LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRES, 3 9 MRMiSJi.- PAR AUTORISATION SA MAJESTÉ. <E ROI PAYS-BAS. POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE ET HISTORIQUE. D'AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS, ACTES DU GOUVERNEMENT; MARDI 3oM.i, i8»6. DE OtTVERTTRES DES POB TES DE LA VILLE Du 16 au3( Mai 3 i/ï heure» l- v SI S; S 2" Jui<5_ DES FERMEU Ta ESDESPORTES DE LA VILL* Du i6au 3i Mai g heures. DES VILLES ET DISTRICTS DE LA PROVINCE DE WEST-FLANDRE (OCCIDENTALE.) Le prix de»abonnement» e»l de i8francs par aaaé», g frane» 5o psnt. peur 6 moi», S franc» pour 3 moi» L'abonne» t ne se paiera qu'à l'échéance mai» le» personnes qui désireraient le solder d'ivange, obtiendront nu* remis* de 10 ptf On s'abonne cher l'éditeur, et a tous les bureaux des postes aux lettre» du rojraume. ment •eut P HÉ AlRI DES. Le iC) mai il89, prise de la ville (Terras. Vrt serrurier ayant fabriqué une fausse clef d'une des portes de cette ville, la fit passer aux troupes de l'archiduc. Quatre habitons entrèrent dans le complotet convinrent du si .gnal de la surprise. Ils se promenèrent sur les jvmpartsen chantantjusqu au moment favo rable où l'ennemi aurait pu prendre possession de la place. Les autrichiens y entrèrent et la pillèrentsans épargner même les maisons des quatre traîtres. Le iJo mai i43tJeanne d'Arc est brûlée Rouen. - i64o, mort de. Rubenspeintre cé- lèbre. Il naquit Anvers te 28 Juin i5jj- Ce fut au retour de ses voyages d Italie que Marie de Médicis le fit venir Parispour peindre la galerie de son palais de Luxembourg. Ru bens fit les tableaux Anverset revienten 16-15 dans cette capitalepour les mettre en place. - 1744, mort de Pope en Angleterre l'un des plus illustres ornemens de la littéra ture anglaise. Il était né 1688. Le 3i mai i564, Catherine de Médicis fait commencey le château des Tuileries Henri îr en fit achever le bâtiment et le jardin en 1Q00. - iâ/8, Henri m pose la première pierre du Pont-Neuf Parislequelné fut achevé qu'en jôoé. -77g3, triomphe des terroristes sur les républicains modérés, dont vingt-six furent dé crétés d'accusation et périrent presque tous sur l'echafaud. ITALIE. Rome 3 mal. Lettre apostolique de S. S. Léon XII qui condamne les sociétés secrètes. Suite et fiaYooitc dernier uuméro.) Telle est la perfidie de ces hommes astucieux que lorsqu'ils I or tuent des vœux secrets pour renverse voire puissance ils feignent de vouloir l'étendre. Il soutiennent et ils ont déjà persuadé plusieurs pee sonnes que notre pouvoir et celui des évéques doi être lestreint dans d'étroites limites, et même qu'il doi être détruit par la puissance temporelle qui ils vou draient transférer les droits du saint-siége apostolique ceux des églises principales et ceux des évêque» appe lés partager notre sollicitude. Ce n'est pas la haine seule de la religion qui anime i leur xèle mais I espoir que, lorsque les bornes que J.-C. a placées pour maintenir (autorité de l'église seront renversées, il sera facile alors de changer ou dd détruire la forme du gouvernement. Vous aussifils chéris, qui professez la religion chrétienne, nous nous adressons vous particulière ment. Evitez avec soin ceus qui mêlent la lumière et le» ténèbres, les ténèbres et la lumière. En effet, quel avantage auriez vous doanër-votre confiance des hommes qui veulent contester Dieu et aux princee leur puissance; qui, par des intrigues secrètes, s'effor cent de mettre la division entre les puissances, et qui affirment en tout lieu qu'ils ne veulent que le bien ds l'église et de société, taudis que leurs actions prouvent qu'ils ont l'intention de porter le trouble partout. Ces hommes sont semblables ceus qui l'apôtre Saint- Jean ordonne de ne pas donner l'hospitalité, et qui ne veut pas qu'on salue, daus sa seconde lettre, chap. 10. Ce «ont les mêmes que nos pères eppclaient les pre miers nés du démon. Gardez-vous donc de leurs séductions et des dis cours flatteurs qu'ils emploieront pour vous faire en trer dans les associations dont ile font partie. Soyez convaincu que personne ne peut être lie avec eux sane se rendre coupable de fautes graves fermez l'oreille aux paroles de ceux qui, pour vous attirer dans leur* assemblées, vous affirmeront qu'il ne t'y commet rien de contraire la raison et k la réligion, et que les dis cours sont inspirés par l'honneur et la justice. D'abord ort conçoit que l'on ne dise pas le mal qui se commet dans ces associations ceux qui ne sont pas parvenus des grade» imioen» mai* il o*l eu contraire prouvé

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 1