de Vlaardicgsn pour aller su secours du Waterloo j el près duquel on présume qu'ils sont arrivés, seront employés soit pour transporter les troupes qui se trou vent bord soit pour assister ce vaisseau dans son trajet vêts un port des Pays-Bas. Dès que les pinques de Scheveningen découvriront les dogres de VJaar- dingen elles prendront bord et mettront terre les troupes ou si le Waterloo môme arrivait dans nos parages elles se porteront immédiatement sa ren contre. Staats-Courant Quelques endroits du Pihin sont en paitie cou verts de glaçons. A Dusseldorf on traverse le fleuve pied. Entre St-Goar et Bingen les glaçons ont été refoulés sur les bords avec tant de violence et telle hauteur que de mémoire d'homme on n'en a vu autant. Il est craindre qu'un degel rapide ne cause de grands dégâts. On mande de Berlin que le prince de Hesse- Iiombourglieutenant-général et gouverneur de Luxembourg y es! arrivé daos la journée du i veuaut de Luxembourg. La permission accordée tout le monde de s'infor mer de la santé de S. Met de s'incrirea été mise profit par plusieurs personnes pour faire parvenir dos suppliques au roi. Un officier en retraite a ajouté son nom Chevalier de la croix de fer et porteur d'un ordre du cabinet nou-exécuté jusqu'à présenta. Le rci fit aussitôt prendre des informationset ayant appris que la plainte du pétitionnaire était fondée S. ÏM. ordonna sur-le-champ de rappeller, au ministère que l'objet concernaitl'ordre en question et l'officier obtint le résultat qu'il désirait. Du aa. S. M. le Roi vient d'accorder une gra tification de (rois cents florins M. Z. L. du Flos pour le maintien de son école d'enseignement mutuel a Liège. On lit dans le Dragon journal qui s'imprime Rions .- Quel sentiment ne doit pas prouver un cceur sen sible en voyant un de ses semblables arraché au mal heur» et l'infortune! Notre auguste reine vient d exer cer sa bienfaisance sur une famille des hauts rangs de la société et qui réside en celte ville. Cette famille réduite la détresse par suite des révolutions politi ques rend grâces aujourd'hui d'avoir trouvé dans la cœur de la digne compagne de notre auguste monar que des traits qui rappèleot aux belges les vertus de l'illustre Marie Thérèse toujours si chère leur mé moire. La Société de Terps chore et gaité se propose de donner uoe représentation au bénélice des indigecs de cotte ville. Chaque souscripteur aura une carte de pain distribuer. La Société littéraire de St-Nicolas a donné deux cents florins des Pays-Bas pour être distribués aux pauvres. La représentation donnée le 20 au théâtre de Gand pour les pauvresa produit 741 fr. 5o c., y compris une centaine de francs provenant d'une col lecte faite parmi les acteurs de manière que ces artis tes ont eu recours leur bourse et leur talent pour le soulagement des malheureux. La petite garnison d'Alost, forte de quatre vingts hommes et faisant partie de la 17e division en gar nison Gand a fait distribuer cinq cents pains aux pauvres d'Alost. La Société du Bois du Lucqvient de faire dis tribuer aux pauvres de Houdeng. Aimeries, la quantité de 800 barils de bouille. Aux calamités souffertes par le froid rigoureux te sont jointes, depuis quelques jours de déplorables catastrophes d'incendies; nous en avons déjà rapporté plusieurseo voici d'autres encore. Le 16 de ce mois, vers 7 heures du soir, le feu prit dans 'a fila'.ure de coton de MM. Wsnten Ge» rards-Beigen FI. or.); la promptitude des secours; empêché que le dommage ne fut considérable. l.a nuit du 16 au 17 dans la commune de Bouvi- gnies Usinantle feu a détruit une ferme apparte. nantau sieur Ramus On n'a pu sauver que les chevaux Le dommage qui en résulte est évalue 4)400 florins, Le 17 de ce mois, vers heures du malin; Msr. che-en-Famène, un incendie qui s'est manifesté dans la maison du sieur Jos. Mathieu s'est étendu aveu tant de rapidité, qu'à huit heures, malgré le secours de presque toute la population six maisons étaient la proie des flammes heureusement on est parvenu alors maîtriser le feu. Le lendemain vers 4 htures du soir le feu qu'on croyait éteint s'est rallumé la tousiu a appelé la population des villages voisins et' force de travail on a prévenu de nouveaux dégâts. Déjà en 1806 celte malheureuse ville avait éprouvé un terrible désastre du même genre- Les journaux des provinces septentrionales mention nent aussi beaucoup de malheurs causés par le feu. L'orangerie et les serres de M, Parmentier, bourgmestre Enghien qu'un incendie a menacé de détruire en entier la nuit du 4 au 5 courantétaient assurées par la compagnie Sccuritas d'Anvers. M. Parmentier nous autorise témoigner publiquement sa satisfaction sur les formes franches et loyales que II Compagnie a mises dans l'évaluation et le rembourse ment du dommage. On écrit de La Iîaye le ao .- Le lieutenant de vaisseau Molenaar arrivé ici cette nuitet qui a quitte' le Waterloo avant hier apporte la nouvelle qu'il était partie d'Heligolandet qu'au moment où il 1 quitté ce vaisseau il s'était rapproché de nos côtes jus qu'à la hauteur de Terschelling. Tout était aussi bien que possible bord vu les circonstances. Le meilleur esprit règne parmi les troupes. On apprend que l'in tention du capitaine Van Daalen qui commande le Waterlooest de se servir de dogres pécheurs et autres bâtimens fond plat pour débarquer les trou pes sur un des points les plus propices de nos côte» et ensuite de tâcher d'atteindre un port pour son vais seau ce qu'on présume qu'il pourra faire aisément sa mâture de détresse se trouvant en très-bon ordre. On attend avec impatience quelques rapports ultérieur! sur les motifs qui contre toute attente, ont porté l< capitaine Van Daalen se diriger vers nos côtes. Il est a peu-près hors de doute que les secours qu lui auront été envoyés de Cuxhaven, la difficulté d'en trer dans ce port cause des glaces, et le calcul qui aura fait des frais qu'exigerait le passage de tioupes sut plus d'un territoire étranger auront engagé ce chef habile prendre un parti quidevant plus que proba blement réussir causera une satisfaction générale.» On écrit du Texelle 19 que selon le rapport du lieutenant de vaisseau Molenaar revenant de II recherche du Waterloo, et qui était débr.rqué le menu jour Iluisduinen, ce vaisseau cinglait la hauteur de Terschelling mais qu'il n'avait pu faboider cause que la mer était trop houleuse. Le .Waterloo marchait assez bien avec sa mâture do détresse il était en bon étatet l'équipage ainsi que les passagers se portaient bien. Le commandant du IFaterloo était d'intention d'entrer au Texel les circonstaucs le permettaient. Gaxd'Amsterdam) FRANCE. Paris18 février. Mgr. le nonce du pape a visité le 3 de ce mois Lyon la maison d'aliénés desservie par lès hospitaliers de St. Jean du Dieu. Voici quelques détails sur cet établissement. Cette maison reçoit les aliénés et les épileptiques de louies les classes, Les frères sont persuadés avec le*

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 2