie. Le se cours était arrivé trop tard. Le désespoir des parents est na vrant. Un vol «le voyageurs. La nuit de Mercredi Jeudi, des vo leurs se sont introduits dans le pigeon nier du sieur Remi Ghesquière, culti vateur Wervicq, hameau Amerika et lui ont volé une douzaine de pigeons voyageurs de grande valeur. Le pigeonnier est situé au devant d'un hangar situé tout près de l'habi tation et dans lequel dorment de nom- breuses poules, que les voleurs n'ont pas dérangées. On croit que. ceux-ci 1 GUtRISON Oc L'ALCQOLIGIVlL. L'IVROGNERIE S'EXISTE PLUS. On éch^utillou de ce merveilleux Coza est envoyé gratis. 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Vercruys- se, Edouard, rue des Boudeurs. Hoorel- beke, Joseph, rue des Chiens. Ver- meersch, Louis, rue Longue du Marais. Werrebrouck, Flavie, rue Nazareth. Ver- minck, Anne, rue Basse. Mariage Desaegher, Raymond, ouvrier agricole, et Lecleer, Anne, sans profession, tous deux Ypres. Décès Devos, Alixe, 30 ans, dentellière, épouse de Cornelis, Victor, Zaalhof. Vangeen- berghe, Charles, 74 ans, cabaretier, époux de Lams, Marie, Place Alphonse Vanden- peereboom. Croigny, Sophie, 80 ans, sans profession, célibataire, rue St Jacques. Coppens, Hélène, 45 ans, dentellière, épouse de Descamp, Louis, rue de Menin. Vanleene, Albertine, 19 ans, dentellière, célibataire, chaussée de Zonnebeke. c? 130 2 Si£ CG x X <X> L, 2 3 a .2 a<05 v <8 01 3 -J1 Sis o •2 c E §.2| D O" A ai O 3 V} v -~Z a a-™ 3 3 2? H -2 2 o o c •I o o w V (J I 'M C/J <5 p

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Le Progrès (1841-1914) | 1910 | | pagina 3