iulesd» DrScderre PÇf KMBtUX GUIDE D'YPRES FOUR GUERIR L'ANEMIE kémid CRESSINTHE cyclistes PNEUMATIQUES COLONIAL Vient alors le MAITRE DE CHA PELLE, de Paër, encore un opéra-co mique qui ne nous est pas inconnu. Ceci vaut mieuxinfiniment mieux. Au point que M. Ernest Proot, doué d'un excellent organe de baryton, est même parvenu dissiper l'exécrable impression produite par le numéro précédent. Ce n'est pas peu dire. Aussi le public, qui lui en sut gré, a-t-il fait un accueil chaleureux ce régal d'au tant plus agréable qu'inespéré. Puis, enfin, PAILLASSE, le drame lyrique célèbre de Léoncavallo. Ce ne fut pas sans appréhension qu'on attendait son apparition. A quel massacre, grands dieux, allions-nous assister Qu'allait devenir le magnifi que Prologue dans la bouche d'un Tonio.... grippé Mais M. Proot veillait. Et si M. Proot ignora quelle angoisse mortelle il apaisa dans la salle en annonçant qu'il se chargerait de l'exécution du Prolo gue, il connut bientôt les délices d'une ovation aussi enthousiaste que méri tée. A Ypres, on tait bien les choses quand on applaudit, on y va de bon cœur et quand on siffle, oh là, là Et ensuite, le drame se déroule assez convenablement. Paillasse ap prend avec amertume son déshonneur, nous chante son désespoir de se sentir pousser,* sur son chef enfariné, cer tain ornement dû l'inconstance de la frivole Nedda et se venge le plus roma- nesquement possible, avec, pour ar me, un couteau de table ébrèché, et, pour décor, un vieux tapis ou quel que chose dans ce genre qui se balance en travers de la scène. Et les chœurs bons. C'est encore ce qu'il y a de meilleur. Cela nous change un peu. Quant l'accompagnement, il était si bruyant que nous avions des crain tes très fondées de voir l'orchestre lisez le clavecin rendre l'âme sous nos yeux. La pianiste, un professeur de conservatoire, s'il vous plait en voulait-elle mort ce pauvre instru ment d'un autre âge Ou bien cher chait-elle étoutl'er sous les accords les fausses notes qu'égrenaient impi toyablement certains des acteurs Mystère 1 Thaly. Brasserie L'YPffGISE rue île la ISmielie, 28. Remise, domicile par 12 et 24 bouteilles. »H«s«s«as'38!®ss:sa<fflsaB«fflSiœs«SîSK^2S Théâtre il1 Ypres. Récital Mulders. DIMANCHE 14 JANVIER 1912, 4 1/2 heures du soir. I£. Gluck. 1' 11 O G 11 A M M 1. Air d'Alceste. 2. La Plainte de la Jeune Fille. Schubert. Chantés par Mlle Mulders. 3. Sonate en fa dièze (Ie partie). Schumann. Exécutée par M"* Preumont. 4. Prière de la Tosca. Puccini. 5. L'Invitation au Voyage. H. Duparc. Chantés par M"c Mulders. 1. Songe et air d'Iphigénie en Tauride. Gluck. 2. a) Une Larme du Ciel. Schumann. b) Clair de Lune. Schumann. Chantés par M"e Mulders. 3. a) N octurne, Liszt. b) Scherzo. Mendelssohn. c) Pièce pour Clavecin. Scharlatti. Exécutés par M"6 Preumont. 4. Chanson triste. X. Le Maistre. 5. Air d'Aïda. Verdi. Chantés par M"0 Mulders. N.B. On peut se procurer des pla ces chez tous les membres du Comité et chez M. Tvberghein-Fraevs, rue des Chiens, 17. REPOS DOMINICAL. 8*l>armucie ouverte Jl. .1 i)K HOUCK, il L E DE DIX MU DE,16. Y PRES. pour Ferowes Pâles et Faibles M™ DEVOS, rue de l'OrientBruxelles. Dépôt Ypros CAMILLE LlBOTTE. Toux, rhumes, PASTILLES KEATING, voir aux annonces. Décorai ion civique. La croix de 1° classe est décernée M. Pondeville, régent l'Ecole moyen ne de l'Etat Ypres. M. Pondeville est depuis nombre d'années, professeur notre Ecole moyenne. Il s'y est toujours distingué par ses hautes capacités et. c'est juste titre, qu'il vient de recevoir cette distinction. Nous lui adressons nos plus sincères félicitations. -«S «S remplace l'absinthe. Contributions directes, douanes el accises. M. Harnetiaux, receveur des contri butions directes, douanes et accises Beauweiz, est nommé en la même qualité Neuve-Eglise. Cette ima^re amusera. sans= doute vos petits,mais vous-mê me vous apprécierez certaine ment, les nombreuses qualités et les av:.ntagres de l'emploi du SUlMUGhT SAVON Société Kovale des Francs Arbalétriers. Haut total Ommeslagh R. Bas total Dewanckel J. Garde civique, Tir Réduit du 4 Janvier 1912. Froidure R. 25 Pintelon M. Vermeulen H. Hamendt A. Masschelein A. Dehollander H. Ommeslagh R. Poelemans D. Burgho A. Gaimant A. Tir du 11 Froidure R. Dethoor F. Vantholl H. Ommeslagh R. Masschelein A. Vandevyver A. Burgho A. 115 105 105 100 100 100 100 95 90 90 25 25 25 20 20 20 15 20 25 25 25 20 20 15 25 15 15 20 25 25 15 25 20 20 20 25 15 25 15 20 25 25 20 15 15 20 15 20 15 25 20 15 15 20 20 25 15 15 10 25 Ordinairë 25 25 25 20 25 120 20 25 25 25 20 115 25 25 25 20 20 115 15 25 20 25 25 110 20 20 20 25 25 110 25 20 20 20 15 110 20 25 25 20 20 110 6RA9ITS DURS POLI IHAli'ÉRflÊ ECA05SÎNME5 (Carrières) MONUMENTS ,FUnÉRAIR£.5 PRIX REFAIT POSÉS AU CIMETIÈRE Déchiqueté par une scie mécanique, sous les veux de sa femme. Un effroyable accident s'est produit au hameau du Calvaire, route d'Ypres, Wambrechies, dans l'atelier deM. Cy rille Vandemaele-Duvrie. M. Vandemaele, accompagné d'un mécanicien qui venait d'installer un nouveau moteur pour sa scierie méca nique, se trouvait près d'une machine, dont il expliquait sa femme le méca nisme. S'étant courbé, un moment donné, M. Vandemaele fut entrainé jusque sur la scie, par son tablier, qui avait été happé par un engrenage. En un clin d'oeil, le malheureux avait la figure et la poitrine horriblement dé chiquetées de plus, les bras étaient tranchés par les différentes scies de la machine. Cette scène affreuse s'était déroulée d'une façon foudroyante, sous les yeux de la femme de la victime. Qn arrêta la machine, et 011 dégagea les restes du malheureux. Les docteurs n'ont pu que constater le décès. M. Vandemaele laisse quatre enfants, issus d'un premier mariage. Il s'était remarié au mois de juillet dernier, et sa seconde femme a des espérances. L'enquête a établi que c'est en recu lant que M. Vandemaele eut le tablier pris par la bague d'entrainement obéis- santauxmouvements de la commande, près de laquelle il s'était imprudem ment approché. Co mines. Ilutean sombré aluns lu Lys. Lundi matin, vers 10 heures, un ba teau chargé de 280 tonnes de charbons, appartenant M. Debacker, d'Antoing, et destination de Roulers, a heurté les estacades au pont sur la Lys VVar- nêton et a sombré 50 mètres en aval du pont sur la rive française. La navi gation n'est pas interrompue. Exigez sur votre vélo les ou DEIJX ATVOH KS S. A., S.Uiiai «lu Strop, GAXI» la maison Florihoxd BAKTIER, rue au Beurre 19, YPRES, a l honneur d'informer sa clientèle que par suite de cessation de commerce de certains articles, elle liquidera partir de ce jour, toutes ses marchandises au prix de facture. Beaucoup d'objets seront soldés toute offre acceptable. Occasions faire. het huis FLORIMO.VD BAKTIFK, Boterstraat, 19, Yper, heeft de eer zijne klienteel kenlaar te maken dut, tengevolge den uitverkoop van zekere artikelen, het van heden af, al de koopwuren zallikwideeren aanprijs van factuur. Vele voorwerpen zu len ge- zoldigd zijn aan aile aanneembare prijs. Schoone occasion. oaooooioo-^ iC h- O O JO o S Ji .s «u J g g O 03 D CT V 3 3 2 'S ~<b o D uj EN VENTE AU BUREAU DU JOURNAL NOUVELLE EDITION, prix 1 (r. 25. On se charge au bureau o du journal de l'impression de lous genres de travaux tant eu lithographie qu n typographie. Bière spéciale et bière bock en bouteilles. Première Partie. Deuxième Partie. Dimanche 14 Janvier 1912, rien n'égale les /M Mme D'-OS. i. rue de l'Orient, i Bruxelles, gravement malade d'à nile, témoigne qu'elle ne doit sa guêrison qu'aux Pilules du I)' Coilerre. L'anémie est de toutes les maladies fémi nines celle qui est la plus répandue. On peut sans exagération affirmer que presque toutes les femm- s en souffrent ou en ont souffert. L'anémie nT-si :.re chose qu'un état de fai blesse résultant, 'oit cll'appauvrissement, soit i de la raréfacti r du se: ce qui a pour résul tat de déprir eut if-- ent tout l'organisme. Les FHIuleo du Dr Coderre pour Femi idi. P les et Faibles sur tous les autres remèdes un i n!< siab'.e supé riorité, car, en plus de la commodité qu'offre ce traitement si simule et si pratique h suivre, les Pjl'iles du Dr Coderre sont faites sp ment pour reconstituer et régénérer le sae le la femme. Da; leur composition, entrent tous les prin cipes indispensables pour refaire b la femme anémiée un sang généreux, pur, abondant et limpide, sans lequel il n'est pas de bonne santé possible. Le témoignage que nous publions ci-dessous est celui d'une personne très anémique depuis quinze ans, que les Pilules du D' Co derre ont complètement et rapidement ren due la santé. J'atteste avec grand plaisir que c'est aux Pilules du D' Coderre pour Fem mes Pâles et Fâibles que je dois ma guérison. T'étais anémique depuis quinze ans, et malgré tous les soins que j'avais pu me don ner, après avoir été traitée par plusieurs méde cins, mon état de faiblesse ne faisait que s'aggraver. x» J'avais très mauvaise mine, le teint jaune, les traits tirés, je souffrais terriblement de l'estomac et ne digérais que très péniblement le peu d'aliments que j'absorbais, sans grand appétit, c'n reste. Les Pilules du R' Coderre ont produit sur moi un effet extraordinaire, car, en quelques semaines, elles m'ont complète ment transformée. Je sui,s émerveillée de me sentir beaucoup plus fo"lo, et quel soulagement r ur moi de pouvoir manger avec plaisir, dp bien digérer et de ne plus souffrir de l'estomac. C'est en toute sincérité nue ie recommande les Pilules du Pr Coderre toutes les femmes oui souffrent de faiblesse et d'anémie. Les PUUI.ES du Dr CODERRE pour FEMMES PALES ot faibles, sont toujours vendues rn boites de cinquante pt- luï Vo'pouv- les obtenir clans toutes les bonnes phar macies de la Belgique. Si toutefois votre pharmacien ne les a j 'b. elles vous seront envoyées franco contre bon de poste 3 francs la boite. Un magnifique almanach contenant des vues du Canada sera envoyé gratuitement toutes les dames qui en feront la demande 4 PILULES DU Dr CODERRE 14s, rue Royale, Bruxelles, Dept. 44. Triple éconc 'ede Tei'.PS ARGENT LINGE Lundi 8 Janvier 1912. Blason Varié. Janvier 1912. Cl vs voulez corr. v. avenir et la clé qui vs guftfera infailliblement la réussite env. qq. ligMS récriture J. C., graphologue, 12, rue Mattdea Polain, Liège (Belgique) vous serez émerveillé. OOOOOOOOO OîOOOStîOOCO OhOC-XCîÔ M r- (M O n O Oî'^CîOCt'C^ -- O' sa io co O O O O O o <5* o o 00 o o r— 5 fcx 'o cd CD +-> V G

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Le Progrès (1841-1914) | 1912 | | pagina 3