«rftMgeqtne rejaiiiisscni point de noire exigu -de notre cb«*tit «-ariytva' Le choix seul m'ern- bprruuse. Esquissons pourtantquelques aperçus. Je ;l»i«se de «yiti loiis ces masques diurnes, bigarru res des ruelles, le Suis au bal au grand bal ,(,uar il est bon que vO'W sachiez que Igra id se diiuûte z'niipatrouise par-toutle grand Q u frappe mes reg ir,|s De» dominos des arlequins, des pierrots des poli: hinels des scaramourhes des-Chinois, des Turcs -des Péruviens des sauva ges, d«s Bonneaux des marchands des hobereaux des pays»nés des bergèresdes vestales des dyt^dcs des devins, d"® devineresses, ele.etc., etc., de .toute. la fantasmagorie mâle et femelle des sylphes et sylphides des |ours-.gras Quelle .kyrielle -- Encore n'est-ce qu'un croquis. Coru- jinengop». Çe pierrot par exemple, vrai caricature de sou costume qui se croit indeviuabht sous sou decuruHi., au-il besom de sou bbbit, de son masque, ,pour être un .pierrot pommé c'e»t-a-dircun sol dans toute JV-tendue de I entente? Sa fastueuse.gau cherie déposé assez contre lui -, et quifût-il même myope comme n'a -deviné soudain que notre «pierrot n'«*t notre que t Qui sous l'babit .d'uu de nos Achilles modernes méconnaîtraitun «eul instant, ce couard taiitaron cet impertinent spadassin ce timide singe du comte de Tufièies; en un mot, -le lâche "Fa enflorè» Gascon du Moerdyk souille: e vingt lois en têtè-a-lêle et publi quement; ce faux-brave ce crdne tellement poltron, qu' un jour de bataillesympathie aquatique!) •1 alla., «intrépide emule de Gtibouille, se cadrer au ■fond d'un marais.... de peur d'être mouillé? Et il dm baigner l'étoile des braves 1 Heureusement que, dans nos rangs, se trouvent.... Ce»!, peut-être, le seul. Eussè-je daigné en parler? Pourquoi se mettre en evidence* au carnaval sur-tout? Je S^mitiqe. Ce .Bacclius joufflu Boiineau débon naire de ses virginales geiniureseli n'est-ce point le -gros ventru T, Q le lui sert d avoir un traver- lissement un ma-que A peine a-t-il paru, qu'au dnigt il est montré. Et le cercle de nos aigrefinsde nos Lovelares enveloppe les apprenlies-Circes du bonhomme du fxipa com,ÀrtminT. 'X V le mon Je ie ourtié de Al. H lirezcomme ou voit. •Le» uiasquef ynt, nsasques. tels qu'ils étaient saus masques. s«r II en est de même de tous les autres person nages, acteurs nocturnes du carnaval. Lescadron dés mascarilies offte le -secret.... de la couaedie^ Qui est plus Çli npis que le Chinois A.? plus Turc due le Turcs D. plus salivage que le sapvage 2.? V. serait Juif.... marchand parmi tous les marchands sur tuuj_ les bazars de l'univers et pour eu finir par un trait caractéristique sur l'elile mâle de ces beaux masques, qui jamais fut plus hobereau que ce geniillâue de mince algi gentil homme a I Itarat dont. I ei>colure roturière et I ignoble degaiue semblent dire malgré sa per ruque marteauses bas et ses taleus rouges sa Bleiukerque dorée et tout le clinquant de sa pas- sementeiie, £ous ce feutre biscornu entouré d'uu panache d Autruc.be ou de plumes de coqs gi le.chel le plus -épaisle plus balourd l'être le plu- l.i lie. le plus crapoussm le harpagon le plus vilj le plus sordide qui jamais souilla les couleurs du b) «son et fui p «rieur de ptrehemin-. où la.cire nobiliaire est si Tai hem-mi empreinte, que I haleine seule d'une brise d'et-* du du z 'pljyr serait capable d'enlever le scels féodaux jusque par-delà..,, les p«rdauel es \Iiis n'auer- çois-je. point cet essaim de g -esira vestes en bile» des champs en habitantes d'un autre mou-.le en contemporain*'* d'autres siècles Mirza est Tomette Z >ra|.ue B .b -t Alinaide Faiichon. bous les laits (le lu fille de Juoier de Minerve, de VI inerve qui est a la-fou P illasBalloue et Phébéne vois-je point la toquelie, la .vu.âge 'Zulnore Etrange» contrastes'! étonnantes ni't.imor p II oses et lois les |oOrs ces jeunes tieaui**s Jouent le ma-que qu'elles empruntant aujour I 11 ni ■Vf ai» n'est-ce point Cliloé q ta léco-e L longue robe de l am mie 'G l.i'intus? Cul né eu vestale Quelle est çette anègue antique, la.mine rebsr- ".W*. tvxte |mrtui! pa'udiçulz Kuus uous reiulus plu* iiKatfifo'JrA. bapvos C'est L. Chaperonneuse fe'ode-banaledans l'interrègne deCirconspection Approchez-, approchezjeunes amans jeunes époux Aie craigm z rien Telleesl la stratégie des mères... des duègnes de ce itmps. Ou ne s'arme de dente et de grilfes que pour Le reste se devine et ne se dit point. Eh morbleu fallait-il un masque, pour toute cette belle lactique-la Mais as domino trapu m'accoste. Il n'a point parléet -je le devine. C'est Hortense Hortense cette héritière cossue, cette digne descendante de Zoiaïs qu Esope eût avouee êtie de sa noble race? Précisément. Le petit minois babille babille, babil le... Je spitifre l'impétuosité de ces première* Lves de loquacité. Ce volcan parlementaire s'amor titet le domino attend ma réponse. Beau tl masque combien vous euùle l'art de plaire aux boulinesouvrage indispensable <aux personnes du sexe.? La foudre est moins rapide et les éclairs moins prompts, etc. Ledomitio disparaît, en me lançant des regard» toudroyans dont je ne tais que rire et court, dans la (oulese tonlondre avec Je .vul gaire des convives ce banquet des folies antiques^ préludés annuels du grand œuvre des pénitence»-'' religieuses. Moije quitte le bal et Momus. Mor- pliee m'attend. Fuissent ses pavots bienfaisans me porter l'oiibli momentané de mes maux Fuissè-je, a mou reveil, le prononcer encore, ce nom qui, seul, les cause tous .Ici fiuil tua narration ici, se termine un colloque quije I avoue sea ressent de Tintl tenue tle l'astie sous lequel il naqnit. Conclusion. -— J'ai voulu en plaisantant, dé-' montrer la folie, sinon l'inutilité de certains Usages, que le temps semble avoir rendus sacrés. Loin de moi de m'msrrireen faux, de me rebeller contre la sanction de» siècles J'ai cru apercevoir un côie moral dans ce tableau de caricatures a la Teniers j'ai essayé le cro quis. Je ti ai fait quei'oinbre. Que nul amour-propre ne se croie froissé. Je déclare, .je proteste que tout est imagiuatiou, illusion, fiction dans cette cr ûlelde carnaval. Je dois encore un aveu au public j eusse partagé à-coup-sûrl'erreur commune je nie fu»«e rjçuJù masque^si j'avais seulement pu nourrir l'es poir de tencouiréf, que dis-je? d'approcher celle qui, peut être sou» l'incognito du déguisementeut pu fr enfin, entendre de ma bouibece que, si cet article tombe sous se» yeux son cœur lui eut |adis hélas dit pour moi mats.... carnaval est-il bon quelque chose - L.*" AFFICHES ANNOlNCES et avis divers. Adverlentie. Op zondag, den tienden Maartachttienhonderd liveeëuivéiniigzallen B'ireele van den plaalse- lijkeu Kouiiuandant(n de Thouroutstraal. te IJperen, n.° 19, dé» niorgens om negeti urenten overstaan Van tJeuzelveiitle Aaubastediiig plaats hebben vau hel b 'iiooiiig le Brood voor de zieb a'hiér in gtr- iiiz len bevindende Ouderoffi ieren én Soldàten def iti" AlJeeliug Infanterie, voor een tfVinijn vau Ses of achtlicn achteree-ivolgende Maa'iden auiivang netneude met den eersten Julijachtlien- hunderd tweeëntwintig. De Aaubesteding geschiedt bij beslotene biljctlan a»n den minst insi hrijvendé. De prijzen van bel ration Brood in nederlandséhi ge tl uiigedruktmoeten. duidebjk en in letters geschreveti vvoiden. De Inai hrijving biljetten moeten twee verscbil- lende piijzen bevatîen als .- 1. Voor een ierinijn vaa ses Mcuxnden. 2. Fo>r een termijn vah achttien âfaenden, "L illen le «nuiste prijsvoor .een der twee leriuijuetide ,voark«ur hebbenen nopew 4ça tq l va,i diiur va Uet kontrakt 'besKssen. Er i> b'piald du de ve-hoogitigen pl vertagin- gen in de bela»tingen op h 't gem-cdwelke op den dalu n van AaiibesieJiiig en g-ditrende detl U|i van luur van bel k»'»traki, mngten VOorvallen, den Atnnemer 111 z'jne prijzen lo.'- of afgerekond zullcu vvo'den. Dis fcwuduiea ea Vootwaiitdca .vmroç d» A«y

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1822 | | pagina 3