Pharmacie ouverte, jolies SUN LIE Ht A d'Extension Universitaire REPOS DOMINICAL 11. F. G AIMANT, CEBCLE I) ÉTUDES Pour être TUBES COLONIAL, Colonial Rubber plutôt que d'expirer dans les bras de son amant et .Martin qui tint fort bien le rôle de la sorcière, MM. Berger qui fut un Vincent passablement sentimen tal, Yillaret un Ourias passionné et brutal, et Ricard un Ramon autoritaire et impitoyable, le public habituel a déserté ce jour-là notre salle de Spec tacle. Tant il est vrai que même les plus belles choses Unissent par lasser. Car la cause de cette désertion n'est pas longue trouver c'est que, depuis quelque temps, la troupe de Tournai s'obstine nous servir des pièces re présentées Ypres déjà plusieurs reprises. Certes, il est des œuvreset Mireille en est qu'on ne revoit jamais sans plaisir mais le public, qui est friand de nouveautés, n'y trouve pas son compte. Et voilà comment on explique pour quoi les malheureux artistes de Tour nai, quelque bons qu'ils soient, n'ont pas obtenu, Mardi soir, le succèsauquel les Yprois les ont habitués. Que la Direction en prenne acte. Thalie. MM. Colaert et Van Merris, Société des Francs Arbalétriers. Aux Oiseaux. lr oiseau Deweerdt Ch. 2e oiseslu Thirifays X. Société de Garde-civiques. 18 Tireurs. Masschelein A. 25 15 25 20 25 110 Libois R. 15 15 20 25 25 100 Hamendt 20 25 20 15 20 L00 Vandevyver A. 15 20 20 20 20 95 Vermeulen H. 20 5 20 20 25 95 Salomé A. 25 20 15 15 15 90 Burgho 15 10 10 25 20 80 Un homme écrasé par le tram. Samedi soir, vers 8 1/2 heures, le tram de Furnes était arrivé hauteur du Vélodrome Ypres, lorsque le machiniste perçut tout coup un choc. Il arrêta son train et trouva le long de la voie un homme dont la tête avait été écrasée. On transporta la vic time au dépôt du tram, où elle expira au bout de quelques minutes. Le docteur Van Robaeys, appelé aussitôt, ne put que constater la mort. On trouva sur le cadavre des papiers qui permirent de l'identifier. C'est un nommé Vercruysse Hilaire, ouvrier agricole Reninghelst, âgé d'environ 3oans. On suppose que Vercruysse, se trouvant en état d'ivresse, sera tom bé sur la voie du vicinal et s'y sera en dormi, se laissant ainsi surprendre par le train. Le corps affreusement mutilé la tête, a été transporté la morgue. Le Parquet d'Ypres est descendu sur les lieux Dimanche midi. Arrestation d un voleur. Dimanche dernier, 2 Janvier, vers 2 h. de l'après-midi, M. Alphonse Grossev, tenancier du cabaret Canal situé le long de la chaussée d'Ypres Warnèton, reçut la visite d'un inconnu qui lui présenta en vente des pièces d'étotïes neuves, des prix dérisoires. Tandis que la cabaretière marchandait pour gagner du teimps, Grossev s'en fut prévenir le gaj-de-champètre de Voormezeele qui l'accompagna aussi tôt et mit la main aia collet du quidam. Interrogé sur son identité, l'individu finit par avouer qu'il s'appelait Achille Viane, natif de Poperinghe et s'être évadé du dépôt de mendicité de Merx- plas. En ce qui concerne les étoiles trouvées en sa possession, l'individu reconnut les avoir volées chez M. Emile Pick-Vandermarlière, boutiquier et cabaretier A l'Etoile, Ypres. Le fait fut reconnu exact et le voleur fut con duit la prison d'Ypres. Informai ions financières. AVIS AUX OBLIGATAIRES. CHANTIERS NAVALS, ATELIERS ET FONDERIES DE NICOLAIEFF (Rus sie). Société anonyme. - Siège social rue Dublin, 19, Bruxelles. L'administration a l'honneur de rap peler MM. les obligataires que le cou pon échu le 1" Juin 1909 sera payable aussitôt que possible après l'homolo gation du concordat actuellement en cours de procédure. En vue d'obtenir promptement cette homologation, MM. les obligataires sont donc priés d'adhérer sans retard aux propositions qui leur sont soumi ses, en déposant leur déclaration et leurs titres au siège social ou chez les banquiers de la société. Ces dépôts devront être effectués avant le 15 Janvier prochain. DE MIDI A 10 HEURES DU SOIR. Diimmche 9 Janv. 1910 Accident. Une vieille personne de l'Hospice Ste Goddeliève, nommée Mathilde Quin- tin, passait Mardi après-midi, rue de Lille, près d'une tranchée ouverte, dans la rue proximité de l'Hôtel des Postes. Trois chevaux conduits par des ordonnances de l'Ecole d'Equitation passaient côté de cette personne. Un des chevaux en se tournant toucha la vieille qui en voulant se garer tomba dans la tranchée de 2 mètres de pro fondeur. M. le docteur Devloo en la soignant a constaté qu'elle avait une contusion la cuisse droite ne présen tant aucune gravité. Boesinghe. Comines. Gheluveit. Ploe"sieeit. Bas-Wariiêlon. C1IAVIB*AGL\TE. Agent sérieux est demandé pour vente la commission d'une marque connue. Bonnes remises. On exige excellentes références. Ecrire àB.A. 327Officedepublicité,Bruxelles. Wervicq. Nu il de réveillon. ET YPRES. Cours de M. le prof. PERGAMENI Les grandes découvertes géographiques con tem pora i n es avec projections lumineuses. Savon DADA Aux conslruCleurs cl marchands de vélos. Avant de contracter pour vos be soins de la saison 1910 demandez prix et échantillons des PNEUMATIQUES (MARQUE 2 ANCRES) ET DES Durant la saison écoulée ils ont une fois de plus prouvé être les plus solides, les plus durables et les plus doux au roulement. Soc. An., Si. Quai «lu Strop, GAVD. SOOOOOGOCC <3<IOOOOOOrO 6<I T-. O O O (N ce 0000000-s-t OO2COGOOC0 ^-2000000©^ 000000^ o o o o o o co w 00 o G G o .5F§ .23 représentants catholiques d'Ypres et de l'arrondissement ont voté contre la suppression du tirage au sort, l'abolition du remplacement, la réduction du temps de service. Tir du 3 Janvier 1910. Tir au Carton du 6 Janvier 1910. A ceux qui souffrent de l'estomac. Les médecins conseillent la Chicorée des Trap pistes Vincart seule ou additionnée de lait. Son usage régulier est souverain. K RUE DE MENINn° 6. YPRES Pauvre, je me ris du richard Et dedaigue le millionnaire On m'a donné, pour me refaire. Des EXOUIS DE BEIJKELAEK Incendie. Mardi matin, vers io heures, un incendie a détruit deux maisons attenantes, occupées par les nommés Aloïse Charle et Camille Robyn, journaliers Boesinghe, hameau Piickem C'est le cultivateur Désiré Deberdt qui, travaillant sur un champ voisin, aperçut le premier les flammes qui sortaient du toit de chaume de la maison Robyn. Ayant appelé quelques autres ouvriers a son secours, De berdt courut vers les maisonnettes, mais on ne parvint sauver que quelques meubles. En peu de temps le feu s'était communiqué aux maisons entières. On suppose que l'in cendie a été occasionné par le mauvais état des cheminées. Il n'y a heureusement pas d'accidents de personnes. Le banditisme dans la région. La même nuit de Lundi Mardi, des vo leurs ont tenté de s'introduire chez M. Henri Dumortier, brasseur Comines, rue de Wervicq, en coupant un panneau de la porte d'entrée. Chez le notaire Henri Lan- noy, en la même ville, les malfaiteurs ont tenté de pénétrer dans la maison, en démas tiquant un carreau de vitre de la vérandha. Vers minuit M. Lannoy ainsi que les autres habitants furent réveillés par les aboiements furieux du chien de garde, ce qui aura, très probablement, mis les bandits en fuite. Il est presque certain que les nombreux vols et tentatives de vols qui se commettent depuis un certain temps dans la région sont l'oeuvre d'une bande organisée. Le Parquet d'Ypres s'est transporté Comines, Jeudi après-midi, pour instruire et faire les constatations sur place. La même nuit de Jeudi Vendredi, des voleurs se s*nt introduits dans le poulailler du sieur Cyrille Delahaye, cabaretier Gheluvelt et ont emporté trois coqs anglais et six poules. Les vols. La nuit de Jeudi Vendredi, des voleurs se sont introduits dans une dépendance de la maison de Victor Berthé, ouvrier Ploeg- steert, hameau St Quentin, en pratiquant un trou dans un mur. Ils se sont emparés de six lapins et ont écrit la craie sur la porte de cette dépendance, ces mots A l'année prochaine La même nuit, les malfaiteurs ont péné tré dans la ferme du sieur Albert Deknudt, au même hameau, après avoir fait sauter un volet, au moyen d'un breekijzer. Ven dredi matin, on a constaté la disparition de 4 jambons et de plusieurs pièces de viande de porc le tout ayant une valeur d'environ 1 50 francs. Vers minuit, on avait entendu les aboiements du chien de garde mais per sonne ne s'est levé. •4- Un incendie criminel. Jeudi soir, vers 10 heures, deux gendar mes de la brigade de Comines, étant en tournée de surveillance de nuit sur le ter ritoire de Bas-Warnêton virent tout coup élever des flammes du toit de la maison habituée par le sieur René Deruddere, mar chand de lapins et de volaille. Les gendar mes se hâtèrent vers la maison en flammes et, après avoir enfoncé la porte, parvenaient, non sans beaucoup de peine, sauver quelques meubles. En très peu de temps, tout l'immeuble ne formait plus qu'un im mense brasier. Les époux Deruddere s'étaient rendus Jeudi matin au marché de Lille, avec une voiture de marchandises. Ils ont l'habitude de passer la nuit Lille et de ne rentrer h leur demeure que le lendemain. L'incendie a éclaté en leur absence et sans aucun doute le sinistre est l'œuvre d'une main criminelle. Vendredi, matin, les époux Deruddere n'étaient pas encore rentrés chez eux et ignoraient très probable ment encore le malheur qui les frappe. Le parquet d'Ypres s'est transporté h Bas- Warnêton, Vendredi après-midi. La bourse ou la vie. Le jour de l'An, vers 3 heures de l'après- midi, l'épouse Dewyn, ménagère, demeu rant Ploegsteert Bizet se rendait Wervicq. Arrivée mi-chemin, dans un endroit isolé, un individu surgit de der rière une chapelle et lui demanda aussitôt la bôiirsë bu la vie Le malfaiteur lui mit la main sur la bouche, l'empoigna et l'en traîna derrière la chapelle où il lui enleva son porte-monnaie contenant une trentaine de francs. Après quoi le bandit prit la fuite dans la direction de Wervicq. L'épouse Dewyn, qui avait les effets dé chirés et couverts de boue, s'en est retour née chez elle. A cause de sa frayeur, elle n'a pu donner qu'un signalement très- incomplet de son agresseur. Les vols. Chez M. Arthur Vanderheyde brasseur, rue Speye, les voleurs ont fracturé la gran de porte de la brasserie et sont ainsi arrivés dans la cour. Ils ont ensuite levé une fenê tre de la cuisine, par où ils ont passé et ont visité et fouillé toutes les places du rez-de- chaussée. Dans le bureau, ils ont enlevé du tiroir du pupitre une pièce de 5 francs, des timbres et des papiers. Le coffre-fort qui se trouvait dans cette place est resté intact. Chez M. le Bourgmestre Auguste Ver- haeghe, on s'est introduit dans le bureau, au rez-de-chaussée, après avoir tordu les barreaux de fer protégeant la fenêtre et avoir coupé un carreau de vitre. Les voleurs ont perforé la plaque de la serrure du cof fre-fort, en deux endroits différents, mais ne sont pas parvenus l'ouvrir. Dans le pupitre se trouvant dans le bureau, ils se sont emparés d'une somme d'environ 60 francs, ainsi que de timbres et des clefs. Le plancher était parsemé de gouttelettes de bougie. Tout porte croire que les mal faiteurs ont travaillé longtemps, ouvrir le coffre-fort et ce qui dénoté chez eux une audace inouïe, c'est la circonstance qu'ils n'ont été mis en fuite, qu'à 5 heures du matin. En effet, c'est l'ouvrier Léon Nollet, en se rendant son ouvrage, chez M. Verhae- ghe, qui trouva un individu posté devant la porte. Nollet lui ayant demandé ce qu'il faisait là, au même instant un second in dividu sortit précipitamment du bureau et, avant que Nollet ait pu les reconnaitre, tous deux avaient pris la fuite dans la direc tion de Menin. La police et la gendarmerie ont vaine ment recherche jusque maintenant, ces deux malfaiteurs, que Nollet a dit de taille moyenne, sans malheureusement pouvoir donner d'indications plus précises. il est PUR il éconorr "soc ïc temps, l'argent et le travail. Garçon, ces huitres ne sont pas fraî ches. Monsieur', je ne suis pas dedans. Ça prouve que vous n'êtes pas votre place. A dater du 33 Janvier 1910 avoir un teint frais donnant l'aspect juvénil et faire disparaître infailliblement toutes les af fections de la peau telles que taches de rous seurs, points noirs, rougeurs, etc., n'employez que le renommé de Bergmann et 0\, fctadebeul-Dresde, 0,75 et. la brique, Ypres Jules FLA MAND Coiffeur, rue du Temple, 1 Flo- rimond BAETIER, rue au Beurre. C. Gru- wez-Lacour, merceries, rue de Dixmude, 81 ~<or-ooooco r- r- o O O a o G cr G w. n «r-, Voir la suite des articles la 4"" page.

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Le Progrès (1841-1914) | 1910 | | pagina 3