en porler d'autres, que l'aflljjcnce du monde tri's em pêche de voir. M. le président Lorsqu'il a été arrêté qu'a t il- dit M deTamency; Il a beaucoup parlé il paraissait sati flit ma a j'ai oublié tous ses discours. M de V ici loi garde-dn corps lait sa déposition dans In même sens. RI. de Lsbouret garde tlu-corps, troisième témoin, déclare que M de Maubenil au moment de son arrex- lation a. dit qu'il était inutile d employer la violence qu'il ne voulait pas se Sauver et qu'il avait voulu battre le prince de Talleyiand. M de Maubreuil Voici ce que j'ai dit. Ce que je viens de faire i 'est pour forcer ce misérable que j'ai dénonce la ihambre des pairs, au* tribunaux que j'ai dénoncé il y a deux mois s'expliquer sur les faits de cette dénonciation. Il est •suir Je uns mes m ilbeurs il m'a bien l'ait de 11 p une. J ai voulu I hu milier non lui laire du mal. Il a poussé des iris parce qu'il est poltron, lie il s'est laisse tomber paire qu il n'a pas de |ainhes. M. Burette de Verrières, lieutenant-colonel, maré chal les logis d s gaides-riu-. orps rapporte le» faits eomuie les précédent témoins et ajoute que M. de Maubreuil disait qu'il ven ut de satisfaire une vtngeau- C personnelle envers un homme qui lui avait imt perdre sa fortune et qui avait <le»hO"ore sa famille. M. de Maub reuil J ai attendu je n'ai pas m- que de respect a M. le dauphin |e me uns PP'O he de T dlcyrand j.- ne lui ai pas donne des coups de p:ed de; coups Je poing, tomme on l'a du mais un soulflet. J ai regieilé de ne lui avor pas cracha' au visage car c'est la seule vengeince qu'on doit tirer d'un vieillard. M le président .- Ainsi t avec préméditation que Vous avez commis ce délit. M. de Maubreuil Je ne sais pas ce que c'e». que la préméditation. Lorsque je dis de qu- qu'un que v c'est un coquin c'est parce que je le sais. M. le président: La préméditation est le dessein foimel de frapper. M de Maubreuil.- Pourquoi s'est il mis dans le cas d'être souillete M. le piésident Mais pourquoi avez-vous rhoisi Saint Denis pour attaquer le prince deTalleyrand M. de Maubreuil - Je n'ai paa choisi Saint.Dénia j'ai cherché l'occasion de le rencontrer je nés.vais pas ou je le trouverais. Je suis incapable de <ijre un mensonge Oui j'ai voulu trouver l'occasion d humilier le prince 'i'alleyrand. La suite au numéro proclidin. Al FAIIlf-S DBLAGHECE. Une lettre du colonel bavarois de Heidegger an nonce que le capitaine H .sni g-t qui commande le ha teau a vapeur la Persévérance a détruit deux goe le.tes turques attaqué Cm-) cano me et ru>né le lort de Tehesme du cô;e,de la.ruer et b ùré 4° pefi's bâ timens turcs qui se trouvaient il ...s le pon. M. de Heidegger en annonç ai la nouvelle le. tative du co looel Boubaké pour former un corps léger de P.li cares ajoute qu'il va paitir avec lui et examiner pur ats yeu* la manière de faire la guerre des G -es qui Be lui parait pas si défectueuse que quelques es pu- remeni mecaoiques se sont plus le répéter. M. de Heid ggei fait le plus grand éloge du docteur Bai.y. M. Eynsrd a reçu de M Gosse une ieitre de Zan'e du il janvitr. Les mortiagnes de la M orée sont elle- nien. couvertes de neige, que le service des piétons étab i par I ordre et les sotas du .M. iSy aard y est to talement interrompu. Une leure deCorfou. du ao janvier annonce que le siège d'Aibènes est'définitivement levé ei que le général Karaïskaki se poite sur M ssolongh'i où doit se rendre en même temps la Hotte grecque pour l'atta quer par terre et par mer. Le comité grec de Lvoo a reçu de M. Eynard lei nouvelles suivantes de la Grèie Depuis la victoire de Karaïskaki, trois mille Turci ont ele de nouveau atl-eques par ce général Valizza p'ès de la fameuse grotte il Ulysse-; ils ont été entière ment défaits on leur a lue plus de mille boni nés pris un convoi considérable et mille chevaux. Le <orps cl<- Karaïskaki est actuellement compose de huit raille hommes. n Le colonel Bourbnki avec les fonds remis par le colonel de Il-idek est uaili le au décembre de jVa- poli a la tête de huit cents hommes qui vont rejoindre K.sraï.knki. Le co'onel Fabvier qui s'est franchement ré concilie avec le gouveineruemoccupe la ciiadelle d'Athènes; il a aussi remporté une victoire sur les en-r remis. Des lettres de Calamos du a5 janvier m'an noncent qiiedans la Grèce occidentale les Grecs continuent- d'obtenir des succès. lisse préparent at taquer M- so'ongbi. Déjà les Turcs ont été forcés d a- bc-ionner Anatoli on. bie-ruô m'écrivent le comtje Rom» et MM. Dra- g.<na ei S', bun de Zante Ibrah m pat ha n'aura p'us assez de forces pour nen entreprendre de mus cô s'< pr -nee ren d: et la Gi e si malheureuse va soitir e (in de son elat d'angoisse et retn-ltre de ses cendres Uu» au.re lettre écrite par M. Zavos conneni ce qui suit .- Due hsrque venant de Dragomestre apporte la no iv- de cpie les ennemis ont décidément ex seue Axa ient on et se sont retires a Missolocghi. D-ux navi res iuics ont ete pr.s jirès de Fatras. Une division na- va e grecqu de J5 voiles, et le bateau vapeur la t'ersévrranceéia.eni a KnUacolas La lett e finit ainsi Une canonade se lait entendre du r o de Missoionghi ce qui semblerait indiquer que les nôtres al.aquem celte Ville. PAÏS-BâS. Brux< liés 16 février. On mande de biiec-i ness en date du a1 février Le vais-eau 'le b. '.1 le roi des Pays Bis, le H ater luo d ^4 cano-.s a ele ..jnene dans ce port accompagné de p usieuis l eaux pè heurs hollandais. The cnurier du ai. Le Waterloo avait dépassé dimanche dernier 18 leïexei, dont l'enlree était alors encombrée Je glace. Les pièces de ao francs ont été ôlees la bourse d'Ams'erdaru du aa a 9 11. 5 55 cents. Du 17. L- Cal/iIique annonce que S. M. dans sa constante sollicitude pour le bien de ses suiels, a ordonne que les pétitions qui lui ont été adressées 1 elaiivemeiii a la feemeture de certaines chapelles ou égl-se» lussent mûrement examinées p ,r»les autorités compétente S. A. C. Iç prince archevêque de Marines, a par décision du 8 de ce mois, établi un examen annuel pai* e< ru pour les jeunes pi è!res appelle» la direction d a m g dans son diocèse; c'est un espèce de concours qui cu'dera S. A. dans le choix des sujets auxquels elle confiera le soiu des paroises. Le m .udement de S. A. C. pour le carême qui s'ouvie demain contient les mêmes dispositions quo celui de l'anur-a dernière. Du u8. Un arrêié royal du 15 publié hier déclaré les villes de Bruxelles Louvain et Gand t lieux de déchargement pour le sel importé par mer.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 3