PILULES OU D' CODERRE Un record. M" Wvient de donner le jour son vingtième enfant. Voilà, du moins, une famille qui s'efforce faire progresser la popula tion Yproise C'est lë Père de la Cité qui sera con tent Slundiuna. Le pince-sans-riredu/owmaZ d'Ypres déroge, de temps en temps et non sans malice, sa mission fastidieuse d'en censer, propos de tout et propos de rien, le Père de la Cité. C'est ainsi que dans son dernier nu méro, faute de pouvoir allumer un cierge en son honneur, en actions de grâ ces pour le Stand fantôme éternelle ment promis qu'il persiste refu ser la ville d'Ypres, (ville de garnison hébergeant un millier de militaires et de gardes civiques) le Journal engage les amisdu noble sport du tir d'allumer un cierge au gouvernement catholique qui vient d'instituer, sous la présidence de M. le général Wauters, une commission per manente des Stands de tir qui aura, éventuellement, se substituer aux administrations communales, incapa bles, négligentes ou antipatriotiques. On ne pourrait mieux faire compren dre aux intéressés que c'est dans le nouvel organisme qu'ils ont fonder leur espoir, vu que l'autorité locale se montre impuissante C'est égal, quand on est député et candidat bourgmestre, quand on se pique d'une certaine dose d'influence, il nous semble dur d'être mis sous tu telle par ses propres amis Voici l'arrêté royal en question ALBKRT, Roi des Belges, Société Itovale (les Francs Arbalétriers. Haut total Mallieu, L. Bas total Dupont, D. Moyen total Vermeulen, L. Moyen total Declein, F. BÉÏ i- r*P :J VER.FIEZ VOUS-'-EMES LES GUÉRISOKS pour Femmes Pâles et Faibles t onniiim:, pour Firmes IMLliS et FAIBLES, sont en vente dans toutes les bonnes pharmacies au prix de franc* la liuite. 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Dumoulin avait récemment manifesté ses regrets de ne pas connaître le roi et son désir de pos- séderdeluiunephotographie.Lesouve- rain s'est résolu lui porter lui-même cette photographie, et hier l'auto royale est arrivée Arquennes où la foule a acclamé sa Majesté. Dumoulin avait re vêtu son vieil uniforme de volontaire pour recevoir le roi, et il a trinqué avec lui. L'entrevue a été très cordiale et: très émouvante. Tous les assistants avaient les larmes aux yeux. Quand le roi sortit<ie la maison il fut longuement ovationné. État-Civil d1 Ypres. Tresy, Elise, chaussée de Dicke- busch. Vanleene, Irma, rue du vieux Lapin. Buytaert, Julie, rue de Rou- lers. Mahieu, Jean, chaussée de Dixmude. Vermeesch, Maurice, Posthoornenstraat. Grimmonprez, Richard, tourneur en fer et Bories, Marie, servante, Ypres. Gnockaert, Alphonse, forgeron et Heughebaert, Emilie, s. p. Ypres. Desmedt, Sophie, 66ans, bout1*, épou se Bruneel, Henri, rue St Jacques. Verminck, Marguerite, 2 ans, rue Basse. Platteau, André, 4 ans, vieux Marché au Bois. Vermeersch, Anne, 74 ans, sans profession veuve Ledoux, Pierre et Mortier, Félix,chaussée de Poperinghe. Verpoore, Rosalie, 87 ans, sans profession, veuve Dethoor, Armand, rue de Lille. Van Thienen, Philomène, 66 ans, sans profession cé libataire, chaussée de Poperinghe. Service pharmaceutique. Pour répondre au vœu exprimé par leur clientèle, lespharmacies LIltOT- TI2 et MAY resteront ouvertes tous les dimanches et jours fériés. 0000020 X- aO lO ao o O t""" O co C 71 C5 CO G5 O) O C h" O (îl -^1 O GJ LO CO A) c cn 3 C- D w-25 c S, A tous présents et venir, SALUT. Vu l'importance attribuée dans toutes les années l'instruction pratique du tir Vu la nécessité d'assurer cette instruction, non seulement dans l'armée active et dans la garde civique, mais encore parmi les mili taires en congé illimité et la jeunesse qui désire se préparer remplir ses obligations militaires Considérant que l'établissement des plans des stands de tir et la recherche de leur emplacement nécessitent des connais-" sances spéciales et une longue pratique Considérant qu'il y a lieu de faciliter aux administrations co nmunales les études né cessaires cette fin. dans le but d'éviter des mécomptes et de leur fournir tous les renseignements indi pensablespourréaliser promptement une entreprise aussi delicate Sur la proposition de Notre Ministre de l'intérieur. Nous avons arrêté et arrêtons Art. 1er 11 est créé au département de l'intérieur une commission des stands com posée de trois membres dont un secrétaire. Ces membres seront nommés par Notre Ministre de l'intérieur qui fixera l'indemnité dont jouira le secrétaire. Cette indemnité sera charge de l'article du budget du ministère de l'intérieur affec té la construction et l'ameublement des tirs la cible en province. Art. 2 Les membres auront droit, éventuellement, aux indemnités pour frais de route et de séjour déterminées par Notre ar rêté du 31 janvier 1909 pour les officiers et agents ressortissant au service de la garde civique, d'après une assimilation établir par Notre Ministre de l'intérieur. Art. 3 Notre Ministre de l'intérieur est chargé de l'exécution du présent arrêté. Donné Bruxelles, le 18 Décembre 1911. ALBERT. Par le Roi, le Ministre de l'intérieur, Paul BERRYER. Lundi 15 Janvier 1912. Tir offert parle Doyen. obtenues par les M Germain* De Keyser, 66, rue Wayez, Amie lecht-Bruxelles, ajoute son témoignage ceux des nombreuses jeunes filles guéries par les Pilules du De Coderre. Les PILULES du Dr CODERRE pour FEMMES PALES et FAI LLES ont leur actif des guérisons si •e veilleuses, sont si foncièrement effi- ces, que les témoignages sont publiés 3C l'espoir que les femmes malades iront elles-mêmes se renseigner auprès •■c celles qui sont guéries par ce bon remède. Les dames dont les photogra phies, les noms et adresses paraissent dans nos annonces habitent ici en Bel gique, tout près de vous, dans votre pays même, de sorte qu'il vous est facile de vous rendre compte par vous-mêmes si vraiment elles ont été guéries par les PILULES du Dr CODERRE, tel q"} nous le disons Ecrivez ces dames, ou allez les voir; demandez-leur ce que les PILULES du Dr CODERRE ont fait pour elles; elles vous diront qu'étant malades depuis des années elles avaient tout essayé en vain et que c'est grâce aux PILULES du Dr CO DERRE qu'elles jouissent maintenant d'une parfaite santé. Les PILULES du Dr CODERRE sont un remède fait spécialement pour la femme et la jeune fille, pour toutes celles qui souffrent soit de l'anémie, de la mé- trite, du retour d'âne, d'irrégularités, pauvreté du sang, nervosité, faiblesse, maux de tète, maux de reins et de toutes les maladies particulières l'orga nisme de la femme. Les PI LU LES du Dr CODERRE purifient et enri chissent le sang et c'est dans le sang que se trouve la cause de tous ces maux, dans le sang qui est vicié et appauvri. Jeunes filles qui souffrez de l'anémie et de ses complications, il vous faut un remide comme les PILULES du Dr CODERRE ces pilules agissent directement sur le sang, le transforment en le purifiant et en lui donnant les prin cipes vivifiants qui lui faisaient défaut. Les PILULES du Dr CODERRE pour FEMMES PALES et FAI BLES n'offrent aucun danger et se digèrent par les estomacs les plus déli cats; ellçs peuvent être prises en tout temps et ne nécessitent aucun change ment dans les occupations ordinaires. Elles sont également bonnes pour les fiiîTvtes, bonnes pour les jeunes filles, bonnes pour les mères et bonnes pour les femmes sur le retour de l'âge. Suivez l'exemple de Mlle Germaine De Keyser, qui jouit maintenant d'une santé florissante; prenez sans plus tarder les PILULES du Dr CODERRE, et votre tour vous serez guérie. I Les PILULES du Dr Dépositaire Général pour la Belgique Ph. Anglaise Ch. DE LAC RE et C", Bruxelles. Depuis deux ans je souffrais t'anémie, j'avais des douleurs dans les reins, les jambes, dans Le dos, par tout le corps Je n'avais plus d'appétit, je n dormais pas ou quand je dormais, j'avais le aujhemar et je transpirais tant la nuit qu je pouvais tordre mon linge le matin J'étais si faible, si malade que j'avais dû aller l'hô pital plusieurs fois. Beaucoup de médecins m'ont soignée, mais ans jamais me guérir. Aujourd'hui, grâce aux PI LULES du Dr CODERRE, je dors très bien, je mange comme quatre, je ne transpire plus, bref, je ne souffre plus du tout. G est un vrai miracle, je ne me reconnais plus, tellement je me sens bien; ma mère et les miens sont des plus heureux de me voir ainsi Autrefois, j'étais très irrégulière et mes époques me rendaient si malade que je devais garder le lit pendant plusieurs jours-, aujour d'hui, tout est redevenu normal, j'ai une santé florissante, je me sens vivre, et je no puis mieux exprimer ma reconnairsance en vers les merveilleuses PILULES du Dr CODERRE qu'en racontant ma guèrison toute femme qui désire recouvrer la santé. Mlle Germaine DE KEYSER, 66, rue Wayez, Auderlecht-Bruxelles. 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Le Progrès (1841-1914) | 1912 | | pagina 3