3 aVT il il ES DE LA GISELE. On lit dans une let're de poli ie Rommie en voyée de F orenc* par M. Éluard» M* le duc .le Choisetilles passages sut van- Les Arabes livrés a eux mêmes ne semien' qup des tuasses faciles a disperser mais le malheur de ma pa- trie c'est le savon des Ft»nça-s qui a (ait de masses b utes des corps reguiter j ei I ou voii sur la for m- hi deuse des A abcs l'esprit européen frsnç.ts déployer tout l'art dt,la tactique militaire. Mou infortune pays, •'il SU'.tombe devta en accuser ses co rcligionnatres. Ut aciuse de tout és les malheureux Grecs de leur piraterie le gouvernement (au ses eiloris pour les empêcher il a mémo puni queiqoe malheureux pères de famille que la misère a rendus pirates par ne» cessiie. M ris que répondre une population entière qui deman le du pain que l'on ne peu pa® lui donner? Si vous saviex ce que e i que la misé e dès gens de S^tiios de Scio d'Ypsara, vous (reunrieï de dou leur et de compassion Jusqu ce que les Grecs soient massacres ou •ecourus ou vainqueurs, lis pirateries ne pourront empêchercar la preutièie loi île la nature c'est d'exister. (^ue les puissances ne se plaignent donc point des |iraieties de-Grecs atlamus ou qu'elles en accusent •Iles seules. Tous nos vues et nos défauts viennent des Turcs ei des cb-etiens, les uns pour nous avoir traites comme esclaves depuis trois sièiies, et les aunes pour avuti rive nositrset' favotisani ies'l urc sm es pun is .'Ces chietiennes ne veulent pas nous sec ourir qu'elles •nient au moins ouvertement les l'urco Egyptens nuu. massacrer notre agonie sera moins longue •lie etc Celte lettre est signée Constantin Jkrosiachi. PaYs BAS. Bruxelles, 16 avril. Sur la question de savon si le propriétaire d'une kahration 1 u ilôure murée peut emperher d'ouvrir di s puits ou gaierl s dans la distance de 100 aunes au tour de sa propriété même quand il n'est point pro- pueimre des terrains lOnipus dans ce rayon de 100 •unes S Mpar airête du l/\ mars dernier a décidé que le droit d'empêcher tous travaux dans tin rayon de 100 aunes n'appartient au propriétaire d'une habitation ou clôture muree que pour autant qu'n est et» même temps propriétaire de la surlace et qu'il ne peut exercer aucun droit d'interdtuion sur les teriainsqui ne font point partie de sa propnéte. Un écrit de Tionchiennes Fl. or. Une Tai he appat letiaute a Pierre t yuan, vent de donner «u veau qui a huit |ambes buu pieds réguliers, deux q.o uts deux tê es cinq oreilles un ventre un p.iiir I ei deux epines donales. On assure que ce 1 «'ic «era envové a Gvud et qu'il est destine au Oabinet J« l'université. Journal de Gand. Ypeie/i 09 april. TVn x5 de»er maand is Maria-Ludovica Menu - ond iaren hnisvrouwevan P eier.-Joannr s Lelebvre lmobouwer brnnen de gemeeme Vlameriinghe, be- v«l en van dri) welgeschnpen zonen die den xelf dm dag bet doopael on>«angen bebber., deze dtij k ndeien eu de moeder zijn xeer yvtivaieuue. MOHAMED-ALI. Un voyageur qui a lait un as«ez long ré jour e* I gy, ie vi» t de publier une co ice très étendu» sur J> v ce-roi d Egypte, Mohamed. Aii devenu dans ces CMuiei» letuo uu psrtoooage importanttau, par «a y - Position ref«i*vement la Port» et Grèce q»a par Sou aH artee av/uee aveclc iiiims ère t,a çs> vOn i urr extrait Mohamed Ali est n«* la Gara e, bourg e in Rorneliecri 1770 L'e «don de prjnre p i; dater de iVnoque du se|ou< d1 s El ançais sur Us ho>ds do M il elaii a'oi s attache g l'amiee dn g-a< d vistr Joussoul pacha qui spiè» m m--m trahie i-Lita d Hciiopoli* contribua, avec laid» de la puissance intervention des Anglais, a la retraite des o.p'S françaises et I entière evacu oion de l'Egvp'e. I- •opaii alois !e po-'e de but bashi t'es a dire roro* mandant de mille bonne- s. Après 1 elle opération et lorsque lej AngU s s« fuient également retires ie» Irucs redev» es nr î- tres de celle fertile contrée songèrent a y a-surt r i» or puissant t en soumettant le pays. Le paie'Ues vue» -i contraires l'ordre des choses pier eoentiu ni etr-M froissaient trop les tni» ê>- qui se iropvai-'il en pu s. 11- ce, pour q> e leur entrep. se put oh"nr un facile siiceè». Aussi le. re.ulrat fur-ii en efi iiive en. tièrem'ent oppose aux loientions de la Pour o'inm.u.e, (.a U|se. la diss'muUilon fi- irgut e ''or des T les forces reelles des beys, des ve geances 10n11r.u1>' r, des.menaces d exécution» arrêtées par 1» pusillar in i ->» roui ce co fin de-.circonstances fi ouvre les y iu'à Mohamed-Ali qui plus adroit ri p us fiaidi qi.» lu autres s aperçut de bonne heure qu'il ouriait parve nir a profiter de la mésintelligence de «es rompétc.» nr| qui au lieu de se reunir pour onserve' leu- pouvote ue semblaient o 1 upes qu dev»sier la malheureus Egypte, en livrant chaque >our la fortune de- t »ht- lans au pillage. On le su en effet chat ger continuel lement de partis innmidanl les uns flattent les antres et se cteer avec soin de nombreux partisans et des so - dats dévoués. Il s'allacha d'abord a la cause des hev, qu'il B ut énxul'.e par faire massacrer ee nuss- n is l'on pouvait dès lors le considérer comme le chef ne- r lare et recom-n des Albanais qui composaient L lonfl la plus imposante de I Egvpie. Plusieurs ordres turent inutilement envoyés k Mohamed Ali par la Poite ottomane, pour qu il quit tât cette province il les éluda icusè l'aide des siens qu'on redoutait trop pour Oser rien enlreprenrlt» qui leur fût contraire Un lel ascendant enhardi' s< s par tisans et fixa ses résolutions, il se déclara p.cha et fotç* le peuple conduit par les chef- de toutes I. s corporations, le supplier d'accepter le poste de gou verneur genéial, rt Cest de cette époque que date sa puissance aujourd'hui non contestée. 4 peine la lêle des af faires la fottone parai' seconder son audate, il bat et anéantit les mimeiourks culbute une expédition anglaise, déjà maîiresse d A exan.drie et de Sosei'e. Il n'est pas même nécessaire qu'il se montre pour réus sir il a dp|à communiqué son esprit et *011 ardeur tous ses partisans il réussit contre les Ve-habites, s'empare du Sennar du Conlofan et de la ?iube. t Aytks. tan/ de succès et les témo gnsge« de la hau te vaiisfnCliou de la Porte, les regards de Mohanp A'\ poilent sur l'administration de ses état» il considère les arts et la civilisation de» peupl- S ron ma la source la plus assurée Je la veri -hle g'oire e- 'a Is puissance des souverains. Ppnetré de iepc«»gt> p-ri sée il appelle de diverses contrées d» l'Furope des hommes éclairés et des artistes en tout genre Par «ex soins et son active influence I on voir dans l'es de cinq années s'élever au Caireei dans le» pnvrp i, de cette vrtle des filatures de co co d'-« nrantJ o. turcs.d'indiennesde perkales el de couen e i- aieliesi pour le* tuxu» d 01 et d at^eoia l'imiuiio^ r

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3