ros 3, 8, 18 et 25. Ces numéros sont exactement écrits, sous sa dictée, sur le registre souche; uiais dans le billet qu'ôn lui délivre, une erreur se glisse, et le n4 i5 est substitué au n° 28. Le tirage a lieu, et d'après les chiffres indiqués sur son billet, la joueuse a gagné un terne mais on refuse de la payer C'est lut dit- on, le registre qui fait foi; on peut le regarder comme la minute d'un acte, dont votre billet n'est qu'une expédition. Elle; au contraire, prétend que sou billet est le seul litre qu'elle possède, et qu'on lui en aurait opposé les indications, si, après la sortie du n° a5, elle était venu reclamer son terne. Le tribunal a, sur les conclusions de M. l'avocat du roi Boudet renvoyé les parties devant l'autorité administrative. PAYS-BAS. Bruxelles, 3o avril. Le SlaatS'Courant du 28 contient ce qui suit s La chute que fit S. M. en inspectant les bâtimens Tovaux Bruxelles a nécessité une opération chirur gicale la cuisse elle a été faite hier avec succès S. M. a passé une très bonne nuit et son état est très sa tisfaisant. Du n mai On écrit de La Haye. 2g avril S. M. a passé une très-bonne nuit. L'état de la santé du roi reste sati»faisant. Du 3o la nuit a été tranquille. La disposition satisfaisante de la santé du roi continue. Du 3 On écrit de La Haye en date du 1 mai S- M. le roi des Pays-Bas, a bien dormi la plaie a eu une apparence très-favorable au lever de l'appareil ce matin. Le premier chambellan a l'honneur de faire savoir, qu'à cause de l'indisposition de S. M. l'audience ac coutumée n'aura pas lieu. La Haye 1er mai 1826. Premier chambellan susdits. C.-V. VanboutselaEr. Société de Commerce de Gand. La direction prévient les actionnaires ayant droit de voter, que conformément l'article 98 des statuts, la première balance approuvée daus l'assemblée des commissaires et arrêtée au 3i décembre 1825 sera soumise leur inspection do 1 er au 1 5 mai proebain tant la secrétairerie de la direction, La Haye, que chez les agens de la Société Amsterdam et Anvers, La Haye 26 aVril 1826. •Signé Vasde Poll présidentDeclercq secret. L'une des plus belles réputations européennes n'a pu tepir longtemps contre l'opinion de cette même Europe qui ne se laisse plus aujourd'hui séduire nar les apparences. Mr. Canning comme ses devan ciers n'est plus aujourd'hui que le courtier d'un.peu ple boutiquier le grand ministre a disparu. Les hommgs vraiment religieux s'étonnent de n'avoir point encore vu célébrer seulement une messe basse pour appeler les bénédictions du ciel sur les ef forts généreux et inottis d'un peuple chrétien'"luttant contre l'éternel et féroce ennemi de notre religion. Le massacre de cent mille de nos compatriotes Vainqueurs pour des intérêts qui leur étaient étrangers, a été jadis le sujet de nombre de Te deum solennels et le levée du siège de Missolonghila délivrance de onze mille chrétiens dont les têtes étaient destinées orner les murs du serait d'un Larbarë qui l'on ne rougit pas d'envoyer des ambassadeurs, cet événement mémorable ce coup inattendu de la providence trouve nos temples déserts et nos autels sans encens. Dans quel temps, 6 mon Dieu! Vivons-nous? F,h! qt;o:tar-qt'en l683, Cara Mustapha assiégeait Vienne avec 200,000 Turcs, des prières publiques ont été ordonnées au nom de la religion dans toute la chrétientédes con fréries, dont une existe encore aujourd'hui ont été instituées par le chef de l eglise 1 oo« temple ne désemplissaient pas. Quand l'illustre Sobiesky ac couru des plaines de la Pologne eut délivré la ville de Léopold, l Earope retentit, pendant une année, d'ac tions de grâces élevées vers le ciel par toutes les com munions chrétiennes et aujourd'hui lorsqu'une na tion toute entière périt sous le fer musulman que les autels du Christ sont renversés leurs ministres «gorgés de jeunes vierges livrées tous les attentats d'une fero- ce lubricité que des enlans sont ëventrés sous les yeux de leurs mères et der vieillards assommra grand oups de la croix au pied de laquelle ils s'étaient réfugiés 3 aujourd'hui au milieu de tant d'horreurs et do tant d outrages portés au nom chrétien pas un trône no s'emeût, pas un bras ne s'elève dans le conseil des rois, pas un regard ne 'ombe du Vatican sur la terre des martyrs L'Amsterdamsche - Courant, donne les nouvelles suivantes, qu'il tient d'une source respectable -• Brody, en Callicie, le i5 avril 1826. Des lettres d'Odessa du 3o mars de Syra du 13, da Smyrne du 18 et de Constaotinople du 19 mars, vieux style, portent que l'amiral Hamilton était arrivé sur une frégate anglaise JNapoli di Romanie, l'effet de féliciter le gouvernement grec, pour la reconnaissan ce de L'iwutfEHnAHCE de la Gaies par la grande Brétagne et la Russie que le*' gouverneur Adams avait envoyé deux frégates Neopacta afin de faire cesser les hostilités. Une seconde frégate a fait voile pour Neo-Castro avec le même ordre, une troisième Alexandrie, pour prévenir le pacba Mehemet Ah t de ne pas confier une nouvelle expédition son fils, vu qu'on s'opposerait sa sortie, et enfin une qua trième frégate a été envoyée Smyrne avec les mêmes nouvelles, on faisait des préparatifs Hydra et 6'pezzia pour y célébrer cette heureuse nouvelle. Odessa, le 3i mars, Ticujr style. Trente-sept bâtimens sont arrivés ici en quatre jours de Coustantinople, Ils confirment les nouvelles ci-dessus, et ajoutent de plus que le cdratnodore- Ha milton a fait cesser les hostilités entre les Turcs et les Crées; celte nouvelle était arrivée de Smyvne Cons- tantinople par estafette. Ces nouvelles portent de plus que d'après une résolution prise par la Russie etl'Au- gleterre, quatre frères du comte de Capo d'Isiria, de vait se rendre en Grèce peur remplir la charge ho- Dorable de président, des commissaires grecs, chargés des négociation» qui vont s'ouvrir. La réunion de ces diverses nouvelles doit faire au gurer favorablement pour leur authenticité; cepen dant attendons qu'elles se confirment pour nous ré jouir d'un événement qui mettrait peut être un terme aux maux qui accablent l'héroïque nation grecque. L'année dernière S. M. notre roi se donna par ac cident un coup la jambe. La plaie s'envenima et le monarque dut garder la ebambre pendant quelques mois; s a vie n'était point la vétité en danger, mais il était traité par un chirurgien malhabile et le mal pou vait avoir des conséquences il était /'oumellement exagéré par l'inquiétude publique il était le sujet de 1 Innonceut Xî. Ce pape conBrroa par une bulle du 18 août 168\ la confrérie dite de Notre-Dame-Anxilliatrice^ éri gée Munich eu ;883 par autorité de l'electeur, au moine ni de l'extrême danger que coaroitle monde chrétien.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 2