un* autre diversion «nr Lartsse et legolte de Veto
pour inquiéter les derrières des Turcs et les contrain
dre abandonner l'Attique.
Il paraît certain que des négociations sont ouvertes
Constantinople. •..'Autriche seul refuse de stipuler
pour les Grecsmais aur quelle base traitera ou
on l'ignore.
Les dernières événemens dont M. d'ilarcourt a été
témoin prouvent assez que la inauvaisr fortune n'a
point abattu le courage des défenseurs de ta croix.
Leurs divisions intestines les fautes et las erreurs de
leurs gouvernement provisoires, «ont l'auvrage d'agens
obscurs plus redoutables pour eux que les musulmans.
On reproche aux malheureux Grecs le mal qu'on
leur a faitla discorde qu'on a semée on considère
froidement l'extermination d'un peuple entier par le
1er ou par la famioe comme une simple combinaison
politique. D'autrea sentimens, d'autres intérêts et
ceux de l'humanité ne resteront pas sans doute entiè
rement oublie*devraient prévaloir eu ha dans les
conseils des souverains.
C'est le moment d'aider les Grecs de les seeotrrir
contre les exécrable violences de leurs oppresseurs. On
ne peut donc qu'engager les horomss genereux qui sont
réuois dans toutes les parties de l'Europe pour servir
cette intéressante cause; redoubler cette xèie, a faire
connaître la nécessité de nouveaux-sacrifices et en
donner l'exemple eux-mêmes. Cet appel tout ce qui
porte un cœur religieux et sensible u« sera point re
poussé en per.6anique cette lutte terrible touche k son
terme et qu'un dernier eilort devra contribuer faire
triompher les armes de la Grèce ou a améliorer son
tort, s'il doit être décidé par l'intervention des cabinets.
Journal des Débats.
Nouvelles dEspagne* et de Portugalvenues de
bord de l'jédour
L'évèque d'Elv.i» a été atrété et -renfermé dans le
couvent de Saint Dominique. Les Afgarvee et fa pro
vince. Tra-los- Montés, ont proclamé la reiue mère
souveraine*
Le nouvelliste fait dire at» contrairepar le Pilote
que le bruit courait k Madrid que la tvitie mère veu
ve de Jean VI devait s'embarquer bord d'un bâ
timent de guette anglais pour se rendre en Angleterre
ou au aBrésil.
PA\S- BAS.
Bruxelles 3 novembre.
Il vient d'être ordonné aux huissiers de faire avant
l'heure de midi la protêt des effets écrits sur papier non
timbré.
Hier a commencé Gond la loterie des tableaux
etc. de l'exposition acqnis par La société royale des
beaux-atis au nombre de 43. Le numéro 36, Deux
jeunes personnes une fontasnetable»* de M.
H«xelaer de Bruxelles est échu k M. Walter, ins
pecteur-générai de l'instruction publique, Bruxelles-
Cent quarante sous-officiers et soldats, de la 17*
division d'infanterie en garnison Gand, ont pris ser
vice pour les Indes.
Les nouvelles de la maladie deGroningne,
Frise, Overyssefet <fone partie de la "Nord-Hollande
sont toujours affligeantes.
Sur la désignation de S. TSxc. le gouverneur de la
ptovince d'Overyssel le médecin Dueckel est parti
pour Blokzyl le médecin Beininck et le pharmacien
Paul de Deveoter qui avaient aussi offert leurs ser
vices seul allés Oudenarku
La collecte faite k La'Hayo en faveur des mala
des indigeos dans les provinces de'Groningue et de
Frise produit 14.860 fl. 8bi cents. parmi laquelle
3oo fl. recueillis Scbeveningen dont t54 parmi
les pêcheurs de la dite commune.
Du'S Un jeune médecin de cette ville, qui
s'était rendu un des premiers a Groningue, était tom
bé malade dans une commune près de Leeuvvarde s
qui lui avait été assignée, son père est allé sur-le-champ
le trouver et Ta ramené ici.
Bruxellés, a novembre.
Moosieir ta cruelle maladie qui depuis trop long
temps désole Groniningue et ses environs ne cesse
•d'exercer ses ravages. *L» caractère généreux des
Belges ne s'est pas démenti dans cette déplorable cir
constance, et lè produit de nombreuses souscriptions
et collectés a procuré 'les moyens de pourvoir au sou
lagement des malades. 'Cependant les besoins sont en
core bien grands et rapproche de l'hiver rend urgana
des secours en objets des vïiemens pour un grand
nombre d'Orphelins, tristes débris des familles apparie»
naut aux classes ouvrières et peu moyennées qui ont
le plus été victimes de l'épidémie-
Comme ancien habitant de Groningue, la commis»
sion de secours de cette ville a bien voulu me faire con
naître que faute du tailleurs, couturières, moils ow
malades1e moyeu potar couvrir la uodité des pauvre#
leur manquent, minvitant en même temps taire un
appel k là bienfaisance recoonue des haLiiana des Brus»
#1t'es, pour obtenir des-chemises capottes, panta
lons et tous objets quelconques des vètemeos disuii
bn-v des indrgensde deux sexes et de tout âge qui
an sont teaafeuieul dépourvus 1
Veuibetmonsieur faire connaître au public, par
la voie de votre journal, que le collège des bourgmes
tre «1 éehevins de BruXeTlés a bien vôuhi assigner dans
l'hôtel de vifLe wn toeal oà seront reçus tous les jours,
excepté les dimtmehes de 10 jusqu'à une heure, loup
les secours en nature de l'espèce de ceux que j*ai dé
signés ci dessus, pesir être expédiés fa commission
de secours de Groningue. Les «sus des donateurs se
ront rendus publics par la voie de l'impression, moins
qu'ils ne préférant garder l'anonyme.
DSsiAxtcn professeur de langue naitondlë et a
Gand 3 novembre
Nos lecteurs seront probablement curieux d'apprene
die quelques particularités relatives la trop céièbr#
comtesse de Jersey, qui luridi dernie r a été condam
née par le tribunal correctionnel de Gand, k une an
née d'emprisonnement a5 florins d'amende et aux
frais comme convaincue d escroquerie.
Cette femme est née Paris, suivant le» apparencéi.
elle est mariée en Angleterre, àu comte INjentac Rohao
de Jersey elle y a éé/ourné pendant quelques année»,
et en est partie dans le temps que l'ex-empereur Napo
léon Buonapatte était exHé l'ilé tf Elbe. Les journaux
d'êttdiè dans le temps, donnaient pour but un voyage
qu'elle Bt k cette époque vers cette île l'évasion de
[inonaparte; ils dirent même que lé comtesse aurait fait
I officier anglais cadeau d un diamant de la valeur
d'environ 100,000 f aneset que a'étant liée de con-
f 1 Quelques dons particulier! recueillis par
la coopération de Mr H. Somerhaussen et l'active
charité de quelques dames de cette ville qui ont bien
voulu seobacger dn confectieooemeot de quelque* ob
jets d'habillementmettent même d'expédier in
cessamment un certain nombre de chemises d'enfaoa
de 1 k 10 ans mais qui#Atioia.de auifù« aux besoin»
de tint d'infortune».