AVIS te d'Extension Universitaire Hyg Journal de l'Alliance libérale d'Ypres et de l'Arrondissement. Conseil communal Dimanche, 26 \ovembre 1911 7 te année. 48. L UNION pait LA POUCE Vires acqlirit kendo. PRIX DE L'Ali VWvfK>I r pour la ville Par a i 4: Ira i s p' la province P ir ail 4 fr. »0 p lÉrRANirBR Par ao 0 fr. 60 On s'abiane au bureau lu journal, hue ob Oixn ub, oi. Vi*rk>. - L s annonces, les laits divers et les réclames sont reçus piur l'i r m 1 sse a nu d'Vires -i -s ii.u Pi mires au bureau du Progrès. Pour la publicité eu nrs les 1*k Finira. 7» I »r exclusivement au Comptoir de Pablicité JACQ033 THIBESiliO, 44, Boulevard Anspacli, Bruxelles, téléohone 5330. ANNONCES: Annonces 15 centimes la ligne Réclames 25 Annonces i ndiciaires 1 fr. la ligne. AUX NOUVEAUX ABONNÉS. Les personnes qui pren dront un abonnement au PROGRÈS pour 1912, le recevront gratuitement partir de ce jour, jusqu'au 1r Janvier prochain. CEDCLE D ÉTUDES ET Y P R E S. Cours de M. t ll A lt G O I S, professeurà la Faculté des sciences appliquées AS I H< AI I 10 en 6 leçons, avec projections lumineuses Dimanche 3 Décembre 1911 L» Terre; MoiivcuruiI diurne. Dimanche 10 Décembre, I.H I.IIIM'. D'YPRES. Séance publique du Samedi 1S ,\o veiulire iOII. La séance publique est ouverte 5 h. 5 m. Sont présents MM. Golaert, bourg mestre-président. Fraeyset Vanden- bogaerde, Echevins; Fiers, Vandergho- te, D'iluvettere, bouquet, Sobry, Iweins, Lemahieu, biebnyck, Begerern, bans et Sevs, conseillers N. boudry, IL de seôrétaire. Le procès-verbal de 'la dernière séance est approuvé. En comité secret le Conseil a autori sé la main-levée d'une inscription hy pothécaire sollicitée par les Hospices. A la demande d'un conseiller, on aborde le dernier point l'ordre du jour. Il résulte d'une délibération de la fabrique d'église S' Martin, dont M. le Président donne lecture, que celle-ci voudrait voir moditier le plan d'en semble des restaurations effectuer l'abbaye de S1 Martin 1") la construc tion d'une tourelle pour la consolida tion du mur Est 2°) remplacement des briques par la pierre d'Euville poul ies créneaux. Le coût total de ces mo difications serait de 20.000 francs. Le Conseil approuve les conclusions de. la note du Collège par 8 voix contre 1 (M. iweins) et 5 abstentions (MM. Fraeys, D'Huvettere, Sobry, Lemahieu et biebuyck). Remis une prochaine séance. Les recettes ordinaires s'élèvent fr. 394.216-03 Les dépenses ordinai res fr. 350.973-72 Excédent l'ordinaire 43.242-31 [.es recettes extraordi naires s'élèvent fr. 333.720-54 Les dépenses extraor dinaires fr. 277.811-91 Excédentà l'extraordinaire 55.908-63 Excédent général Approuvé. fr. 99,150-94 Approuvé l'unanimité, moins deux abstentions (MM. Vanderghote et D'Hu vettere). Le Bureau de bienfaisance intervient raison de 8 francs par tète, dans les frais d'instruction de 463 garçons et 164 filles. Approuvé. Le budget pour 1912, s'élève en re cettes et en dépenses la somme de 8.300 francs. Approuvé. Le budget pour l'exercice 1912, s'é lève, en recettes et en dépenses, la somme de 10,720 francs. Il y a une légère augmentation, une distribution de prix devant se faire en 1942. Approuvé. 7. Hospices ciuils transfert de crédits. Le Conseil approuve, l'unanimité, une demande de transfert de crédits pour les deux comptes des Hospices. Le budget 1912 s'élève en recettes fr. 12.052-34 En dépenses 11.884-76 Excédent fr. 167-58 Approuvé. Le budget 1912 s'élève en recettes et en dépenses la somme de fr. 14.741. Approuvé. Interpellation de M. Biebuyck sur la non-observation du contrat du gaz. Jevousferai remarquer tout d'abord, qu'il y a un certain laisser-aller de la part des concessionnaires du gaz. En effet l'entretien des lanternes de l'éclai rage public laisse fort désirer le pouvoir incandescent est beaucoup trop faible (1) la Giaud'Place, sur les 25 réverbères qui s'y trouvent il y en a une vingtaine dont les vitres sont brisées enfin les réflecteurs qui, je pense, doivent servir quelque chose, sontd'uneinefficacitéabsolue. J'appelle l'attention du collège sur ces faits et le prie de vouloir bien demander la société du gaz, de se conformer stric tement au contrat et notamment l'ar ticle 25. Mais laissons ces petites questions là. Depuis quelques an nées, des moteurs pétrole, gaz ou gaz pauvre sont utilisés par des industriels ou des com merçants. Ils e!i profitent pour s'éclai rer l'électricité. Or, il arrive qu'un propriétaire possédant des immeubles des deux côtés d'une rue, doit traver ser celle-ci par un câble aérien pour distribuer le courant électrique ses propriétés. Tel est le cas notamment pour l'école industrielle St Joseph. Mais la société du gaz entend empiéter sur ces droits, indiscutables d'après moi. Elle déclare avoir le monopole pour la fourniture de l'éclairage. En tant qu'éclairage public par le gaz, elle est dans son droit. Pour l'éclairage privé, soit gaz, ou tout autre mode, elle ne l'est plus. En effet le contrat est formel ce point de vue il ne vise que l'éclairage par le gaz. La ville a toute liberté de se faire éclairer l'électri cité Si une centrale électrique était établie Ypres, on pourrait utili ser le courant électrique pour nos trams étendre l'éclairage l'extra- muros. La ville ne doit même pas don ner la préférence la société du gaz. Toute liberté lui est garantie cet égard. Tout particulier a le droit de s'éclairer soi-même au gaz, l'électri cité ou de toute autre façon et de tra verser la rue, pour l'installation de celui-ci avec l'autorisation du Collège. A l'appui de sa thèse, il cite des ex traits du compte-rendu de la séance où le contrat fut discuté. Une longue discussion s'engage sur ce point entre MD'Huvettere et Co laert. Finalement M. D'Huvettere expli que ce qui fut alors sa pensée et n'ad met pas qu'on lui fasse dire des insani tés. Comme conclusion son interpella tion, M, Biebuyck demande au Collège de mettre l'étude la concession de l'éclairage par l'électricité. La préfé rence 11e doit même pas être donnée M. De Brouwer. (1) Il informera la société du gaz des ré clamations faites par l'honorable inter- pellateur. Il affirme, d'autre part, que la ville se réserve tous droits quant l'électricité et que les particuliers ont le droit d'établir n'importe quel éclai rage chez eux toutefois ils ont en de mander l'autorisation au Collège et celui-ci veillera avec soin que ce der nier point soit rigoureusement observé. La séance publique est levée 6 h. 45. jA moyen infail- ICiEG, libie et peu coûteux d'assécher les murs des appartements humides, etc. Bâtis seurs, écrivez MM. J.-J. Devos, carrelages, Tournai. lu Chambre. Le débat militaire. De deux heures quatre heures et demie, sans éprouver d'ailleurs la moin dre fatigue, le général Hellebaut a lu les feuillets de son discours et les ex traits d'un formidable dossier placé côté de lui. Si on l'interrompait pour obtenir une explication sur un détail intéressantil se dérobait en disant qu'il ne pouvait pas révéler les secrets de notre organisation militaire et de la défense nationale. i0avai*ttaitt le i^intancite. Extension de l'Université Libre de BRUXELLES Dimanche 17 Décembre, Nlouveinent iiiiiuiel de lu Terre. Dimanche 7 Janvier 1912, l,e Soleil. Dimanche 44 Janvier, Le Système Solaire, Dimanche 21 Janvier, L'Lnivers Sidéral tmssss -3s<*35 M. le Président passe immédiatement l'ordre du jour çiY. procédant l'in stallation de MM. baus et Seys, comme conseillers communaux. lis prêtent serment en flamand. Colarrt trouve' qu'il y a lieu de se féliciterdu succès obtenu aux élections communales du 15 Octobre dernier. "Cela prouve suffisamment que nos can didats avaient la sympathie publique. Les nouveaux élus seront un soutien pour l'administration communale. (1) (i) Si c'est par la pression exercée sur les 8o 85 hospitalisés par celle exercée sur ks 733 ménages secourus d'une façon per- manérite, recevant annuellement AO.I77 francs, des Hospices et du Bureau de bien faisance dont toutes les places sont détenues par les cléricaux par l'intervention minis térielle auprès du personnel de l'Ecole de bienfaisance de l'Etat et par l'achat des votes des électeurs pluraux, que l'on acquiert la sympathie publique, il y a lieu d'en être fier. Le madré Poperinghois peut se féliciter du succès obtenu a ces conditions là aux élections communales du 15 Octobre dr. Les honnêtes gens sont d'un avis con traire. [X. d. 1. R.J 11. Culte fabrique d'église S1 Martin: modifications aux travaux de restaura tion de l'ancienne abbaye de Si Martin. M. le Président donne lecture d'une noie du Collège, statuant sur les modi- lications proposées: la conclusion en est que le Collège les rejette par 2 voix contre 1, estimant qu'on pourra conso lider le mur Est l'aide d'ancrages et de poutres de chêne. Au surplus, il convient de construire le moins possi ble et de restaurer le plusqu'on pourra. La fabriqued'églisese laverait les mains pour ces nouvelles dépenses et la ville devrait s'en charger seule. 10. Culte procès-verbal d'adjudica tion des retours du transept méridional de l'église S' Martin. 2. Finances communales Compte de la ville pour 1010. 3. Propriétés communales demande d'achat de terrain. M. le Président. M. Schmidt avait demandé l'acquisition, au boulevard de la Station, d'une parcelle de terrain. Ce dernier ne pouvant convenir qu'à M. Schmidt seul, nous n'avions pas eu recours l'adjudication publique. Or, la Députation permanente vient d'an nuler cette vente. Nous devons nous incliner et recourir l'adjudication publique d'un terrain de 5 x 30 150 mètres carrés, sur une mise-à-prix de 15 fr. (1) M. D'Huvettere. Je crois qu'il est accordé un délai de 4 ans, avant de construire c'est long. (f) L'administration des Hospices aura- t-elle recours, cette annee, l'adjudication publique pour tous les objets nécessaires I cet établissement hospitalier Dans le cas contraire, ce serait une bonne occasion pour la Députation permanente d'exiger des Hospices de se conformer aux vœux de la loi. [N. d. 1. R.] M. Colaert. On ne peut tout de même obliger construire de suite. 4. Instruction publique liste des ayants droit d l'instruction gratuite. 5. Ecolede Musique budgetpour 1912. 6. Ecole Industrielle budqet pour 1912. 8. Culte Budget 4912 de la fabrique d'église S1 Pierre. 9. Culte Budget 4912 de la fabrique d'église SJacques. M. le Président donne la parole M. le conseiller Biebuyck, qui a demandé au Collège de pouvoir l'interpeller sur la non-observation, par la société du gaz, du contrat. M. Biebuyck. Je désire appeler l'attention du Conseil snr l'application et la portée du contrat du gaz. (I) C'est un éreintement en règle du gaz de la Cousine. Saluez, .\1. Fraeys de Veubeke (X. de la R.) M. Begerern s'élève contre la longueur de cetle interpellation et des débats qu'elle a soulevés. Il ne peut en ap précier la portée puisqu'en 1905, lors de la discussion du contrat, il ne faisait pas partie du Conseil. M Colaert répond brièvement M. Biebuyck. -z&exmesi'&S-g -ŒS-SS rsirn th*» Ste£ S52 *31 ~*3 *3 Séance du Mercredi 22 Novembre. Cela ne fera pas l'affaire des action naires de la s'Xkté du gaz, M. Biebuyck. Qu'en pensera M. le Doyen ?|N i.LR.j

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Le Progrès (1841-1914) | 1911 | | pagina 1