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Ce matinS. AR. le prince d'Orange repré
senté le Rai «a. baptême tin fils de l'ambassadeur
d'Angleterre.
Aujourd'huinue commission de la haute cour
militaire h la Baye a interrogé un officier supé
rieur, (^/g. meuws en adv.-hlad)
Bruxcllei ai mal.
Les médailles en or delà valeur de 5a florios accor
dées par S. M. a5o médecins et chirurgiens des dif
férentes provinces du royaume, qui ont vaciné gratui
tement le plus grand nombre d'individus sa distribuent
successivement par les autorités locales eux personnes
qu; elles ont été décernées.
La cour die casse/don doit s'occuper demain d'une
cause intéressante, celle de P.-X. Ryckebus, avocat
au ci-devant conseil de Flandre, anccien magistrat
domicilié Y près demandeur en aassation d'un ar
rêt rendu le m mars dernier, par la cour d'assises de
Bruges, qui le déclaré convaincu d'avoir fait sciem
ment usage de quittances fausseset le condamne
sis années de réclusion 200 florins d'amende
l'exposition, la merqpe, aux dépens, etc.
- La nouvelle, route d^Ostende Nieuport ayant
diguaiti uoe partie du cimilière de la commune de
Lombartzyde, S. M. a accordé les fonds nécessaires
pour la reconstruction d'un nouveau mur autour de
ce cimitière. Lo 16 de ce mois les premières pierres
ont été posées au son des cloches par le revérend
M. Pillaertcuré de Lombartzyde et de Westende
par MM. Iqs. bourgmestres do ces deux communes,
t par M M,:les margueilliers, en présence d'un grand
rc mbre rf'babitan* et au cris de vive fe Roil An li}""'
siée. e Lombartayde était encore une ville et port de
mer.
C'e4t un élan vainqueur de toutes les considérations,
de toutes 'es ceintes-, de toutes lesqrolitiques et de tou
tes-les ban. "sses? que celui qui porte toute la popula
tion de' l'Eut civilisée au secoars des Grecs. Il
n'est point p»<.bable qu'au temps des croisades mêmes
l'explosion deH esprit public, pour avoir été pluvlibre
et plua patente-,/ut aussi universelle. A l'exception
de l'Autriche il n 'est point de puissance qui n'épouse
en moins de cotur 'a cause des Hellènes M. de Vil-
lèle même bien que coiffé du turban par crainte ou par
politique laisse néanmoins percer de temps en temps
quelques symptômes de philhcl/enisme. Cet accord
si touchant de tous les coeurs, d9 toutes les volontés
est un indice bien sûr du perfectionnement moral de
l'es; tèce humaine et répond, de reste aux détracteurs
du siècle. Les gouvernemens ombrageux de l'Alle
magne sont entraînés par lè torrent de l'opinion gé
nérale depuis quelque temps l'Observateur autri
chien et la Quotidienne n'applaudissent plus au mas
sacre des chrétiens de l'orient. Un seul journal ana-
tbematise encore les amis de la cause des Grecset ce
qui paraît incroyable, ce journal est une feuille, nous
ne dirons point Belge, mais de la Belgique. Elle traite
de révolutionnaires ceux que touche le sort de nos
frères c?éi*Àrfchîpér: datis ce sens nous ne repoussons
point lepitfcète nous sommes des révolutionnaires
si c'est l'être que de vouloir profiter des améliorations
et des vérités politiques que la révolution nous a lé-
goeésttOtft sommes des révolutionnaires comme
l'étaient Guillaume premier, Guillaume Tell, Gode-
froî de Bouillon et Saint-Louis, 11 est vrai que cette
feuille est en quelque sorte-confirmée dans son opi-
nitort sçàndateuse par le silence méticuleux du journal
officiel de nos provinces méridionales, celui-ci tan
dis que les collectes s'effectuentque les dons pieu-
vent de routes paris en faveur des Grec# qne nos
_L_Ji J i-
feuilles septentrionalesmême celle de l'état sont
remplies de ces actes d'humanité et de la charité chré
tienne celui-ci craint ou plutôt tremble de rendre
justice la nation en publiant sa vertueuse bienfai
sance jusqu'à présent il n'a point dit un mol des
souscriptions du peuple en faveur des Grecs. 11 aime
mieux remplir ses colonnes d'articles fastidieux et
qu'on ne lit plus sur les jésuites et sur les pet,ils
séminaires ou de dissertations prétentieuses, assom
mantes monotones et même ridicules sur la littéra
ture. Depuis longtems nous désirions pouvoir lè ti rer
d'embarras et l'occasion s'en présente aujourd'hui r
nous lui dirons en conséquence et nons sommes cer
tains de ce que nous avançons qu'un personnage jue
uousne nommerons point-, mais que les Belges 1 de
vinent, lorsqu'il s'agit d'une action noble et généreu se,
vient de faire don aux Grecs d'une somme de dix mi lia
florins. Un tel exemple ne serait point perdu sans do u-
tft, si la nation belge avait besoin d'exemple pour
être noble et magnanime.
AFFICHES, ANNONCES ET AVIS DIVERli.
Maandag 29 mei 1826, en volgende dagen va n
de weke tôt en met den vrijdsg t'elhens te bi J-
ginnen ten ro.uren s'morgens en ten tvvee urc in
na middagin een der zalen vaa de Regeerir ig
der stad IJperen zullen de Notarissen RENT
en VANDERMEERSCH openbaarlijk verkoope n
eene zeer ^roote hoeveelheid van laakenscasemie r,
coating paaneprintannierenankin, sargien
en veele andere stoflen van de alderfinste en a 1-
derschoonste in koleuren.
Men zal den eersten dag verkoopen een te, ;r
schoon huisraad bestaaode in tafels, spiegels
stoelen kassen cristaal porceletjn koper, tin
ijzerwerk menagie linwaaden andere voorwer (-
pen bovendies veel jtilver werk eu etndelioge ma >-
nigvuldige boeken.
Maandag 5 Junij 1826om twee nren na «nid
dag in het Dorphuis ter gemeente Hnringhe
zal' er geprocedeerd vvorden tôt de publieke aan-
besteding bij afslag, van Aarde-Timmer-Metsel en I
Scbilder werk, toi berstelling van de gemeente we-
gen en 1er plaatsen van de zelve gemeente.
MARKT TE YPEREN.
STAAT van vcrkogte Graenendrooge Peulvrugtenyieestht
en andere Èetwaren ter Marte deter Slad, gedure
de derde tf eek der maand raey <$36.
AAR DER
Granen, Peulvrogten
Brood en Vleescb.
Koren
Rogge
Zwart koren
Drooge peulvrugten
Aardappelen
Haver
Hooi per 100 pond.
Slroo per id.
Versche boter
Gezouten boter
Osseovleesch
Koegenvleesch.
Kalvervlecsch
Schapenvleesch.
Varkenvleesch.
Brood
HOEVEELHEID VÀH
middel-
midde
verkogt
a waren.
haero
baar
p. mudde
p. pond.
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mudde.
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M, es,
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5 78
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3 69
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Imprimerie R. GAMBART-MORT1ER Libraire rue de Bocsiogue Ij°. i4 près la Petite Place.