VÉLODROME Bibliothèque-bureau M DU CYCLE Maison Cardinael-Bryon VÉLODROME Hygiène, Les ivncres G i m boni GRANDFLACE, 53, YPRES. E TOLES, ECU Alt CES el \IA.\CliO\S en tous genres de peaux Paletots et Jaquettes sur mesure Automobilistes. en BOIS Bandages et Accessoires Modèles spéciaux d'après gravures, TOQUES dernières créations parisiennes. CHAPEAUX, CASQUETTES, BÉRETS. Coûteux d'assécher les murs des appartements humides, etc. Bâtis seurs, écrivez MM. J.-J. De VOS, carrelages, Tournai. œHmemtm'm'Zttm', eznrxrx'rsryk'irx-rri, Gaspillage avoué. Le correspondant bruxellois de la catholique Métropole écrit Je vous disais récemment que M. de Broqueville comptait déposer d'im portants projets, dès la rentrée de no vembre prochain. J'apprends que, par mi ces projets, figurera, en toute pre mière ligne, celui tendant instituer une commission supérieure de contrô le, et auquel la déclaration ministériel le du cabinet actuel faisait d'ailleurs allusion en Juin dernier. Une commission de l'espèce fonc tionne, depuis quelques mois déjà, au sein du département des chemins de fer, sous la haute et experte direction de M. Hayois de Termicourt, le distin gué conseiller la cour d'appel. Elle a donné des résultats surprenants, qui ont montré la nécessité, absolue de mettre fin un coulage vraiment excessif et dont les finances de l'Etat souffrent exa gérément. Si je vous disais que, déjà, les che mins de fer ont réalisé, grâce la dite commission, des millions de bénéfices, vous le croiriez avec peine. Et c'est la stricte et assez attristante vérité. Ce contrôle doit s'étendre toutes nos administrations, et qui sait si ses ré sultats ne permettront pas d'octroyer nos petits employés et aux travailleurs de tous les départements une amélio ration de situation que justifie ample ment la cherté de tout. Ainsi donc, de l'aveu d'un journal catholique, le coulage au département des chemins de fer atteignait plusieurs millions. Et l'on va étendre le contrôle aux autres départements. Ces faits ne manqueront pas de pro duire dans le public une violente, mais légitime émotion. Et l'on se demandera, avec raison, ce que faisaient les ministres cléricaux responsables de leur gestion, pendant que sous eux les millions rallés sur les salaires des petits employés et des ouvriers disparaissaient et s'évapo raient. Quoiqu'il en soit, l'opposition saura faire son devoir réclamer les noms et le châtiment des coupables. Brasserie L'YPROISE rue «le la Bouche. 28. Remise domicile par 12 et 24 bouteilles. Prétendue prospérité nationale Si nous parlions un peu, de la pros périté de notre pays sous la domina tion cléricale. Le sujet n'est pas drôle, assurément. .Mais nous pensons qu'il est nécessaire, en présence de la jac tance des suppôts de notre gouverne ment, de répéter de temps autre des chiffres contre quoi tous leurs discours ne prouveront rien, sinon que les affir mations de prospérité que l'on nous sert chaque instant, constituent d'éhontés mensonges. Rappelons donc qu'en 1884, l'avè nement des cléricaux au pouvoir, la dette de la Belgique s'élevait 1 mil liard 766 millions de francs la rente était 99 francs. En 1910, la dette atteignait 3 mil liards et demi et la rente était 93 francs Depuis, elle a subi de fâcheu ses fluctuations. Elle a littéralement capoté »,pour employer l'expression mise la mode par l'aviation. Elle a connu des cours de 83 a 85. Il y a aussi l'énorme mise en circulation de Bons du Trésor, que l'on ne peut faire ac cepter au pair en Belgique et dont on a dû céder des quantités au-dessous de la valeur nominale, principalement Paris. Notre dette, notre dette formidable et qui augmente chaque jour la mé diocre confiance que l'on accorde au papier-monnaie de la Belgique la baisse de la Rente interviennent com me facteurs essentiels de la prospérité nationale Voilà pourtant les balivernes que les journaux cléricaux s'efforcent de faire avaler leurs bénévoles lecteurs. Cela prend de moins en moins heu reusement, depuis que les lecteurs, grâce la presse libérale et socialiste,, ne se tiennent plus satisfait, n'admet tent plus sans examen sérieux les dog- imes financiers qui leurs sont offerts. La prospérité nationale est l'une des plus sinistres plaisanteries que les cléricaux nous aient jamais servies. Voilà ce que chacun doit savoir. Si vous voulez éviter des pannes de moteur, n'employez pas du naphte lourd, mais demandez la MOTOGARLINE densité 700 N'encrasse pas le moteur et ne donne pas de ràlées même dans les très fortes montées, garantie pure et d'un grand rendement. American Petroleum Gy Dépôt «l'huile- et graisses Leur Patriotisme. Dans une lettre adressée au Peuple le 15 Août 1905, M. Godefroid Kurth écrit «Notredevise nationale pourrait être celle de la ville de Matines. In fide constans. Notre sol fut de tout temps le boulevard du catholicisme dans le monde. Nous l'avons défendu au prix de notre sang contre tous ses ennemis, contre le despotisme des rois, contre l'hérésie, contre la franc-maçonnerie. Pour lui rester fidèle, nous nous som mes séparés au XVI" siècle de nos frè res de Hollande, qui avaient identifié le culte des libertés nationales avec le protestantisme. Pour lui rester fidèle, nous nous sommes soulevés au XVIII* siècle contre le gouvernement de Habsbourg, que nous aimions. Pour lui rester fidèle, noi^ avons détruit, en 1830, le royaume des Pays-Bas qui faisait de nous presque une grande nation Car par dessus tout, plu-, que no» libertés, plus que 110m princes, plus que nom gran deur* nationale*, nous aimons la foi catholique qui est l'âme de notre âme I Voilà des aveux d'une belle fran chise et qui montrent quel degré les cléricaux pratiquent le patriotisme. Après une pareille profession de foi, il leur est désormais impossibled'accuser les socialistes d'être des sans patrie. REPOS DOMINICAL. Pharmacie ouverte M. DOXCK. VEXTE PUBLIQUE YPRES, Chaussée tic Furues LUNDI 23 OCTOBRE 1911, L]ii Superbe 1° D une piste «îii Rois île 313 m il»; pourtour et contenant environ 325 m3 île madriers, plan ches et laites 2°) D une très tr-it>u- 11e couverte. 3") D'une rand<.' tribune populaire et d'un joli V»nf- fet, i te ele 7* Vendre S'adresser chez M. HENNAERT, H., rue St Nicolas, 19, Ypres. sont les Meilleures. On peut se les procurer par 1/8, 1/4. 1/2 et I liire chez I lambin- Vlathée, rue de Dixmude, 53. I(), Rue de I^ille, 16, YPRES. ftgrJÉ Bicyclettes Moi ocycleiles Machines coudre parlantes y laver w CJ 53 I—I o w Q 5 O GQ OHRMI.RS \10»Èl.i:S CRÉÉS IMHJR I. IIIVCR 1911-1912 B. Les fourrures soul travaillées dans la maison. sur la rive du canal prés de la fabrique Ver- schoore. M. Colaert. Cela sera fait. 14. Beaux-arts Restauration d'une façade ancienne, au Marché au Bétail. M. le Président. Il y a au Marché au Bétail encore trois vieilles constructions, datant respective me ut de 1444, 1623 et 1629. Récemment une de ces maisons est devenue vacante par suite du décès de Mme veuve Delbeke. M11" Spilliaert ont acquis cette maison et la ville sera propriétaire de la façade moyennant restauration de celle- ci. Après ce travail, toutes réparations ou modifications seront charge de Mu" Spil liaert. Le devis pour la restauration de la façade s'élève 2.800 francs. M. Begerem ne voit pas la nécessité de faire une dépense de 2.800 fr. M. Colaert. Les médaillons sont refaire et les soutiens doivent être renouve lés. Approuvé. 15. Projet de transformation de l'im meuble Parnassus-Hof et aménage ment de la Salle de Spectacle plans, devis, crédit. Al. le Bourgmestre. J'ai fait tout ce que j'ai pu pour que les travaux soient achevés pour le ier Novembre. Mais, par suite des modifications apportées au devis, cela ne pourra évidemment plus se faire. M. Begerem. Je regiette vivement qu'on n'ait pas attendu pour restaurer le Parnassushof que ce bloc fût complète ment dégage de l'Abbaye de St-Martin, par l'expropriation du Panier d'Or» et des deux maisons y attenant. MColaert. Cela se fera un jour. Après discussion, le Conseil approuve les plans et devis, l'unanimité, moins l'ab stention de M. Begerem. 16. Travail minimum de salaire. Les salaires n'ayant plus été élevés de puis 1899, M. le Bourgmestre estime, que vu la cherté de la vie, il est indispensable de fixer un nouveau minimum de salaires. Ceux-ci seront désormais de 40, 35 et 30 centimes pour les ouvriers (suivant la pro fession) et de 25 cent, pour les aides. Approuvé. 17. Service d'ébouage crédit. M. Colaert demande un crédit pour l'ex tension du service d'ébouage ce service se fera aussi l'après-midi les charretiers au ront 50 c. en plus par jour ouvrable et 25 c par jour férié. Approuvé. M. Bouquet demande qu'on répare le trottoir au travers de la Porte de Lille. M. Sobry propose une réglementation sur la largeur des rues 10 mètres. La séance publique est levée 6 h. 20 m. Bière spéciale et bière bock en bouteilles. pour le gros Quai, 7. YPRES. Téléphone 148. spéciales pour automobiles Dimanche i Octobre iOii, suer F VA N Wh\ DEKENS, RUE Dh LILLE, n 13, YPRES DUS SUPERBE Le Notaire Constant 1 II L V JFCTT i R 10, résidant a Y près, rue Carton, d 3, oen Ira publiquement le 2 h 1/2 de relevée, au café a AU PARC DES SPORTS a près COMPOSÉ Pour tous renseignements s'adres ser a lelude du Notaire I>'IIii- vettere prénommé GRANDE en acajou et chêne. 1 près Impr E LAMBIN-MATHÉE. rue de Dixmude. 83 o

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Le Progrès (1841-1914) | 1911 | | pagina 4