Pilules Dr Coderre ATLAS Compagnie Àllemaïf d'assuranc^surlavie Pa j.1 Lesafifre four guerir l'anemie ypres. Suppléants: MM. Begerem, Vermeulen. Liste n" 4 Effectifs MM. Colaert, Van Merris Vermeulen." Suppléants: MM. Begerem, Brutsaert, Leterme. Voici les résultats du poil Votants, 796 Votes valables, 745 Majorité absolue, 373 Liste n° 1, 168 Liste n° 2, 386 Liste n° 3, 106 Liste n° 4, 73 Ce poil de l'Association cléricale est vraiment amusant. On sait que c'est M. Alexandre Berghman, avocat Ypres, qui a attaché le grelot. Il fallait en finir avec la chapelle, qui depuis trop long temps disposait sans contrôle des des tinées du parti dans l'arrondissement. Seulement, le beau xAlexandre s'est fait rouler dans les grandes largeurs par la chapelle, dont il avait conçu la perte. Le poil a été accepté d'une façon sé rieuse pour le Sénat parce que la cha pelle y avait intérêt c'était, en effet, la seule façon pour elle d'y placer l'un des siens M. Fraeijs, en lieu et place de M. Bruneel, sénateur suppléant sor tant qui n'avait pas démérité. Mais pour la Chambre, la chapelle n'avait aucun intérêt au poil, puis qu'elle voulait le maintien des deux députés sortants. Aussi a-t-elle trouvé la petite combinaison du poil de listes en ayant bien soin de faire figurer sur toutes les listes, MM. Colaert et Van Merris aux premières et deuxièmes places. Et comme les votants devaient faire leur choix entre les listes sans rien y modifier, il s'est fait que la chapelle a obtenu tout ce qu'elle dési rait. Seul M. Begerem a écopé, puis qu'on l'écarté de la première suppléan ce, ce qui encore était le désir de la chapelle: Décidément, la chapelle tient bon, et le coup qu'on a voulu lui porter, pour être uu coup d'essai, n'a pas été un coup de maître (sans jeu de mot). Aux {Mfrteurs de livrets de la cuis e d'épargne. Les porteurs de livrets de la caisse d'épargne ont été obligés par celle-ci d'acheter des titres de.rente au pair, 100 fr. ils possèdent ensemble des fonds de la caisse d'épargne pour 473,142,600 fr. les titres de rente sont tombés 85 fr. chaque porteur de li vret perd 15 fr. sur 100 fr., soit pour 4,000 fr., 600 fr. soit 5 années d'inté rêts Votez contre le gouvernement dont la gestion financière vons a imposé une perte énorme Pourquoi la rente baisse. Si l'on voulait encore une explica tion de la baisse de le rente, voici, d'après des chiffres fournis par le mi nistre des finances M. Peten, ce que notre gouvernement a jeté de valeurs belges sur le marché depuis le 1" Jan vier de cette année Pour 21 millions 221,900 francs de titres de 3 p. c. de la Dette publique. •Pour 12 millions 700,000 francs de bons du trésor, émis en Belgique un taux moyen de 3.266 p. c. Pour 60 millions 602,500 francs de bons du trésor, émis l'étranger, au taux moyen de 3.583 p. c. Soit une saignée d'à peu près cent millions en un trimestre es «S ~S ï-rss TS, «S «S tS «CS Elections législatives. n Nous lisons dans le Patriote du 10 Avril 1912 A OSTENDE. On nous écrit, 27 La liste catholique pour le Sénat est défi nitivement constituée comme suit On avait d'abord annoncé que M. Eugène Hevndrick serait candidat. Nous pensions bien que cela n'était pas sérieux. Service pharmaceutique. Pour répondre au vœu exprimé par leur clientèle, les pharmacies M BOT TE et AI A Y resteront ouvertes tous les dimanches et jours fériés. Aeei oioiî ie On nous écrit de Reninghe Toute la région s'est émue de la mort de la plus que centenaire de Reninghe, dame Amélie-Sophie De- wancker, veuve Carli, qui née dans cette localité, le 12 Septembre 1907, vient d'y décéder l'âge de 104 ans, 7 mois et 1 jour. Les obsèques ont eu lieu Jeudi der nier, au milieu d'un grand concours de monde Nous présentons la famille de la vénérabledéfuntenos vifs compliments de condoléance. Les écoles ménagères libres. Comment les cléricaux font de ia galette. Mises en appétit par les fabriques d'église qui tout un temps retinrent notre attention par leurs comptes et budgets très audacieusement et sa vamment torchés il faut le recon naître voici que les écoles ménagè- res cléricales font des comptes sem- I blables ceux des ratichons pour ex- traire des caisses publiques ou si vous le voulez, du trésor de l'Etat, le maxi- mum de rendement. Il n'y a pas dire, mais les très chè- res sœurs de nos abbés et vicaires qui s'occupent de l'enseignement mêna- ger, ne perdent pas du tout leur i temps. i Voyons donc les chiffres de ce nou- I veau compte.... d'apothicaire, bien qu'il s'agisse d'une école ménagère dirigée par des filles du Seigneur. Et d'abord, disons qu'une dépèche ministérielle constate que l'école fonc tionne durant vingt-quatre semaines raison de trois séances pratiques, soit septante-deux, plus deux autres théo riques. Il y a évidemment des cours du jour et du soir puisque plus on en orga nise plus cela rapporte. Il est même probable aussi que ce Lgont les mêmes élèves pour les deux cours, ce qui rappellerait le cortège de la «Juive où l'on voit toujours défiler les'mêmes personnages. Ce qui est amusant dans ce compte, c'est la nomenclature des noms des nonnettes qui émargent soit comme directrice pour 1,200 trancs ou comme maîtresse pour un minimum allant de 600 800 francs par an Naturellement, comme il y a des cours le matin et le soir et qu'il n'y a pas moins de deux tiers d'une dou zaine de religieuses qui y sont occu pées, l'école du jour doit nécessaire ment préparer le diner du couvent et celle du soir le souper Un des postes rigolo, mais vraiment rigolo, c'est celui relatif l'éclairage de cette école du.... jour évidemment. Songez qu'on y renseigne une con sommation de plus de 500 litres de pétrole C'est probablement lessiver la nuit qu'il faut tant de pétrole, de bois, d'allume-feu et de charbon que la note s'est élevée un import total de plus de 680 francs. Et du savon et du sel de soude En voilà des drogues qu'on consom me par centaines de kilos. Ne nez pas, ménagères, qui avez de nombreuses familles et des ballots de vos fils mineurs et métallurgistes dégraisser et laver. A l'école ménagère catholique, il n'a pas fallu moins de 250 francs pour as surer le nettoyage, le lavage et le re passage. Nous ne voulons pas insister sui les frais d'entretien du mobilier, qui sont excessifs et qui n'indiquent ^jas du tout un soin trop méticuleux de la vaisselle. Un peu moins de casse serait même de mise. Mais ce qui montre ia légèreté avec laquelle on gave les maisons religieu ses avec l'argent des contribuables, c'est la dépense renseignée pour frais alimentaires dé l'école que nous vi sons. D'après nos calculs et en tenant compte des instructions ministérielles, qui veulent expressément que chaque repas ne dépasse point la somme de 1 fr. 80. il y aurait eu au cours des 24 semaines, 490 séances, soit VINGT SÉANCES PAR SEMAINE. Or, une dépèche ministérielle du mois de Mars constatait justement qu'il ne se donnait que TROIS SÉANCES de l'espèce par semaine. Comment peut-on mentir aussi ef frontément Comment ose-t-on ainsi exploiter la bourse de l'Etat Nous posons la question au ministre Hubert, qui nous demandons qui li vre ainsi au pillage des couvents les finances de l'Etat belge. Nous lui demandons aussi qui con trôle ces comptes fantaisistes. Nous voulons savoir si l'on peut ad mettre des comptes pour lesquels ou réclame des subsides de 50 p. c. des dépenses sans soumettre aucune pièce l'appui, ou si peu qu'il vaut autant de ne point eu parler. Au surplus, M. le ministre Hubert ad met-il que le§ quittances de paiement d'un compte soient TOUTES de la mê me écriture Que pensent-ils des noms rapportés sur les pièces justificatives d'un com pte remplaçant les signatures. N'y a-t-il pas là quelque chose qui laisse place tous les soupçons Et le moment n'est-il pas venu de faire cesser ces abus qui vont ren contre de toutes les instructions sur la matière Nous soumettons les objections qui précèdent au jugement de tous les hommes qui s'occupent de questions ad ministratives. Tous seront frappés du fait que de pareilles choses sont tolérées dans les bureaux du ministère, alors qu'on se montre si difficile en haut lieu lorsqu'il s'agit de choses insignifiantes. Mais aujourd'hui, grâce ce qu'on ferme les yeux parce qu'on ne veut ou ne peut pas voir, les couvents se gorgent de subsides au moyen de scan daleux subterfuges. Nous, nous en avons notre saoùl de cet odieux spectacle, et nous le dénon çons au pays, qui nous crions casse- cou et en garde pour l'avenir sunlight savon rien n'égaie les pour Femmes Pâles et Faibles i Cl vs voulez con. r. aventr et la clé qtrt vs guidera Infailliblement la réussite env. qq. lignai récriture J. C., graphologue, 12, rue .Mithtea Polain, Uége (Belgique) vous aerez émerveillA. 7, s ue de la Bouche, 7 1 )ôpôl Y près CAMILLE LlBOTTE. Brasserie - L'YPROISE rue «le la Itouelie, 28. ■ts i--~-S, "Tv-T- r-N rv'TirTS C îO c C C C 0 r— uo o ar iQ o -r- r- X W C M OO O «1 ÎO ri o (M X c ei (M -Ï-> ©-J O •'O 0000^® 1) 2 S c i I 2 3 cr 0) Si*! >22sâà*( «22 «22 22 «22 Voir la suite en 4e page. 1. M. Jules Vanderheyde, sénateur sortant, pour Ostende 2. M. Félix Struye, pour Furnes-Dixmude. M. Struye prend la secon de place effective et la première suppléance. Eugène ROUSSEAU. Cette imagre amusera sans= doute vos petits, mais vous-mê me vous apprécierez certaine ment les nombreuses qualités et les avantagres de l'emploi du Triple €cono ne de TEMPS ARGEN't LINGE - - wMuanaiitt) <- a Ijulwigshafen s Rhin. CONDITIONS AVANTAGEUSES. Inspection pour in Flandre Mme Devos, l, rue de l'Orient, Bruxelles, gravement malade d'anémie, témoigne qu'elle ne doit sa gutrison qu'aux Pilules du D' Coderre. L'anémie est de toutes les maladies fémi nines celle qui est la plus répandue. On peut sans exagération affirmer que presque toutes les femmes en souffrent ou en ont souffert. L'anémie n'est autre chose qu'un état de fai blesse résultant, oit de l'appauvrissement, soit de la raréfaction du sang, ce qui a pour résul tat de déprimer entièrement tout l'organisme. Les Pilules du Dr Coderre pour Femmes Pâles et Faibles ont sur tous les autres remèdes une incontestable supé riorité, car, en plus de la commodité qu'offre ce traitement si simple et si pratique suivre, les Pilules du Dr Coderre sont faites spécialement pour reconstituer et régénérer le sang de la femme. Dans leur composition, entrent tous les prin cipes indispensables pour refaire la femme anémiée un sang généreux, pur, abondant et limpide, sans lequel il n'est pas de bonne santé possible. Le témoignage que nous publions ci-dessoua est celui d'une personne très anémique depuis quinze ans, que les Pilules du Dr Co derre ont complètement et rapidement ren due la santé. J'atteste avec grand plaisir que c'est aux Pilules du Dr Coderre pour Fem mes Pâles et Faibles que je dois ma guérisorç J'étais anémique depuis quinze ans," et malgré tous les soins que j'avais pu me don ner, après avoir été traitée par plusieurs méde cins, mon état de faiblesse ne faisait que s'aggraver. v» J'avais très mauvaise mine, le teint jaune, les traits tirés, je souffrais terriblement de l'estomac et ne digérais que très péniblement le peu d'aliments que j'absorbais, sans grand' appétit, du reste. Les Pilules du Dr Coderre ont produit sur moi un effet extraordinaire, car, en quelques semaines, elles m'ont complète ment transformée. .Te suis émerveillée de me sentir beaucoup plus forte, et quel soulagement pour moi de pouvoir manger avec plaisir, de bien digérer et de ne plus souffrir de l'estomac. L'es! en toute sincérité que je recommande les Pilules du Dr Coderre toutes les femmes qui souffrent de faiblesse et d'anémie. MM DEVOS, rue de VOrientBruxelles. 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Le Progrès (1841-1914) | 1912 | | pagina 3