jolies Pharmacie ouverte, AVIS SUNLIGHT SAVON que qui se chargera de faireconnaître au monde entier le nom du Bourg mestre rétrograde d'Ypres, qui ré clame, en plein XXe siècle, la sup pression de voies cyclables Est-il croyable qu'on puisse obtenir, 60 c. le K. la véritable chicorée des Trap pistes Vincart On la vènd portant partout ce prix. N. A l'œil droit de nos vicaires batailleurs Voici la déclaration textuelle faite, ces jours-ci, la tribune française par M. le député Lasies, un des chefs du parti catholique de France L'épiscopat doit-il diriger la lutte électorale? Je ré- ponds Non parceque cela serait dangereux au point de vue des intérêts religieux. A ux laiquesla bataille. Le rôle du prêtre c'est de se pencher sur les blessés après la lutte et de leur dire tous: Aimez-vous les uns les au- très Quel langage élevé et digne Quel éclatant hommage la poli tique que nous avons toujours suivie dénoncer l'attitude arrogante de nos vicaires qui dirigent nos batailles électorales, suscitent la haine entre concitoyens et sèment la discorde jusque dans les familles. Oui, cela est dangereux au pointde vue religieux. Cela dépouille le prêtre de sa dignité. Grand STOCK «le cheminées en mai*l>i*e des prix: très avantageux. GEOIt^ES LAIMERÈ, MARBRIER 50, rue des Chiens, YPRES. la Garde Libérale. La Garde Libérale s'est réunie Dimanche soir, 5 heures, en son local la Tête d'Argent. La salle était archi-comble. La réunion fut présidée par M. le député Nolf. M. Alphonse Masschelein, vice- président de la société a donné une conférence des plus intéressantes, au cours de laquelle il a passé en revue, jusque dans ses moindres détails, la politique de notre administration communale, depuis son arrivée au pouvoir. L'orateur a démontré comment les cléricaux ont manqué toutes les promesses qu'ils avaient faites leurs électeurs, avant leur entrée l'Hôtel-de-Ville. Il a prouvé comment, ayant promis de soutenir et d'encourager l'instruc tion dans notre ville, leur première besogne fut la suppression de notre Collège et autres établissements d'enseignement, afin de pouvoir en reporter les subsides sur leurs écoles libres. Ils avaient promis de respecter les idées de chacun et ils se hâtèrent, une fois les maîtres, de congédier les fonctionnaires et employés libéraux, pour les remplacer par des hommes de leur bord et sont parvenus de la sorte s'accaparer de toutes les ad ministrations publiques, telles que les Hospices Civils, le Bureau de Bienfaisance, etc. L'orateur a attiré l'attention des assistants sur les nombreuses propri étés de la ville que les cléricaux ont vendues les unes après les autres et qui leur ont rapporté des centaines de mille francs, ce qui n'empêche que les finances de notre cité sont arrivées un état qui menace de dégénérer en faillite, m cette situation perdure encore quelque peu. Le discours de M. Masschelein a été longuement applaudi par toute l'assistance. M. Nolf a félicité l'orateur de sa belle conférence. Ce qui s'en dégage, c'est la nécessité d'avoir la Repré sentation Proportionnelle la com mune, ce que nous aurons' vraisem blablement en 1911. Ce sera la certitude pour le parti libéral d'avoir l'Hôtel-de-Ville ses représentants. Nous y enverrons des mandataires capables qui contrôleront la belle gestion des cléricaux. A la demande de plusieurs mem bres, M. Nolf a promis de donner prochainement une conférence, où il traitera la question des nouveaux tarifs douaniers français. Avant de lever la séance, M. Nolf déposa un ordre du jour, exprimant le vœu de voir les libéraux d'Anvers, mettre fin leurs divisions et mar cher unis aux élections législatives prochaines. Cet ordre du jour adopté par acclamation sera transmis aux corps politiques d'Anvers. On procéda ensuite la tombola. De nombreux beaux prix furent of ferts, gratuitement, aux membres présents. Il est vraiment encourageant pour les libéraux Yprois, de constater les progrès de leur belle société, dont le nombre de membres augmente sans cesse. Un intéressant article relatif l'érec tion de la nouvelle Gendarmerie nous étant parvenu trop tard, ne pourra être inséré que dans notre prochain numéro. Société îles Francs Arbalétriers. Tir du 17 Janvier 1910. Blason Varié. Haut total Thirifays X. Bas total Vandaele A. Pii'ii-ithats I Chcik<, Raj ihs. Ilov >pl.é, mil» île la lerre. Dli BEUKELAKH REPOS DOIVlINICftL DE MIDI A 10 HEURES DU SOIR. Dimanche S3 Janv. iîMO M. G. MAY, GRAND' PLACE35. YPRES. Gheluwe. Vol d'un porc. Dans la nuit de Jeudi Vendredi, on a volé chez le nommé Henri Vanryckeghem cul- livaieur Gheluwe, rouie de Becelaere, un pourceau de quelques semaines, ayant une va leur de 30 fiancs Les ailleurs son! restés inconnus. Vols La nuit de Lundi Mardi des voleurs ont vis té le hameau Halberg Gheluwe, chez le culmaiear Edouard Siragier et chez le nommé Pierre Bonie, ils ont enlevé des poules et des pigeons. Chez l'épouse Théophile Ghesquière. fer mière, plusieurs chemises et draps de lu ont disparu YVervicq. Vol d'une chèvre La nuil de Jeudi Vendredi, des voleurs se sont introduits chez la nommée Julie Tailieu, cultivairice» demeurant Wervirq, hameau Sclueilioek et y ont enlevé dans une élable, une chèvre d'une quarantaine de francs. Le lendemain on a reirouvé dans la neige, les traces de pas d'un homme, se dirigeant vers Gheluwe Un vol de poules. La nuit de Lundi Mardi, des voleurs ont péuélié chez le nommé Jean Vaodeobrouc- ke, cultivateur Wervicq, hameau Basse- Flandre Les malfaiteurs ont enlevé une vingtaine de poules Zomiebeke. Un roi de poules Veodiedi, vers 7 1/2 heures du soir, le nommé f mile N;<eri. cultivateur '.onueheke, au iiameau Broodseinde intrigué par les aboiements prolongés de son chien de garde, sortit sur la cour et perçut un brur suspect dans son poulailler. Il rentra précipitamment, se munit d'une lanterne et alla inspecter le poulailler tout biuit avait cessé Le lendemain, Nae-i constatait qu'il lui manquait une quinzaine de poules. Les recher ches autour de la ferme aboutirent la décou verte des empreinies de pied de deux hommes, venant de fa direction d'un bois appelé H i s - sflbosch tué cinq minutes il»* la ferme Naert Les voleurs s'y étaient trèc probable ment embusqués et, l-ur coup fait, ils se sont enfuis avec leur butin, par ta roule île Bece laere Les auteurs sont restés inconnus. Le Comité de l'Association Li bérale informe ses amis qu'il estàleur entière disposition pour accueillir toutes propositions re latives l'organisation de la lutte aux élections législatives pro chaines. Il faitappel au concours de tous les libéraux. Les communications peuvent être adressées au Secrétariat. GUÊRISON (1E L'ILCOO. ISME. L'IVROGNERIE N'EXISTE PLUS. Un échantillon de ce merveille.ix Ooza est envoyé gratis. Peut être donné dans du café, du thé. du lait, de la liqueur, de la bière, de l'eau ou de la nourri ture. sans que le buveur ait besoin de le savoir. 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Ileier sont prié* «le se rendre sa maison a ('ourtrai, coin de la rue de .lloaseron n 2. maison a p«irte coehère, près «le la prison. NE VOULEZ- VOUS PAS EMPLOYER ce qui est bon et pur Là où le Sunlight a été une fois iyé, aucui avoir un teint frais donnant l'aspect juvénil et faire disparaître infailliblement toutes les af fections de la peau telles que taches de rous seurs, points noirs, rougeurs, etc., n'employez que le renommé Savon DADA de Bergmann et C0., Radebeul-Dresde, 0,75 et. la brique, Ypres Jules FLA MAND Coiffeur, rue du Temple, 1 Flo- rimond BARTIER, rue au Beurre. C. Gru- wez-Lacour, merceries, rue de Dixmude, 81 État-Civil d'Ypres. Déclarations du 14 au 21 Janvier 1910. Naissances i Verhelle, André, chaussée de Fumes. Uoflack, Henri, rue de Lille. Verduyn, Mariette, Nouveau Chemin St Jacques. Debruyne, Léon, rue des Chiens. Ver- rainck, Marguerite, rue Basse Deroo, Georges, chaussée de Dickebusch Mariages Jugels, Adolphe, et Hoet, Jeanne, colpor teurs, tous deux Ypres. Verhelst, Henri, ouvrier agricole, veuf de Hoornaert, Marie, et Demey, Jeanne, dentellière, veuve de Angillis. Léonard, tous deux Ypres. Marreceau. Isidore, peintre, Neuve-Eglise, et Thahon, Marie, servante, Ypres. Vanhove, Jean, mouleur Jette- St-Pierre. et Becquaert, Julie, sans profes sion, Ypres, Deberdt, Emilie, forgeron, St Jean, et Verbeke, Marie, servante, Ypres. Stratsaert. Théophile, commer çant, Becelaere, et Stragior, Eugénie, boutiquiers, veuve de Banckaort, Gustave, Ypres Derudder, Thomas, musicien ambulant, et Hahn, Marie, dentellière, tous deux Ypres. Décès Decraemer, Marie, 13 jours, rue des Tuiles. Notredame, Béatrice, 69 ans, sans profession, veuve de Planqueel, Pierre, chaussée de Poperinghe Vantomme, Julienne, 78 ans. sans profession, célibatai re, chaussée de Poperinghe. Knoekaert, Gustave, 1 mois, rue Eigenheerd Kerck h"f, Brunon, 82 ans, sans profession, veuf 'e Parmentier, Rosalie, rue Longue de Thourout. Degraeve, Pierre, 87 ans, sans profession, veuf de Deweerdt, Rosalie, rue de Lille. Duriez, Eugénie. 70 ans, sans profession, célibataire, chaussée de Poperinghe. Pauwels, Matbilfe, 57 ans, sans profession, célibataire, rue de la Boule. Roffiae.i. Louis, 76 ans, journalier, veuf de Demey, Barbe, rue des Tuiles Ver- haege, Louis, 71 ans. ouvrier, époux de Lantsheere, Louise, chaussée de Lille. Tiberghein, Louis, 1 mois, rue de Lille. 09 <D SH H V S-« cô Ji Q, PRIX MAXIMUM osrtooîsocïrt aîiosowo* irtsrts* PRIX MINIMUM O O O S O O «S- O O O O O O SO -.o O O O O ©1 M QUANTITES VENDUES KILOGRAMMES 00 00 00 00 00 00 9,351 UJ 1 ■w 2 -S H i Z w 2 Froment Seig'r Avoine Pois Féveroles Pommes de terre. Buerre Œufs le quarteron

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Le Progrès (1841-1914) | 1910 | | pagina 3