PILULES OU Dr CODERRE Almanach Hachette :i :i GUÉRIE APRES DiX fiEsiF ÂkîiÉfcS uE SOUFFRANCES pour Ferrâmes Pâ es et Faibles Exposition d'Oiseaux H E il I E s. État-Civil d'Ypres. Groote Openbare Verkooping PAR LES En vente dans toutes les pharmacies d Yprès Société Royale des Francs Arbalétriers. Haut total Dewanckel J. Bas total Dupont V. Moyen total Pintelon F. lr Oiseau Deweerdt Ch. 2* Oiseau Hatnendt A. Lundi 20 Novembre, Grand tir offert par le Président. Garde civique. 120 Vandevvver A. 20 25 25 25 20 H5 Butaye E. Froidure R. Dethoor F. 25 20 25 25 20 115 25 25 20 25 20 115 25 25 20 15 25 110 Distinction. Nous apprenons que notre conci toyen, M. Aug. HARTEEL-WILLëMS, boulanger-pâtissier, a obtenu l'expo sition culinaire d'Anvers, un diplôme d'honneur pour ses Biscuits d'Ypres. Jeu d'esprit G a (rébus composé de 4 mots) L'-R E-T U-E CHI-ÈRE (remplacer les traits par des lettres pour faire une phrase.) Envoyer M. D. DESMYTER Fur- nes, la solution d'un de ces problè mes, pour recevoir franco un beau morceau de musique pouvant servir de Saint Nicolas. Indiquer ce que l'on désire un mor ceau facile, de force moyenne ou diffi cile. Ajouter deux timbrer de 10 et. pour frais d'envoi. STAD YPER. OP NlttNDMU DECEMBER 1911, VAN ONLANGS NIEUW Velodroom van Yper gerief. Bijzondere affichen zuHen later LA MAISON Flokimond BARTIER. H ET HUIS Florimoyu BARTIER, .-8 g sont souffrantes comment elles peuvent, facilement, et peu de frais, ee guérir. Pendant dix-neuf ans j'ai souf fert. Certes, je n'ai pas toujours été dans l'impossibilité de mar cher. d'aller et venir, de faire ma besogne; mais, bien des fois, j'ai été obligée de me coucher pendant deux ou trois jours, parce que j'étais bout de forces et de courage. J'ai souffert de tout le corps, et de très forts maux de tête. J'avais aussi très mal l'esto mac, et de plus, aucun appétit. - Mes nuits étaient très mau vaises. j'avais Je sommeil irré gulier et très agité. T< ut cela contribuait entre tenir chez moi un état d'énerve- ment et d'irritation continuels. Seuls, les nerfs me soutenaient, et quand par moments, ils se calmaient un peu, j'étais atlors si faible que je devais me repo ser. Il y a cinq ans j'ai dû subir une douloureuse opération: je croyais en avoir fini de souffrir, cette fois Hélas! cela continua de plus belle; j'ai pris remède sur re mède, suivi régime sur régime, tr aitement sur traitement - Maintenant, je n'éproHve plus aucun malaise, aucune douleur. Je suis forte, et plus énervée du tout Pour obtenir ce résultat, il m'a suffi de prendre neuf boîtes de PILULES du Or CODERRE pour FEMMES PALES et FAI BLES. - Je puis dire, que de suite, une fois la première boîte finie, j'ai été beaucoup mieux l'appé tit est revenu, j'ai pu bien man ger. digérer facilement. J'ai re pris des forces. Enfin, je puis bien le dire, je souffrais, et c'est là l'origine de tous mes maux, d'une grave mêtrite; eh bien! quelques boîtes de PILULES du Dr CODERRE pour FEMMES PALES et FAI BLES, ont radicalement guéri ce que de multiples traitements coû teux n'avaient pas même réussi enrayer. Mme Jeanne PIRARD-PIREAUX Rue Cornemeuse, 22, Verviers. Les jeunes femmes, aussi bien que les femmes sur le retour de l'âge, se gué rissent parfaitement de métrite et d'ané mie au moyen des PILULES du Dr CODERRE pour FEMMES PALES et FAIBLES. Ce traitement pratique, le moins coûteux de tous, per met toute malade de se soigner elle- même, sans déranger en quoi que ce soit, ses habitudes de vie nu de travail. Femmes et jeunes filles qui souffrez, faites comme Mme Pireaux, prenez les PILULES du Dr CODERRE qui vous guériront sûrement. Ayez confiance, soyez persévérantes et le soulagement viendra certain et durable. Si je suis revenue la santé, c'est parce qu'un jour, ayant lu les guêrisons obtenues par les PILULES du Dr CODERRE, j'en ai acheté une boîte. Sans cela, je serais encore malade. J'estime donc qu'il est de mon devoir de faire savoir aux autres femmes qui, comme moi Fac-Similé exact d'une 1 oPc 'o P.lûtes lu Dr Coderre s' PALISIFAN Caa piu/,,3 o UNI jaaç/AlC soni dans LXS W80B*roi(>tJ oe la COHPAGHii tn ArttAÎÇUt CLLta son? TOUJo»<! viero»;iusis n a i a o il s or, fts:ANEMiE I CMLORCbt.PALES COULE UPS, Af FICTIONS NERVEUSES MAUX PEINS, DOULEURS Du VENTRE ME TRI TES, RETOUR o'A01 i Ppur fovj rtfiJf/'pKmgnfj f/<v /g c ''rcy/j r* PRIX: 5 FRANCS LA BOITE oiuoi o/Nt/>AL: FRANCO ■AM£Ft/CAN/ CHEMICAL I MOrvTREAL CANADA. - o—i revr», Damna, MmA Mme Jeanne PIRARD-PIREAUX, Rue Cornemeuse, 22, Verviers. Les PILULES du Dr C O l> I'. It H IH, pour FEVIVILS PALES «t FAIBLES, sont en vente dans toutes les bonnes pharmacies au prix de franc» la Invite. Dépositaire Général pour la Belgique Ph. Anglaise Ch. DE LAC RE et O", Bruxelles. Un magnifique almanach contenant des vues du Canada sera envoyé gratuitement toutes les dames qui en feront la demande PI LU LES DU Dr CODERRE I4Jrue Royale, Bruxelles, Dept. 45. %i Lundi 6 Novembre 1911. Tir Supplémentaire offert par le président •ttfcïjgr -mi AA Tir du 9 Novembre 1911. Blason Ordinaire Burgho A. 25 25 25 20 25 - HALEINE DESAGREABLE Avez-vous une mauvaise haleine? Prenez deux ou trois l'ois par semaine un GRAIN DE VALS avant le repas du soir, et vous obtiendrez une amélioration immédiate. M. Graaier, oiselier importateur5, Quai Monlebello, Paris, exposera et mettra en vente une superbe collection d'oiseaux de toutes espèces, le Merciedi 15 Novembre prochain, chez Monsieur Goethals, a Café des 3 Savoyards sur la Grand'Place, Ypres. Oiseaux de feu, cardinaux, rossignols, bengalis variés depuis fr. O-ÎJo. 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Honoré Verdonck, piès de la nou velle Poste, Ostende, est consulter le Samedi, de 9 4 tn hivs de l'après midi, l'Ilôtel du Cornet d'Or Place Simon Siévin, Bruges Les aulies jours de la s* marne on peut les consulter dez eux dans la matinée. la demande des clients, les bandagistes Verdonck se rendent domicile. Déclarations du 3 au 10 Novembre 1911. Naissances Verleure, Jeanne, rue des Plats. Jac ques, Albert, rue du Chevalier Jean. Begerem, Marie, rue Carton. Desra- maults, Marie, rue de Lille. Alleman, Gabrielle, rue des Boudeurs. Bories, Henri, rue Longue de Thourout. Pynoo, Hélène, rue des Trèfles. Duflou, Ger maine, rue du Canon. Vasseur, Alfred, rue de Menin. Delfosse, Oscar, rue de la Plume. Mariages Bruneel, Arthur, ouvrier maçon, Oost- vleteren, et Dezeure, Marie, dentellière, demeurant Ypres. Duprez, Omer, em ployé de commerce, et Dehondt, Noëlle, sans profession, Ypres Maas, Alphon se, comptable Marcq en Barœul (France), et Christiaen, Marie, sans profession, Ypres. Décès Rosseel, Pierre, 7o ans, sans profession, époux de Vandermeersch, Pauline, Basse- ville. Dieryck, Stéphanie, 63 ans, sans profession, veuve de Grimonprez, Gustave, épouse dé Samyn, Isidore, chaussée de Bruges. Bernard, Georgette, o semaines, Esplanade Maricaux, Pierre, 64 ans, sans profession, célibataire, rue Longue de Thourout. Hof, Emile, 1 an, rue Basse. Vantornhout, Henri, 7 mois, chaussée de Poperinghe. Desmedt, Pierre, 81 ans, sans profession, célibataire, rue Gustave de Stuers. Meersseman, Jean, 85 ans, sans profession, célibataire, rue de Lille. Rosez, Stéphanie, 81 ans. sans profession, célibataire, rue Wenninck. Laçante, Albert, o mois, rue des Plats. EN VENTE AU BUREAU DU JOURNAL: pour 1912. - 1.:îO fr. - om 9 ure voormiddag voorlkomende van de afbraaak van den EN BESTAANDE IN Aile slach Balken, Bad- deus, Madriers, I >lzni- ken, I jiften en plan cher, verdeeld m koopen telkens versebijnen. rue au Beurre 19, YPRES, a l'honneur d'informer sa clientèle que par suite de cessation de commerce de certains articles, elle liquidera partir de ce jour, toutes ses marchandises au prix de facture. Beaucoup d'objets seront soldés toute offre acceptable. Occasions faire. Boterstraat, 19, Yper, heeft de eer zijne klienteel Icenbaar te maken dat, tengevolge den uitverkoop van zekere artilcelen, het van heden af, al de koopwaren zal likwideeren aanprijs van factuur. Vele voorwerpen zullen ge- zoldigd zijn aan aile aanneernbare prijs. Schoone occasion. Le Dentiste M. Meier a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle qu'il ne pourra plus se rendre PROVISOIRE MENT Ypres pour y être consulté et qu'il n'y sera remplacé par personne. Les clients qui auraient cependant le désir de consulter M. Meier sont priés de se ren dre sa maison Courtrai, coin de la rue de Mouscron n" 2, maison porte cochère, près de la prison. En prévenant M. Meier quelques jour s l'avance, les personnes qui se rendent chez lui Courtrai le matin, pourront repartir l'après-midi. rSk TS ■tS ifSi TS <3S/TSi 4Ii® •S s oooooooo ooooooos^ ozoortxMM (M - îl O si 00 eo 00000 sn o s.'ioooor-o o or—ooirir—o-** r- S gjî e *2 gj gji'ô.Z! 3)3 m

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Le Progrès (1841-1914) | 1911 | | pagina 3