HERNIES Pourquoi rester gris L Grand STOCK État-Civil d'Ypres. La Gauche libérale toute entière s'est donc prononcée, contre l'abroga tion de l'article 310, mais pour sa re vision. Et Monsieur L. Huysmans a précisé la signification de ce vote en déclarant: Ajoutons que dans sa mercuriale, M. Raymond Janssens, procureur général près la Cour de Cassation de Belgique s'est également prononcé contre l'abro gation de l'art. 310 et pour sa revision Et il n'y pas si longtemps que M. Vandervelde lui-même défendait la même thèse, M. Carton de Wiart le lui a rappelé. M. Vandervelde ne l'a pas contesté. S'adressant M. Hambursin, député libéral de Namur, M. Carton de Wiart s'écria M. Vander velde a défendu la même thèse que vous en 1889. M. Destrée. Quelle thèse M. Carton de Wiart. M. Vander velde ne demandait pas alors l'abrogation, mais la revision. Avec M. le Procureur général Jans sens, cité par les écrits socialistes, la Gauche libérale s'est donc prononcée contre l'abrogation et pour la révision. La Gauche libérale ne veut pas de l'abrogation, parce qu'elle entend main tenir les mesures protectrices de la liberté du travail parce qu'elle estime que si le droit de grève est légitime, le droit de travailler l'est tout autant. Comme le disait très bien M. Hambur sin, le travail est pour l'ouvrier un pa trimoine sacré et la liberté de travailler la plus précieuse des libertés. De quel droit la société refuserait-elle protec tion aux ouvriers qui en revendiquent le libre exercice Ce n'est dans tous les cas jamais le parti libéral qui se prêtera pa reille politique. Du reste les socialis tes, quand ils ont devant eux la res ponsabilité du pouvoir, n'agissent pas autrement voyez en France les Briand, les Viviani, les Millerand. A quoi bon dès lors ces déclamations et ces excitations I Le langage de la sagesse, c'est celui qu'a tenu M. Janson cherchons prévenir les Conflits et quand ils écla tent les résoudre autrement que par la grève et le lock-out. Combien ces conseils mériteraient de retenir l'atten tion du Parlement, quand nous voyons qu'aujourd'hui encore la grève et le lock-out viennent d'éclater en Flandre, Ingehnunster, Renaix, Waer- schoot et dans d'autres localités qu'ils menacent d'y engendrer des ruines et la misère dans des centaines de ménages d'ouvriers. La Chambre, qui a perdu des semai nes discuter l'Adresse, alors que quelques séances auraient dû suffire, ne pourrait-elle pas trouver le temps d'aborder l'examen d'une question troublante entre toutes Moniteur. Par arrêté royal du 14 Décembre 1910, M. H. Bossaert, avocat Ypres, est nommé membre de la Commission administrative de l'In stitution Royale de Messines, pour un nouveau terme de sept années, qui expirera le 31 Décembre 1917. Guérisou sans opération Théâtre de la Ville d'Ypres. Grand Concert de Gala célébré quatuor d'archets ZOELLNER Concours. Xous apprenons avec plaisir que notre concitoyen, M. Oscar De- puydt, vient d'obtenir le diplôme de surnuméraire de l'enregistrement. A ce concours, M. Depuvdt a ob tenu la 3 place sur 154 concur rents. C'est un brillant résultat pour le jeune surnuméraire et il y a tout lieu de le féliciter. Francs Arbalétriers. Laissons les enfants leursjeux:c'est leur santé et leur bonheur; et ne nous soucions pas de ce que deviennent leurs habits,car nulle tache ne résiste an SUNLIGHT savon. de cheminées en marlire, des prix très avantageux. GEORGES LAP1ERE, Brasserie L/YPROISE^ PIANOS. FIN DE SAISON. Mise en vente d'un grand choix de pianos neufs, ayant fait une location, avec un rabais considérable. Garantie dix ans MAISON B. VAN HYFTE, Gand, 32, rue basse des Champs. (Nederkouter 32), près du palais de Justice. eVehïSTES Exigez sur votre vélo les ICX E (J.U i il Q (JES COLONIAL ou DEUX ANCRES. S. A., 8, Uuai du Strop, GAAI> Plia rmacie ouverte Diitiuiiche 8 Janvier 1911 M. C. MAY, -G O U d w T3 41 o X S x 2 I A. r^ï- <D z Q g 2 0/3 .ST-S tj w p) fc w Q 5 a S *s m <L> (D O g o O G «0 Le YILIXIR n'est pas une teinture YILIXIR Company chercher les moyens de résoudre les conflits si regrettables du travail et du capital autre ment que par la grève et le lock-out. C'est qu'à côté de la grève, qui est un droit pour l'ouvrier, nous avons vu se dresser le lock- out beaucoup plus redoutable raison des immenses capitaux dont disposent les in dustriels. C'est pourquoi nous demandons s'il n'y a pas un moyen plus efficace d'en tente sur les questions de salaire et des au tres difficultés qui surgissent entre les ou vriers et les patrons. Il ne peut entrer dans 1 la pensée de personne de légitimer des actes qui, au cours de la grève, présentent un caractère délictueux telle que les injures j et les menaces, les coups et les violences. Voilà le caractère de notre amendement et tel qu'il est, il me semble qu'il peut être voté par toute la Chambre. Je ne puis voter l'amendement de MM. Vandervelde et consorts tendant l'abro gation pure et simple de l'article 310 du Code pénal, mais je voterai celui présenté au nom de la gauche libérale par MM. Janson et Neujean. J'ajoute que dans mon esprit comme dans l'esprit d'un grand nombre des mem bres de la gauche, ce vote ne signifie pas qu'il y a lieu de supprimer les mesures pro tectrices nécessaires pour assurer la protec tion de la liberté du travail. M. Vandervelde. Moi j'ai avancé et vous c'est le contraire. M. Carton de Wiart. En 1889, vous estimiez que le droit commun ne suffisait pas en cette matière et vous teniez le même langage que M. Hambursin. M Vandervelde. Je revendique la faculté de changer d'avis quand c'est pour adopter un avis meilleur. M. Carton de Wiart. Ceci prouve tout au moins que la question vaut d'être discutée. L°s roi» s'en v«»tn. I.e* princes pe i peu s'eucoureot Fini les majestés. On n'en ceui plu» Bonsoir 1 Cependant les desserts délicats qu'on savoure O j i conserve ce roi i'&XjCIS l)£ BEUK.EL\EK ÉVITEZ LA GRIPPE en assurant le bon fonctionnement de l'estomac et de l'intestin par 1 usage des SRAINS DE VALS, la dose de un ou d-cx grains avant le repas du soir, deux fois par semaine. Lis frères Verdunek, handagistes, ortlio- pédisies, renommés en ions lieux, trois l'ois brevetés |>our leurs bandages sans ressort et sans élastique. Fournisseurs de l'Etat et du Pilotage des Hôpitaux civils et militaires d'Ostende. 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Première audition en la ville d'Ypres des Œuvres de Dvôrak. Tir du 2 Janvier 1911. Aux Oiseaux oiseau Vannieuwenhuize C. 2me oiseau Vandevvver A. MARBRIER 50, rue des Chiens, YPRES. Déclarations du 30 Déc. au 6 Janvier 19il. Naissances Ghys, Léonce, rue Close. Salomé, Clai re, rue de Boesinghe. Wouts, Auguste, rue de Poperinghe. Dekeyser, Albert, rue du Château d'Eau. Mariage Verhaeghe, Arthur, soldat au ir régi ment de chasseurs cheval l'Ecole d'E- quitation, et Verlez, Marie, couturière, tous deux Ypres. Décès Delva, Isidore, 59 ans, sans profession, époux de Pollefeyt, Marie., rue Longue de Thourout. Decap, Gustave, 1 1/2 an, rue du Canon. Six, Edouard, 83 ans, ouvrier agricole, époux de Knockaert, Rosalie, rue de Zillebeke Cober, Céline, 80 ans, reli gieuse, rue de la Boule. Roscamp, Théo phile, IO mois, rue Basse. Kesteloot, Marie, I an, rue de Pilckem. Blom ne, Isidore, 63 ans, ouvrier agricole, époux de Deroo, Eugénie, chaussée de Zonnebeke. Cooren, Angèle, 8 jours, rue de l'Ecuelle. Rosseel, Julie, I 1/2 an, rue des Bou deurs. rue de la Rouelle, 28. Bière spéciale et bière bock en bouteilles. Remise domicile par 6, 12 et 24 bouteilles. Le Dentiste M. i/'eier a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle qu'il ne pourra plus se rendre PROVISOIRE MENT d Ypres pour y être consulté et qu'il n'y sera remplacé par personne. Les clients qui auraient cependant le désir de consulter M. Mener sont priés de se ren dre sa maison Courtrai, coin de la rue de Mouscron n" 2, maison porte cochère, près de la prison. En prévenant M. .Ueier quelques jours l'avance, les personnes qui se rendent chez lui Courtrai le matin, pourront repartir l'après-midi, avec leurs dents artificielles. 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Le Progrès (1841-1914) | 1911 | | pagina 3