Sunlight 9 L'Avenir Familial X SMÊt ?ry Eloquence gazière. Si nous accordions le délai réclamé I,ar le Groupe Vprois, nous risque rions de perdre Monsieur De Brouwer. Et nous serons d'une sévérité exces sive vis-à-vis de là compagnie De Brou wer dans l'exécution des clauses du contrat. On nous signale qu'à l'école profes sionnelle S'Joseph, on fait des travaux de menuiserie pour compte d'un en trepreneur delà ville, qui a l'entreprise des travaux de menuiserie exécuter l'Institut Godtschalck Wytschaetê. N'est-ce pas là un criant abus qui mérite d'être signalé et auquel il con vient de mettre un terme Chronique Théâtrale. La Petite Guerre. Lorsque, il y a quelques mois, la Tournée Raimbert vint nous donner, deux reprises, le Mariage de Mne Beu- lemans, de Wieheler, une salle archi- coinble acclamait avec enthousiasme les excellents artistes qui donnèrent cette charmante comédie yne interpré tation hors ligne. C'était un véritable triomphe, tel qu'en récoltent rarement les troupes qui viennent se relayer sur notre scène. Lorsque, le quinze courant, la même Tournée, avec les mêmes artistes ou peu près, annonça la représentation d'une pièce du môme auteur et soi- disant du même calibre la même salle attendait avec impatience le lever du rideau, toute disposée refaire bon accueil un vaudeville dont on avait dit merveille. Ilélas il a fallu déchanter Certes, la Petite Guerre comprend des scènes du plus haut comique certes, les acteurs ont fourni une inter prétation qui valait tout au moins l'œu vre elle-même; certes, l'incomparable Devère,. avec sa mimique irrésistible, a fait les efforts les plus louables pour sauver le programme mais il faut autre chose que la farce un peu plate et la zwanze jet continu pour tenir en haleine la gaité exhubérante d'un public qui ne demande qu'à rire. Il est certain jeu qui obtient le gros succès dans une pantomime de cirque, mais auquel il serait risqué de faire soule- nir, pendant trois longs et intermina bles actes, le feu de la rampe d'un théâtre, fut-ce d'un théâtre-grange. Non, la Petite Guerre, avec ses in nombrables potvernille ses lil- leke ses saiez-vous ne fait que bien triste mine côté du Mariage de .If"' Beulemanssi léger, si sentimen tal, si spirituel. Et rien ne fatigue et ne répugne comme l'emploi abusif de triviales exclamations de terroir. Quant au fameux jargon qui illustre la Rue Haute de notre capitale, un peu c'est bien, pas trop n'en faut. Et voilà comment il se fait que mal gré la présence du grand comique De vère, le public des grands soirs le public de Wieheler après s'être tordu dans un rire homérique durant le premier acte, s'était sensiblement refroidi au cours du second, et en avait plus que son compte la fin du troisième. Pour la réhabilitation de l'auteur et de la Troupe, il serait souhaiter qu'a vant longtemps, nous ayons l'occasion d'applaudir dans un programme plus heureux, ceux que le Mariage de Su- zanneke nous avait fait juger sous un jour bien meilleur. Thalv. 148. Boulevard Anspach, 148. Bruxelles, société anonyme belge gérante de Mutualités, d'Epargne et de Prévoyance, ayant réalisé en deux ans pour huit millions de francs de souscriptions confierait direction d'arrondissement Monsieur sérieux capable. Rien verser. Ecrire au siège social, avec détails et réfé rences. Le Sunlight Savon est absolument exempt d'impuretés. Il est bon marché, vous pouvez vous le procurer par tout et ses qualités in- ccmparab1es rc pon dent tous les besoins d'byâiène et de pro preté. Le Sunlight Savon est tout fait indispen sable dans tout ménage bien tenu. o;oo'oooo' OOOQOOO Théâtre d'Y près. La location s'annonce très belle pour la représentation de Mercredi prochain 27 Novembre de h T a E i notre Théâtre. L'excellente troupe de j M. Tonniet obtient en ce moment de gros succès dans les différentes villes du Brabant. Nul doute qu'elle obtien- j dra le même succès ici. Nous pouvons j d'ores et déjà annoncer nos lecteurs que les prochains spectacles seront très variés, ■âtans tous les cas l'idée de débuter avec KAATJE chez nous est bonne et inspirera confiance notre public. Location chez M. Degroote, 55, place Vandenpeereboom. S* i OC 10 lu dos Anciens Pompiers. Celte vailiante société organise, pour le Dimanche Ier Décembre prochain, la secondefète de la saison d'hiver. Noms en publierons le programme dans notre prochain numéro. lin infanticide. On a retiré du canal d'Ypres Co nfines, près du pont do la chaussée de Dickebusch, le cadavre d'un enfant de 7 mois environ, du sexe masculin, très proprement vêtu. Le petit corps ne portait aucune trace de violences et parait n'avoir séjourné que quelques heures dans l'eau. On suppose que le crime a été commis par quelque étran ger, venu en auto. Société Kovale des Francs Arbalétriers. Oiseau, Dupont V. Bloc, Dezwarte F. Garde Civique. Tir Réduit (50 cartons) 20 25 2-5 25 25 120 20 25 20 25 20 - 110 25 25 20 20 20 110 25 25 20 20 20 110 Ewertz E. Hamendt A. Dethoor F. Burgho A. Prison. a» C. Slembrouek, Ypres, fr.3412-40. b) IL Deroubaix, id. fr. 3403-40. 2e Lot. Lait (non adjugé1). 3e liOt. Légumes, oignons Jules Ververcken, Ypres, fr. 405. 4e Lot. Viande de vache Alb. Ciller, Ypres, 1-24 fr. le kilogr. fr. 1800. 5* Lot. Divers, café, etc. a) Léon Pierreux, Neufchàteau, fr. 359-60. b) Apauiine Huughe, Ypres, 381-02. 0* Lot. Bois de chauffage Henri Deroubaix, Ypres, fr. 120. Cantine A. Souxdorf, Ypres, fr. 908-45. Médicaments Aertsens, Ypres. 10 au-dessus du tarif. gpr •qgp ypr Brasserie L'YPROISE rue de lit ISoiielie. 2S. T A qui les Gros Lots? Le Journal La Fortune indique tous les nM des actions primées et non encore présentées au remboursement. 11 reste réclamer 1 gros lot de 150.000 fr., 2 de 50.000, 2 de 25.000, 1 de 20.000, 3 de 15.000, 43 de 10.000, 1 de 5.500, 4 de 5.000, 3 de 4.000, l de 2.500, 4 de 2.000, 8 de 1.500, 23 de 1.000, francs et plus de 100.000 autres lots des emprunts de Anvers 1878 et 1903,Bruxelles 1912 et 1905,Bruxelles- Maritimes, Chemins de fer vicinaux, Congo belge, Crédit communal 4801 et 4868, Gand 1896, Liège 1853, 4860, 1897 et 1905, Ostende 4858 et 1898, Schaerbeek 4897, Tournai 1874 et Ver- viers 1873. Lecteurs 1 Ecrivez aujourd'hui même l'Editeur Tricot, Ecaussines - Matri monial, pour recevoir gratuitement un N° spécimen du journal La Fortune qui publie aussi, régulièrement, la liste des tirages. -Une Princesse Turque ne peut survivre a la défaite de sa Pairie. Il vient de se passer en Turquie, au milieu des horreurs de la guerre, un fait qui les dépasse toutes en tragique et en émotion. D'après les journaux russes, une grande dame turque, la princesse Zek- kie, musulmane de sang tartare et épouse d'un officier supérieur otto man, fut prise d'un abattement sans bornes la nouvelle des désastres suc cessifs qui désolaient son pays. Après le combat de Lule-Bourgas, sa nervosité devint extrême, son dé sespoir fut sans limite, et résolue ne pas survivre la défaite effroyable de sa patrie, elle fit élever dans la cour de son palais, un bûcher orné de fleurs et île tapis. Puis, après être restée longtemps en prières, elle dit adieu tous et alluma elle-même le bûcher sur lequel, héroïquement, elle monta malgré les supplications de ses gens, qui ne purent qu'assister, impuissants, ce grandiose suicide renouvelé de l'antique. Dans une lettre son mari, elle dé clara qu'elle ne pouvait supporter le spectacle de la défaite ottomane. Pensées diverses. o o o o o o o o va sa o va sa o oo o - x co c co ia o ai o ai co oooooo-c-* ooooooota o oo o co aa o co aï ai o ai cr. ai o o o o o ai o -r o o o o co o s© o .a a; 2 S "E eu <D o <»T3 cr g a u g H TV a <u y i-« M-I o .Sf 2.2 2 3 3 w. O1») O VU POPEIIINGHE. La Se Cécile Poperinyhe. C'est Dimanche dernier que le Cercle Musical la Philharmonie, a célébré la fête annuelle de la Sainte Cécile. A 40 4/2 heures, la musique se rendit chez Messieurs les Présidents, après quoi elle fit une promenade en ville. La matinée se termina par un concert populaire sur ta Grand'Place,* où, de vant une assistance nombreuse, la Philharmonie exécuta quelques mor ceaux avec beaucoup de distinction. Le Banquet traditionnel, auquel ont pris part environ 170 membres eut lieu ensuite dans la grande salle du local. A la table d'honneur étaient réunis les membres de la commission elle était présidée par M. Bataille, président de la société, ayant ses côtés M. E. Val- cke, président d'honneur et M. Ernest Nolf, le sympathique député libéral de l'arrondissement d'Ypres, que l'on est toujours heureux de voir en cette cir constance Poperinghe, sa présence étant pour la société un hommage et un encouragement. Voici le menu du banquet qui, confié aux soins de M. et M"10 Schmidt des vatels accomplis fut servi la satis faction générale. Consommé la Paysanne Hors d'oeuvre Culotte de Bœuf la Flamande Tète de Veau en Tortue Gigot braisé l'Anglaise Haricots maître d'hôtel Civet de lièvre la Bruxelloise Jambon rôti au vin de Madère Epinards la Française Pièce Montée Fruits Dessert Au dessert, le président d'honneur a prononcé un toast qui a produit grand -'vw i- (Paroles émues de .1/. Colaert) Discours de M. Colaert.) V f/r -ygpr jéÛ 'i- Lundi 18 Novembre 1912. 14 Novembre 1912. Adjudication du 18 Novembre 1912. 1' Lot. Froment, pain de froment, braises Bière spéciale et bière bock en bouteilles Remise domicile par 12 et 24 bouteilles. Souvent l'obligé oublie le bienfait, parce que le bienfaiteur s'en souvient. Malesherbes). L'histoire, qu'est-ce Le long procès- verbal du supplice de l'humanité. Le pou voir tient la hâche, et le prêtre exhorte le patient. Lame nais La modestie est une grande lumière, elle 'laisse l'espoir-toujours ouvert, le cœur tou jours docile la vérité. (Guisot.) Il y a des gens qui cumulent l'admira tion et le mépris le premier, pour leur ta lent le second, pour leur personne. Le livre le plus parfait est celui qui don ne le plus travailler au lecteur comme le trait d'esprit le plus heureux est celui qui laisse le plus deviner. {Bug. Pelletant) Les pensées sont les clous qui retiennent la draperie du style. Les vers sont comme des coupes où le poète verse sa pensée un vers est tx>n quand il est plein jusqu'au bord. {H. Bouillet.) La reconnaissance parfume les grandes âmes et s'aigrit dans les petites. Sandeau Insulter ses amitiés éteintes c'est faire le procès àson propre cœur. {AL Darimon.j Dans les sociétés qui commencent com me dans les sociétés qui s'en vont, l'influen ce des mœurs l'emporte sur celles des in stitutions. {Ernest Desmaret.) <L> JD v) «j Ancienne .\l»i.«on. - IHères anglaises, Spiritueux divers Vins, Champagne, cherche agent sérieux pour la région. Fortse commissions et frais de route selon chiffre d'affaires. Il ne sera répondu qu'aux personnes connaissant la par tie. Ecrire en donnant références au Bureau du Journal. A. G. 3374.

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Le Progrès (1841-1914) | 1912 | | pagina 3