v. r quels pnltsance et l'audace de les sectes, •'accroissent raison du nombre de ceux qui en font partie. Ainsi ceux qui occupent les rangs inférieurs Joivent être considérés comme les complices de ceux qui les gui dent on ne peut leur adresser les paroles «le I apôtre épure aux Romains. Champ. I.ec Qui talia agunt, digtii sont morte, et non solurn qui ea faciunt, sed a enam qui consentiuut Iscteniihus Enfin nous nous adressons avec affection ceux qui, maigre les instructions qu'ils ont reçues et qu n- qu ils aient eu part aux dons célestes, ont eu le mal heur de se laisser seduire et d'entrer dans ces associa tions soit dans des rangs, soit dans des degres plus, élevés. Nous les engageons et nous les conjurons presses par nos devoirs de revenir a Dieu ce n'est plus titre de juste que nous leur parlons, mais com me a de-, pécheurs voulant imiter le paveur qui aban donne son troupeau pout chercher la b«ebis qu'il avait peidue. «Sans doute ils ont commis un grand crime, cependant ils ne doivent pouil desesperer de la misé ricorde et de la clemence de Deu et son fils J.C.j qu ils rentrent dans les voles du Seigneur, il ne les re poussera pas, mais semblable au père de I enfant pro digue, il ouvrira ses bras pour les recevoir avec ten dresse. Pour latre tout ce qui est en notre pouvoir et pour leur rendre plus fat île le chemin «Je la pemtence nous suspendons pendant l'espace d un an api es la pu blicaiion delà présente lettre apostolique dans le pays qu'ils habitent, l'obligation de dénoncer leurs frères, et l'eflet des censures qu'ils ont encourues en entrant dans ces assot ia'.ionset nous déclarons qu ils peuvent être releves de ces sensures même en ue'denon canl pas leurs complices, par tout confesseur approuve parles ordinaires des lieux qu'ils habitent. Nous usons également de la même indulgence l'égard de ceux qui demeurent a Ruine Si quelqu'un, repoussé par le père de tnisericoide élan assez en durci pour ne pas aban lonner ces sectes dans le-temps que nous avons prescrit, il sera tenu de dénoncer ses complices, et M sera sous le poids des censures s'il re vient résip'scenceapiès celle epoque; et il ne pourra Obtenir l'absolution qu'après avoir dénoncé ses com plices, au moins, jure de les dénoncera l'avenir. Cette absolution ne pourra ê«r« donnée que par nous nos successeurs ou ceux qui auront obtenu du satot siege la faculté de relever de ces censures. Nous voulons que les exemplaires impfimésdu pré sent bief apostoliquelorsqu ils seront signes de la inain d'un notaire public ou munis d'un sceau d un dignitai re de I eglise. obtiennent la même fui que l'original. Que personne ne se permette d'après cela, d'agir audacieusemenl en opposition notre présente décla ration, condamnation, Ordre defense et ban. Si. né anmoins quetqu un se le permettait qu'il sache qu'il •'attire par la la colère du D eu tout-puissant et de ses saints apôtres Pierre et Paul. Donne ii Rome, i Samt-pierre, l'année de l'Incarna lion Je N. S. idaô le 3 des ides des mars, de notre pon tificat, l'an 3. B., cardprodataire Pour Mgr- le card. Albain, P. cappaccisi, subit Visa de curia. D. Testa. F. Lavizzaeioi Loca plumbi. Enregistré la aeoreiairerie des brefs. RUSSIE- Pétersbuurg, jo mai Des avis de Taganrog annoncent que l'impe'ratrice ElLabath a éprouvé une rechute serieuse de la maladie dont elle était atteinte antérieurement. L'impératrice mère s'est mise le 7 en roote pou* ^OSCOU - On assure que la.sentence des individus prévenn de haute trahison sera prononcée sous peu de jours. Des personnes bien informées prétendent savoir qu'aucun d'eux ne sera puni de mortmais qu'ils seront tons exilés en Sibérie pour un certain nombre d'années proportion de leur culpabilité. Le gouvernement vient de découvrir des malversa- lions considérables qui ont été commises par des em ployés de la marine Cronsihdt. Plusieurs coupables ont été arrêtes. ANGLETERRE Londres 23 mai. Sir Frédéric Adam se rend en Erosce ion absence des îles Ioniennes sera dit on de six mois. Le Globe and Traveller remarque que ries n'annonce que la gêne commeiciale approche de son terme, e: que quoique le nombre des faillites ait été très grand depuis quelques semaines, celles qui ont été annoncées dans la gazette la semaine dernière sont encore plus nombreuses que celles qu'elle avai'déjà publiées. - Le nombre d'individus Lancaster qui seront jugés comme imptiqu-s dans It-s troubles qui ont éclaté s'elève environ 5o La veille d'une femme par son marî a eu lieu èÂf- Biighio» il y a huit j >urs elle lut conduite mar ché la corde au cou un acheteur se présenta b<emô? et l'a paja 3o shillings. Celle vente fut inscrite dans le* regisnes du marche ainsi que le paiement d'un shil ling pour I accise. On a reçu des nouvelles de l'efcpédiiion du capitaine Clapperton dans hrnércur de l'Afnque, mais elles sont bien tristes. Le doct. Morrison et le capi taine Pearcedeux de ses compagnons étaient déjà morts, ainsi que plusieurs domestiques. Le apitai- ne Clapperton lui mè ne avait été atteint d'une fievre ceperi-iani il était ass z b en rét-bli pour continuer sa route. Ii espérait passer le Niger, veis la mi tanviec et accotup/ir l'ob|et itupo<tant de traverser le grand- continent de I Afrique oe 1 ouest 1 est. FRANCE Psru aa mai. S. M. le roi de Prusse vient d'envoyer M Boêl- dieu une bague enrichie de diamattsaccompagné d'une lettre autographe des plus flatteuses, pour le re mercier d'une parution de la Dame Blanche, que notre célébré compositeur lut avait adressée. Au reste, il rat dans la desttnee de ce charmant opéra «le faire le tour de l'Europe, car nous apprenons qu'on le monte en ce moment Berlin Saint Petersbourg Na- ples et Londres. Le correspondant de Hambourg, dit qu'on parle beaucoup dans les saions.de Berlin d un prochain changement de mimaiète. Ou nous écrit de Rouen, a6 mai t D après les informations que nous avons prises sur les eveoetnenB de la soirée de mercredi il parait que parmi les pierres'qui turent lancés contre la force armee, p!usi«u.s atteignirent d'une manière plus oq moins grave quelques-uns de M M. les cIGeiers du ser vice. On assuie que M. le comte de Farincourj, co lonel de la garde (ut lui même frappé deux fois. Il devient alors.indispensable d'employer la force contre la force eu conséquence, un peloton de la garde et la gendarmerie firent une charge sur les mutins, en les refoulant dans la rue Grand- Pont, d'où ils s'échappè rent par les rues a Ijacenie- Après quelques iustaus de tranquillité, des g toupet

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 2