LE 7 R O P A JOURNAL D YPRES, POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE; D'AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS, ACTES DU GOUVERNEMENT DES VILLES ET DISTRICTS DE LA PROVINCE DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. OlJVEli T(.'HE DES PORTES DE LA VILLE. Du iG "au 3i Janvier, 6 heures. FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Du 6 au 3i Janvier, 5 heures et demie. Le i lis de i'abonnement est de 18 francs par année, 9 francs 5o centimes pour 6 mais, 5 francs pour 3 mois. Le prix 4 insertions dans ee Journal, est de tî centimes pai ligne, et celle» au-de»soire de 7 lignes se paient 1 franc. On s'ahunne che» l'éditeurcl tous les bureanx des postes anx lettres du royaume. P LIÉ ME RJD ES. 20 Janvier 1799. Prise d Erheinbreistein. jfprès un blocus de quatoi ze mois dont le général S ou r dan, commandant l'armée de Sambre-ct- Meuse, avait chargé la division Marceau, la forteresse d Li h. inbre'tslcn capitule, et la garnison autrichien ne évacue la place le 25 janvier1807 combat de Mohrmgerioù les Russessupérieurs du double, furent complètement mis en déroute par te prince de Ponfp-Cvrvo ai/ju/d hui roi de Suède. 26 1812. Combat de Saint- t'éhee en Espagne. M pi ès le combat d'Ailo-b'a'la le général Lamarquv en- v ya la brigade Beurma/i prendre position a Saint chee de Candines. Le 20 un corps nombreux d'insurgés espagnols vint l'attaquer l'improviste mais le général français, maigre l infériorité du ni-/li bre repoussa vigoureustnieul l'ennemi, le mit dans une dérutcxomplèle lut prit 200 hommes, en tua un grand nombre et s'empara dun drapeau. 27, 1814. C'mbat yle Saint'Cizier. Les armées coalisées avaient passé le Rhin et s'avançaient sur Paris par la Bourgogne et la Loriame afin de se reunir sur 1Aube et la Seins fS'apoléon voulant pi t venir cette jonction se porte aussitôt sur Samt- O/Stier t? surprend dans ses bivouacs la cavalerie ennemie tandis que la division Duhesme atteint 1 infanterie russe et la met en déroute. léapoléon entia dans la ville neuf Ii3ures, aux acclamations des habitans. PORTUGAL. Lisbonne, 10 janvier. Le ministre de la guerre n'afait publier aucun bul letin ni nouvelles quelconques dans les gazettes de ces trois derniers jours. Le nombre de troupes anglaises arrivées est de 5.330 hoptmes. Des transports arrivent journelle ment. Deux régimens sont attendus de Gibraltar et deux autres d'Irlande. Les officiers achetteci des mules et des chevaux pour leur bagage et se préparent partir pour lés provinces au premier ordre. Ou croit que le maréchal Déreslord partira pour les provioces avec deux décrets d'amnistie un pour les milices et soldais de la ligne et l'autre pour tous les officiers mais ce dernier pe sera pas connu et restera en reserve pour en faire usage au besoin. On pense que M Tiigozo rentrera ou ministère do l'intérieur et que le maréchal-de-camp Povoasami du maréchal Béresford, prendra le ministère de la guerre. Le minisire ne !a guerre d'Espagne M. Zam- brona vient d'adresser l'inspecteur général des vo lontaires royalistcs,6i aux capitaines généraux des pro vinces une circulaire par laquelle il leur fait part des mesures ordonnées par S. M, pour préserver le royau me de tout ce qui pourrait mettre 53 sûreté en danger. On a renforcé les points principaux de la frontière et l'on e placé un corp^d'ofcservat'on sur la ligne inté rieure du 'l'âge. I! est prescrit <V observer la plus stricte neutralité en «'abstenant de tout acte ou coopération hostile contre le Portugal. ANGLETERRE* Londres 20 janvier. On sait que le duc d'York n'était pas favorable l' iti incipalioD des catholiques, c-l qu'il s'était prononcé vivement ce sujet dans la dernière session du parle nt.-il. Voici un fragment du discours prononcé l'oc- cavibn de la inort de ce prince par M. Sheil dans une des séances de l'association catholique de Dublin Le dur. d York Ce nom a fixé toute votre at- leïri'On et j avoue q*ae je no l'ai pas prononcé sans sentir mon cœur battre violemment. Cô frère d'un roi sans etifans don', la main avait presque saisi le sceptre ei dont le pied pesait sur les marches du trône celui auquel la Providence semblait avoir destiné un rôle «i important dans nos affaires celui sur lequel les yfcux de trois nations étaient tournés avec inquiétude celui qui était la fois une60urce d'espérances et de craintes, le duc d'York n'est plus 1 La langue qui évoqua l'E ternel dans un jour solennel est maintenant g'acée Is bras qui s était levé contre notre pays est maintenant ina'niiné. Ses restes vont reposer près d'un roi dont il avait tout la fuis les bonnes et les mauvaises qualités. Je ne dirai donc rien de pius de lui, quoique je puisse lui appliquer ces deux vers Tu ïliou art dead, Alonio So is my enraity. es mortAîonzo avec toi s'est e'tein'.e aussi mon inimitié. Deux morceaux de bois de chône du vaisseau de ligne Bclleropfionmaintenant converti en vaisseau de prison et dans lequel Ruon aparté fut conduit de France en Angleterre ont été récemment envoyés sir Robert SeppiDgs un des amiraux Il parajt qu'on en veut fabriquer des tabatières qui seront présentées aux diverses têies couror>nées„de l'Europe. Des lettres de Madrid de de ce moisfont meniion du fait que nous avons annoacé il y a quelque temps, que le gouvernement français envoie dis trou, pes ses garnisons en Espagne de la manière la plus tranquille, par des navires expédiés de Toulon pour Barcejooe et de Brest pour Cadix ^depuis trois se maines la garnison deCadix s'est accrue de i,oqo hommes. Suivant les rspporis reçus Madrid les rebelles l'avaDçaieat vers Lisbonne et tous les paysans sa

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 1