i I
PDJRREMBAUX
Nécrologie.
Automobilistes.
la MOTOCARLINE
r*
suffrages, de faire -.rches
aussi empressée.- que se- On
pourrait seulement trouv r un peu
extraordinaire i ne X -O. - K - ure
ait des préférences aussi marquées
et qu'elle ait tenu absolument ce
que le réseau des égouts soit com
plété par M. Vandenboogaerde ou
M. Fraeys (de Yeubeke) et les res
taurations de nos monuments conti
nuées par M. Colaert plutôt que par
d'autres individualités; mais ces pré
férences féminines ne se discutent
pas. On les constate, voilà tout.
Mais, quand même, N.-D. du
Rosaire, si aimable pour M. Colaert
et ses collègues, aurait bien pu son
ger un peu aussi ses bons amis de
Bruxelles, Gand, Courtrai, Bruges,
etc., etc., qu'elle paraît avoir pla
qués avec une désinvolture toute
féminine.
Elle n'en a eu que pour ses bons
Yprois! Sommes-nous donc veinards,
mais, le sommes-nous, hein
M. Fraeys de Yeubeke
n'esl pas coulent.
Le sémillant M. Fraeys de Veu-
beke n'est pas content du résultat
des élections communales de Thou-
rout, Roulers, Courtrai et Bruges.
Il en a exprimé ses doléances
ses amis de Bruges. Pensez un peu
les partis anticléricaux de ces locali
tés ontenlevé une vingtaine de sièges
aux braves cléricaux de Thourout et
d'autres lieux. C'est en attraper la
jaunisse.
Nous avons tout lieu de nous ré
jouir de ces succès. Les électeurs de
ces quatre villes ont comp-is leur
devoir. Ils ne se sont pas laissés cor
rompre, comme Ypres, pour quel -
ques pièces de cent sous ou par de
fallacieuses promesses. Us ont re
poussé les indignes manœuvres du
parti qui se dit catholique.
Honneur nos amis de ces locali
tés
Un jour viendra où les Yprois
seront fatigués de subir le joug de
ces soi-disants hommes du parti de
l'ordre et M. Fraeys sera jamais
dans la Veubeke
A l'usine i»az.
Pas plus que sa clientèle, il semble
que la Compagnie du gaz, elle-même,
n'est nullement satisfaite de son éclai
rage.
On constate, en effet, sans trop
d'étonnement d'ailleurs, qu'à l'instar
de bon nombre de nos concitoyens, elle
vient d'adopter l'électricité pour l'éclai
rage de l'usine gaz.
Appareils et lampes, tout est installé.
Gela fait songer au fabricant de pain
d'épice qui se gardait bien de goûter
ses produits c'est bon pour... les au
tres, disait-il, mais c'est pas bon pour
moi
Sans commentaires, n'est-ce pas.
lIotlilCMll'.
Par arrêté royal du 16 Octobre 1911,
la croix civique de 1* classe est accor
dée Monsieur Ferdinand Merghe-
lynck,commissairede l'arrondissement
d'Ypres.
Nous adressons nos plus sincères
félicitations notre sympathique et
estimé commissaire d'arrondissement,
tmgsasvsassaumfeevsuratnnratsusa
\olre Vélodrome.
Le Vélodrome d'Ypres a été mis
prix, Lundi dernier, 11,100 francs.
Ce ring, dès son début, a été rude
ment éprouvé.
A la seconde réunion, où une foule
considérable s'y était donné rendez-
vous, le feu détruisit la grande tribune.
Depuis lors, il ne connut que des
déboires. Le mauvais temps paralysa
les efforts de la commission directrice
et le public abandonna complètement
le vélodrome.
Cet état de choses obligea la Com
mission de le mettre aux enchères.
Si nos renseignements sont exacts,
un groupe d'Yprois, a fait l'achat du
Vélodrome. Il se propose, au prin
temps prochain, d'y donner une série
de fêtes, telles des Courses vélocipé-
ques, des fêtes équestres, des Matchs
de Football, etc., etc.
Nous souhaitons au groupe Yprois
plus de chance qu'à ses devanciers.
Chronique Théâtrale.
Le théâtre municipal d'Ypres vient
de rouvrir ses portes.
De grâce, ne nous demandez pas
dans quel état nous l'avons retrouvé,
le pauvre Vous nous forceriez en
faire une description telle que nous
aurions honte d'avouer y avoir osé
mettre le pied.
A ce point-là Hélas oui, ce
point-là.
Au point que le lustre séculaire, qui
pend lamentablement au bout de sa
chaine rouillée, nous tend désespéré
ment les bras, implorant, depuis nous
ne savons combien d'années, dans le
demi-jour qui filtre travers ses verres
crasseux, un successeur au défunt
lampiste. Au point que les papillons
qui, autour de la salle, s'accrochent
tant bien que mal plutôt mal que
bien au plâtras crevassé, jettent ef
frontément, pour se donner quelque
contenance, leur petite flamme scin
tillante, au grand effroi des amours
anémiques qui, au-dessus de nos têtes,
cachent pudiquement une petite figure
pâle sous leur voile protecteur, hum
ble don de quelque araignée compà-
tissante.
Nous ne vous dirons rien du reste.
Le tout est l'avenant depuis les
sièges sur lesquels les rares specta
trices ne se risquent qu'après en avoir,
au préalable, chassé, de leur mouchoir
de batiste, la couche de poussière
qui, certes, ignore encore l'invention
de l'époussette, jusqu'à la scène ultra-
rudimentaire, où les décors chance
lants font méditer les artistes, ces rois
de quelques heures, sur la fragilité de
leurs palais éphémères.
Mais tout cela est appelé disparaî
tre sous peu.
Il y a un projet. Il y a même un plan.
Il est vrai, pour tout dire, que le
projet fait actuellement, dans les car
tons de l'Hôtel de Ville, un petit som
me qui ne manque pas de nous, in
quiéter. Quant au plan, sur lequel se
profile majestueusement une monu
mentale façade Louis XV, d'aucuns
prétendent qu'il aura bien du mal se
défaire des quatre punaises qui le
fixent au mur de la salle de délibéra
tion du conseil communal.
Mais nous ne voulons pas désespé
rer. Et puis, (pie diable des Halles
au Parnassus, il n'y a pas plus loin
que de la coupe aux lèvres...
C'est dans ce taudis que des artistes
de réel mérite, et auxquels on ne peut
méconnaître une certaine dose de
I courage, sont venus représenter LA
TOSCA, l'admirable drame lyrique de
i Puccini.
Peut-être serait-il plus exact de dire
qu'un quatuor d'excellents acteurs
nous a gratifiés d'une audition des plus
intéressants et des plus beaux passa-
ges de cette œuvre sublime du grand
maître. Ce fut, en tout cas, une sélec
tion fort heureuse et des mieux inter-
I prêtées.
i Bref, une soirée dont les spectateurs,
trop clairsemés, garderont le meilleur
souvenir. Et les tonnerres d'applau
dissements qui, tout moment, écla
tèrent dans la salle, n'eurent d'égal
que les nuages de poussière que, dans
leur chute, les artistes mourants sou
levèrent sur la scène.
Trois pièces au programme La
paix chez soi, comédie incolore, Le
Maître de Chapelle, opéra-comique
vieux-jeu, La Rose de S Flour, opérette
pour débutants.
Quant aux interprètes, convenons
que M. Enthinea une jolie voix de ba
ryton, que M. Debois joue avec un en
train qu'il ne parvient malheureuse
ment pas faire partager par M
Landtsheere, que M"" Martin tient le
piano de façon irréprochable, et que
M. Tnéraps est tordant» dans son
répertoire de comique grime.
Que cette troupe, qui pourrait être
bonne, nous revienne si elle le désire,
mais souhaitons-lui qu'à l'avenir elle
soit plus heureuse dans la composition
de son programme I
Enfin, l'auditoire a fait des prodiges
d'endurance il n'a pas ronflé. Les
premières places se sont assoupies.
Les troisièmes ont dormi debout,
n'ayant pas de quoi faire mieux. Et
toutes se sont réveillées en sursaut
pour entamer en chœur le refrain de
La Maladie du Sommeil que d'une
façon irrésistible oh combien
Tnéraps soulignait de mille bâille
ments.
Puis le public s'est écoulé lente
ment, allant continuer ailleurs ses rê
ves un moment interrompus.
THALY.
ECAG5SIMNE5
\olc musicale.
Notre ex-concitoyen, M. Robert de
BEAUCOURT, vient de composer une
cantate en l'honneur de Notre Dame de
Thune, la patronne et la protectrice
d'Ypres il a ajouté au titre Ypres -
Thuindag Le Mysterioso du prélude
est réussi, VAndante charmant et le
Largo final, auquel il a ajouté une
seconde strophe Appel la Charité
est d'nue bon ne ail u reL'auteur, certes,
aura mérité une fois de plus de la part
des Yperlanges (Yperlingen).
Ajoutons qu'il y a 20 ans que parut
le premier ouvrage de l'écrivain, No
blesse et Bourgeoisie et qu'il continue
faire paraître.
LECTEURS ATTENTION
Lorsque vous demandez un TOI*
veillez ce qu'on ne vous serve pas
une eau quelconque.
Il n'y a qu'une eau minérale TOP-
UHO.V.VE.V et ceux qui substituent
une aube marque au TOI* quand
vous demandez un TOP sont passi
bles des poursuites judiciaires.
-=S rs rir ts ts -rs - rs m rs m rs Ti
Société tics
Anciens Pompiers.
Nous donnons ci-dessous le pro
gramme du Concertsuivi de Redoute,
que la Société des Anciens Pompiers
offre aux membres, le Dimanche 29 c',
7 1/2 h. du soir, au local, rue du
Séminaire.
allégro milit. Merci.
2. Amina, sérénade égyptienne.
P. I.incke.
3. Divertissement sur des motifs d'Offen-
Mr E. Van Elslande.
4. Valse triste. Berger.
M. P. De Bischop.
Illusionniste mondain.
REDOUTE
A V I S
Mardi 31 Octobre courant, 8 1/4 h.
du soir, au local Assemblée générale
des actionnaires.
Ordre du Jour
1. Comptes.
2. Obligations amortir.
Les intérêts des obligations (coupon
n° 18) seront payables partir du 2
Novembre prochain, au bureau de
l'association libérale, rueduSéminaire,
de 9 heures du matin midi et de 2
4 heures. La Commission.
£2$ Ix&'Œ&r j?* 7^3
Si vous voulez éviter des pannes de
moteur, n'employez pas du naphte
lourd, mais demandez
Le Conseil communal de notre ville
s'est réuni hier soir 5 heures.
Voici les objets qui figuraient son
ordre du jour
Nous donnerons le compte-rendu
de cette séance dans notre prochain
numéro.
Société llovalc
des Francs Arbalétriers.
2® Oiseau Hamendt Arthur.
lr Moyen total Vandaele Alfred.
2® Moyen total Dewachter Jules.
3° Moyen total Mailliard FI.
Pharmacie ouverte
Dimanche S9 Octobre <91 i»
M. L. YFiilSFXS,
\l. J. DFCIIIEYÏU:,
La soirée du 19 Octobre.
La soirée du 23 Octobre.
C'est avec une péniblesurprise que
nous avons, comme tout le monue,
appris la triste nouvelle de la mort
inopinée de M. Callewaert, léditeur
du Journal d'Ypres et du Nieuwsbiad,
dont les funérailles ont eu lieu Ven
dredi.
La divergence des opinions ne
devant pas faire taire les sentiments
d'humanité et de confraternité pro
fessionnelle, nous présentons la
famille du défunt, si rudement éprou
vée, nos sincères et profondes con
doléances
(Carrières)
MONUMENTS
FUNÉRAIRES
PRIX FORFAIT
POSÉS
AU CIMETIÈRE
Catalogue
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1<® PARTIE.
1. La Bonde des pièces de cent sous,
bach, arrangé par
5. Marche militaire. Eilenberg.
2m® PARTIE.
1. Manipulation des Billes de billard.
2. Les foulards mystérieux.
3. La teinture moderne.
4. Le roi des Grecs.
5. Un dressage original.
6. Une leçon d'escamotage.
7. Visible ou invisible.
8. Les cartes obéissantes ou les mystères
du cristal.
9. Une opération financière.
10. Un colis poste-restante.
11Halte-là je le veux
12. Les prisonniers échappés.
13. Le tambourin fantastique.
14. Le souper du diable.
3 - PARTIE.
-» - ,ri rr> - jaNHf
densité 700
N'encrasse pas le moteur et ne donne
pas de ràtées même dans les très fortes
montées, garantie pure et d'un grand
rendement.
pour le gros
American Petroleum Gy
Quai, 7. YPBES. Téléphone 148.
Dépôt d'huiles cl graisses
spéciales pour automobiles
1Administration communale dépôt
du compte communal de 1910.
2. Administration communale dépôt
du rapport de l'année 1910.
3. Propriétés communales vente
d'une parcelle de terrain.
4. Propriétés communales échange
de terrains avec l'Etat, convention.
5. Propriétés communales restaura
tion de la Maison de Bois
6. Bureau de Bienfaisance achat et
dépôt de titres de rente belge.
7. EcoUs gar tiennes budget 1912.
8. E'ole mène gère budget 1912.
9. Musée compte 1910.
%i
Tir du Lundi 23 Octobre 1911.
Offert par le Roi.
lr Oiseau Mabieu Louis.
MARCHÉ A U «EUDRE .9 I PRES
Toussaint,
RUE DE LA SI A TION/o, Y PRES.