LE PROPAGATEUR, JOURNAL DTPRES, "POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE ET HISTORIQUE. D'AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS, ACTES DU GOUVERNEMENT; J'ai l'honneur, etc. A brut, commandant, DES VILLES ET DISTRICTS DE LA PROVINCE DE WEST-FLANDRE (OCCIDENTALE.). Le prix désabonnements est de 18 francs par année, 9 francs 5o cent, pour 6 mois. 5 francs ponr 3 mois Les abonned ment ne se paiefa qu'à'l'échéance mais les persoriûes qui désireraient le s J Jer d'avance, obtiendront une remise de 10 par <ent, On s'abonna chei l'éditeur, et a tous les bureaux des postes aux lettres du royaume. P HÈ MÊRI DES. Le so mars i5ga découverte de i'^raérique par .Christophe Colomb çjpois. 4près avoir surmonté toutes les difficultés que rencontra l'exécution de ses bardis projets, il fut accueilli parla Reine d'Espagne, qui lui confia trois vaisseaux Il prit congé de la cour et alla d'abord mouiller aux iies Canaries, d où il oe mit que trente jours pour découvrir la première lie de l'Amérique. Après y avoir laissé trente hommes il revient eu Espagne et fut nommé vice-Roi du nou veau monde. Le ai Marspremier jour du printemps, les fem mes de Lacédémone allaient prendre chez eux tous ceux qui vivaient dans le célibatles conduisaient au temple de Jttnon, déesse de l'hymen et là après les .avotr accablés de plaisanteries, leur donnaient le fouet aux pieds de la statue de la déesse. Les lois de Lyour- .gue étaient fort rigoureuses contre les célibataires, elles les excluaient de tout emplois et magistratures. Les .lois romaines ne les recevaient ni a tester, ni a rendre témoignage. Le a a mars 1793 combat de Pellemberg, {Après la bataille de Neerwinden le général Dumouriez se retirant sur Matines avait pria position l'entrée de la lorèr de soignes sur les hauteurs de Pellemberg. Le aa mars il fut attaqué par les ^ntrichieus, mais les français ne purent être depostées ce jour-là. Re attaquées le lendemain elles effectuèrent leur retraite sur Louvain. Le n3 mars i58oj furent jetées les premières bom bes sur la ville de Wachteodonch en Gueldrel'usage en passa bientôt eD France, où l'on s'en servit an siège de la Mothe en t634 on en attribue ordinairement l'invention Galen, évéque de Munstre. - 1801 fin tragique de l'Empereur Paul I* Ce souverain fut étran glé dans son appartement avec sa propre écharpe, par iecomte Nicolas Zubow et d'autras conjurés. Le a4 1646, le prince de Condé prit la ville d'Tpres pour lu roi de France; l'archiduc Léopold, gouverneur des Pays-Bas, la réprit eu it>49 Le maréchal de Lu ronne* s'en rendit maître l'an 1658, après quatre jeurs de tranchée ouverte; mais ou l'a rendue l'Espagne j par le,traité des Pyrénées. GRÈCE. Les chroniques grecques de Missolonghi publient Jes deux lettres suivantes On sait maintenant com ment cette correspondance fini. Le capitan-pacùa furieux de la réponse des Grecs, s'est preseoté de vant Missoloughi a été mis en déroute par l'amiral Miaulis. yjfck Alix eaux de Mmolonghibord de la cor cet ta de S. M. BRosa, le *7 janvier i8ati. Messieurs, le capitan-pacha m'a chargé d'informer les outorites grecques de Missoioogbi que tous les pré paratifs pour donner l'assaut leurs places seront ter minés dans huit jours, Comme le capitan-pacha vou drait éviter I eflusion du sang qui doit naturellement avoir lieu si la place est prise d'assaut il désire sa voir si la garnison de Missolonghi serait disposée capituleret quelles seraient ses conditions dans de^ pareilles circonstances. La réponse que vous me ferez, messieurs, sera im médiatement envoyée au capitan-pacha. Mais il est de mon devoir d'informer les autorités grecques de Mis solonghi d'une manière précise, que je ne suis nul lement autorise être (égarant des conditions qu'elles proposeront je ne veux non plus donner aucune opinion sur la convenance d'accepter ou de refuser les propositions du capitau pac/ta. Aax autorités grecques de M'ssolonghi. Réponse. Monsieur le commandant A brut Nous avons l'honneur de répondre par la présente votre noble lettre du n7 courantpar laquelle vous avez eu la honte de nous communiquer les propositions que le capitan-pacha vous avait chargé de nous faire. Le capitan-pacha connaît très-bien les inombrables sacrifices des Grecs: il sait que leur pays a été dévasté, et que des torrens de sang ont été répandus. Riea ne peut compenser de pareils sacrifices que la liberté et l'indépendance.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 1