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Tr_^jgrëpÛDlïqâGuëlTïô-dë^nâl'TïTâpâfsTrvôu!ôTr
percisier ne pas reconnaître la république de Bolivar,
et réclamer la Banda orientale du Brésil attendu
que cette province faisait autrefois partie de la provin -
ce espagnole de Rio-de-la- Plata.
Un lit, dans la Gazette Universelle de Lyon,
du it>
L'academ'e des sciences belles-lettres et arts, de
Lyo n, a an dans sa séance du 16 qu'une adres
se serait présentée au roi pour supplier 5. M. d'or
donner, ses ministres, de telirer le projet de loi relatif
la presse .- une commission a été nommée, pour ré
diger cette supplique elle fera son rapport le ^3.
On écrit d'Opor lo, le 3 1 décembre, que le géoe'ra!
constitutionnel Claudino vient d'annoncer qu'il est en*
tré Viseu le 28 avec les itoupes du général Aze-
redo et les siennes.
On a distribué le 20 h tous MM. les députés un
in trente-deux demandant le rappel des jésude».
Constitutionnel,
Toutes les nouvelles de Grèce s'accordent an
noncer la levée du siège d'Athènes par Reschid-pacha.
Une lettre de Livourne assure que le sera->kier est cer
né dans sa retraite, par les populations insurgées de
l'Attiqne de lEpire et delà Thessalie.
Chambre des pairs. Bulletin du 18.
La chambre a ordonné l'impression du rapport fait,
par M. le comte de Portalis, sut la pétition de M. le
comte de Monllosier.
Elle a ensuite entendu sur cette pétition, MM. le car
dinal de Lafare le duc de Choiseul et le duc de Fuz-
James.
M. le comte Portalis a divisé son travail en deux
parties il a examine dans la première la dénonciation
dp M. de Moutlosier, quant ce qui touche le paru
prêtre. Le noble rapponeur a trouvé cette expression
et les laits rapportes sur ce chef tellement vagues et
indéterminés qu'ils ne pouvaient être l'objet d'une
pétition, en conséquence, il a proposé l'ordre du jour
sur cette partie de la dénonciation de M. de Monllosier.
Quant la partie relative ans jesuites, la commission
a proposé le renvoi motivé M. le président du con-
•eilattendu qu'aucune loi n'autoritaii l'existence de»
jesuites en France,
S. Em. Mgr. le cardinal de la Fare a discuté les mo
tifs du rapport, et a demandé qu'on passât l'ordre du
jour sur toute la pe'ti ion du comte de Monllosier,
M. le duc de Choiseul a soutenu le renvoi motivé
et les conclusions de M. le rapporteur.
M. le duc de Fitz James sans traitera fondis
question que la péuiion tait naître a conclu en s'en
rapportant la sagesse du gouvernement. Il s'est af
flige surtout que fauteur de la pétition choisît la voie
du scandale, pour arriver jusqu'à la chambre.
On remarque, dans cette seance, que tous les pairs
ecclésiastiques étaient préseos ainsi que M. le prince
de Poliguac.
PAYS-BAS.
Ypres 24 janvier.
ftj" Les articles de la nouvelle rédaction por
teront un astérisque (»),ou seront signés de la
Lrotneniie YV
Dimanche21, la Société Royale de l'Arc en
main St. Sebastien) s'est rendue triomphalement
en corps l'vgiise Si. Martin notre cathédrale où
une grand'messe a été célébrée, l'honneur de'son
patron. LV. a admiré la bonne, la martiale tenue de
M. les sociétaires, qui, l'arc la main, le carquois
dos en grand uniforme et précédés de tous les
trompettes ei cornets de la i6« division, ont défilé, en
cortege jusque dans le chœur. Une musique d'au.a-
eutsbrillamment exéentee a prouvé que nos con-
MM.
au
rnsciectrtse; par t eian aes v-irësvôïsvnë^rwîfl
qu'a le vouloir pour pgaler sous peu les uu iilcu.
res associations musicales. Des banquets et des b:tl«
analogues doivent solenniser la fête patronale.
No« tournai)*, et nous, d'après eux nous avons
annoncé l'arrêt de in haute cour utilitaire, dans la cause
Lobry et consorts. Cet arrêt, qu'il soit confirmé ou
mitigé par l'inépuisable clémence de notre auguste
Monarque offre un grand et déplorable exemple <!a
ces forluoes rapides, gigantesquesqui semblent t'être
formées comme par eorhaniemenl! Loin de nous d'in
sulter ou malheur l'infortune Dans les itrops de
ptospérité le Propagateur a le premier, arme des
traits du ridicule ei de l'ironie ose signaler, dans sa
Correspondance ces numéros on été requis de par
la haute-cour) les causes, quelles qu'elles soient, qui
ont occasionné la perte le deshonneur des condam
nés.... Meus pourrions ajouter, ici, une série de
reflexions mai» ce que nous eussions écritsous le
manteau du sarcasme et de apologue ets'il eut
fallu en toutes lettres il y a quelques années
nous le supprimons présent. Mous-espérons nue l'on
applaudira notre délicatesse. Chacun, d'ailleurs, -
peutde soi-même sur-tout Ypres porter un ju
gement sain sur cette malheureuse affaire qui a spolié
tant de fonds au gouvernement et mis nos fortifica
tions et nos grands édifices militaires dans un danger
tel, que le temps seul est même de nous en signaler
toute l'imminence
M. A. Clavareau, l'un de nos poètes les plus
féconds et les plus distingués, auteur des Harmonies
de ta Nature, et de plusieurs antres opuscules du
plus grand mérite se propose de publier incessam
ment une imitation, en vers, du poème de Rhijnvi»
Feith, intitulé Le Tombeau, C'est au profit des ma
lades nécessiteux des provinces septentrionalesqus
ce jeune autant qu'estimable auteur consacrera le pro
duit de son rare talent que tant de philanthropie ho.
nore davantage encore. Mlous apprenons que G. M.
vient de souscrire pour dix exemplaires.
Le navire national H ii/ieirnine et Marie,
d'Amsterdam, ayant'ete detenu par l'escadre brésilien
ne devant Buenos àyres ei conduit Monte-Vidéo,
sous le prétexte d'avoir viole le blocus, a épé déchargé
de cette accusation par le tribunal de Monle'Vidéo. La
capitaine attendait la ratification de ce jugement par
l'empereur.
C'est par erreur, ou par toute BUtie raison, que
VEtoile du 1 1 de ce mois a dit que l'article sur l'util-
màtum, adressé, par les trois grandes puissances, la
Forte était exltait du Courrier anglais, du 8. 11 ne
se trouve dans aucun des derniers numéros de ce jour
nal qui est répuiè ministériel, mais bien dans le Times
du 8 ce qui malheureusement diminue beaucoup
l'Importance de cette nouvelle que le Courrier n'a
pas même répétée. Ceux qui, dans ces derniers temps,
ont voulu faire croire que leéTimes était l'organe de
M.Caoning, étaient dans une grande erreur et ce
qui le prouve, ce sont les sorties virulentes que cette
feuille du tnaun s'est permises contre le duc u'York,
immédiatement après la mort de ce prince,
Foyez le h", 85 3.
Depuis le Ier du moisil n'ost plus perçu, i
Tournai, de taxe municipale sur les huiles brûler de
graines et de poissou ni sur toutes les espèces de g'al*
Les oléagineuses.
Nous avons rapporté le j 7 d'après la cC'es-
pondance Ae la Go mette Universelle, que Mgr. M'- -
li n était pas air nombre des négociateurs nommes, j ar
le pape, pour traiter avec l'ambassadeur de S. M M.
le comie de Celles. Le Ciurrier delà Meuse du i5
donne des nouvelles de Rome sans date qui disent
tout le contraire. Voici sa vers:on
t Le Samt-Fère a adjoint, au catdipa! Captliari e'
