l'observateur autrichien a reçu lés n.°' du 10 n et 11 fecémtv e 'le L Gazette universelle de la Grèce qu' pa- i a Egme. Le n° i i du 23 decembie contient le rapport sur l expédition des Grecs contre Talandi qui a échoue mais d«ti9 laquelle d'illustres guerriers giecs se sont distingues pat île beaux laits d aimes dignes de leurs sucettes FRANCE. Paris24 lévrier. Le roi a reçti-en audience particulière M le comte de La ijutnats-et tYl. ie duc de R issac pairs de France. Le conventionnel Pnult'er d'Elinotle, ancien p e bénédictin, puis député du département du Word la convention reeln pat le Pas de Calais au conseil les cinq '■erils en 1799 e1 il la chambre desté- prescians en 181 5 vient de mourir JTonrnay Belgique J où sou enterrement a eu lieu le 17 te- \rier Pasqnier curé de St.-PorchaîreT\îars*»nltautno. nier du collège royal. Boin Beaupré cute dj Aligné de Curzon maire de Aligne Mautl n, adjoint Mafrol ftbruien Surauit fabricipo Lat dry rriarechai-des-logis de la gendarmerie i Po tiers, Fournier ancien adjudant sous offi.ier, et quaranie-une autres signatuies. Copie textuelle d une partie des rapports que von vent d'imprim r par ord de Mgr l évêque de Potiers, sur I appari ton dune croix dans la p u iv.se de \Ji%né[ bon g a une lirue de Poitiers ci parlement de la Vienne.. Nous soussigné'*, Pasqnier, CU' le S'. Porchaire, e il «rsauh aumônier du collège >oyal de Poitiers réuni depuis un moi» et demi VI. Boin Beaupré cure de VJi^ne, pour donner a ses patossiens les exercices du |ubil>, avons I honneur rie faire pan a vo* tre grandeur dé l'évenement exiraordinaite oont nous o tB éif jetnoins a la clôture de noue station* La doilhéel Ih ferveur d'un grand nombre dis habitans de cpi e ommune nous consolaient de nos trav ux ma nous avious encore g mir sur la résistant e de p! sieur- qui rendaient nuls pour eux les efforts de 110- t>t icie. Le dimanche, t.i 17 présent trio s nous avons le 1111 ne les exvrci.es u |ubile pu la p a 1» ion d'une CO'S cérémonie laquelle assista en: deux ou trois nulle persounes.de Aligne e: d**s paroisses voi.iues. La c ois p on ee au moment où un Je non» adressait lui' exhoita'ionoù ti leur rapptdlaii cellequa viieni aoti lois Constantin et son armee en marchant co ure AGx.n te, parui dans la région intérieure d" l'air, au les-us de la peole place qui se 1 ouve il-vain la pinte principale de l'cg isc une croix ium ueuse éle- vee. au-dessus du niveau de la lerre d environ 100 pied», ce q 11 nous a donné la Gril téd eu évaluera ppu p-és la longueur, q..i nous a pai u re Je 80 pieds.* ses prcpoi'ions étaient tri s n-guliéies, et se* contours de!» rran es avec la p'il» glande netteté se dessinaient pu; la: tuent sur un ciel sans nuages qui Commençait cependant a s obs urcir car il était près d 5 ht uips du »oirCetiecron, de couleur argen.ine, e ..u piacee ho: izonialeruent dans I* direction de l'é> g se le pied an levant et la tête au couchant sa cou- h m était la ii èmo dans totTe son étendue et elle s'est maintenue sans altération près d une derni-heure et>- fi-, la pi occasion étant rentrée dans l'cglisocette cioix a disparu. Un ne pt u' se faire une idée du saisissement reli gieux qui s'est empan de tous les spectateurs a I aspect de celte croix presque tous se sont instant je'.es g"ioui ei répétant avec transport, et Ls mains éle vé. s »u Ciel le cantique vive Jésus vive U croix Ce pro.Jig ie que nous attestons q\t attesient avec HOU- les soussignés et que sont prêts a attester avec eux tous ceux qui ont ete témoins ocrulaires a pro duu d heureux elle;»; dès le soir même et encore p us le lendemain plusieurs personnes qui s'étaient montres** ebellcs a la grâce se sont approchées do tri» buual de la peuiience et se sout réconciliée» avec Dieu. police correctionnelle Affaire de M. Maubrcuil. Avant onze heures du malin M de Maulneiul 1 été amené devant ses jugesG.est un homme de 4o stu environ sa boutonnière est decorée du ruban rouge; ii-a l'air souffrant et ses discours sont incoh»rens. L'avocat dit il Al. le président aussi ôt que lei juges sont montés sur leurs siègesl'avocat chsrgé d« ma défense m a trahi le suis sans moyens de defense l'adjure tous les avocats qui m'entendent de rue p et leuts se: oui s. Celui que j avais choisi s est empa<e (I* mes papiers; il a rit M de l'aleytani l'ienots tout cela. Je n'ai pu écrire ma famille. Si on paralysa ma defensesi on use envers moi des moyei s ti> rnblcj dont on s'e*-t déjà servi que voulez vous que ie ts-se. J'ai torfiante en M. Test, avocat, c'rSt un bornai» de l-dent un homme d'une grande probité... M le président Avant tout il faut savoir quels sont vos noms M. du Maiibreuil Vous êtes M. Dufour vous m'avez fait trainer devant vous attaché avec des cor des. Voulez vous me permettre d'eenre a ma soeur e> de porter plainte contre mort avocat. M le président il faut procéder régulièrement. Dues vos noms. Voulez vous avoir la bonté dercevo r m» plainte? M le président Je recevrai'on es les pièces qu» vous croir. x devoir me communique) mai» aupais- Vant il Gui établit l'nien it de l'ind: vi lu traduit Jetsnl leiuhuiial. Est ce que M. Taileyr «ml n'est pal fa M. le président.* Vos noms? Vous savez mei noms je vous les ai dits. M pespotbès de Lutson avocat du roi .- S' vnUI avez des plaintes po< 1er c'est nous les recevoir mais avant tout dues vos noms. Je m'ai pelfa Mane Armand de Guéry de Maubieuil j ai 4> a"si je suis ne Mauhreuil. Ml'avocat du roi .- Messieurs nous avons fan tra duire devant vous en vertu d'une ordonnance de chambre du conseil et d'un arrêt Je la cour royaie,, I» sieur Maubreuil comme prevenp d'avoir, I* 20 jan vier dernier po-le volontairement avec pie'med la iton et gue pens un coup sur. la figuiedeM. prince de Talityrard. t'est sur ces laits que 'e si-or AJaubreuii aura s expliquer. Ou procède I au dition des iVmuins. Alde Tamency garde-du cotps était de servie» le 20 janvier batnt-Dens dans l'une des salles d» réception. Il vit un individu vê u du noirayant ua crêpe au bras et un ruban la boutonnière. Cet indi vidu demanda au (emoio si les ptinres entreraient bien tôt dans le salon. Quand Al. le Dauphin fui entre il me demanda où était la c our je ne comprenais pt' cette question dit AI. Tamency il s'expliqua en ut' demandant où étaient les pairs; je les lui montrai» Au lieu de se retirer au lond du salon corn"14 je I en avait prie il se mit près de moi et au c 0' que M. le Dauphin fut passé, l'individu tomba sur M* le prince de Tajeyrand le frappé le prince tomba In renvoise sur le tapis. Mt le président Eiaii ce un coup de poing M. de latnpncy J| y avait beaucoup de moud» je ne 6ais ai seulement vu tomber le prince. M le presideni a l-ii porté plusieurs coups Al. de lamcocy je n'gi vu porter qu'un coup. H

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 2