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mu'lioiireux Je perdre la vie acluel'emeutj 1! y a 10
ans ie valais quelque chose.
Le souffleté ne vient p«s se plaindre, il crie son
secours cl dit que l'on m !te cet homme Bit être.
J'ai lait distribuer un livra sur celle aff .ire I oudres,
Vienne Ai* elle est connue; les puissantes que
je provoque ne repondent fus elles oui tepondu se-
crètemeut.'En voilà le résulta'.
Quant (était Londres, I empereur de Russie de
nt t lait a loid Càstlereagh un ahen bill tonne moi
le tord quoique faible, a eu le courHge de repondro
qu'on ne pouvait m'attaqner que devanl les tnbunaus
Le roi de Prusse autan donné un million pour que
mon livre ne paiû pas.
C'est M. d'Osinood qu'on doit la publication de ee
livre. Joie ptevins il me dit qu'il s'en moquait Vous
serez chasse, lui tépond's je. Lu tffet, deux mois après,
il lut renvoyé.
M. Angles a été le plus féroce de mes persécutants.
Voilà ie que j'avais a dire.
Pendant que le tribunal est dans la ebambre du on-
seil une conversation s'elablil enire lt- prêter u et
plusieurs personne'.
(A'ous ar ns donné la condamnation dan* noire
numéro précédente
M. de M tubrcul a e< ou e ce j il g meut 'ans p'oferer
ne parole. Avant de rentrer a la tomieigi i ie il a
decluté qu'il tuitrjetail appel.
PAYS-BAS.
Prux lies (j mars.
S. M par arrête du 11 février dernier, a maintenu
Dn co 11 t de juridiction iri;er|ete par le gouverneur
ad intérim du liiabanl mendions I, dans une Il tire
pendante au tribunal de prtnitère tus'anceà b uxelies
entre les héritiers de feu l'évêque de Bioglie deman
deuts et le gouvernement leiujan e a i e que ce utr
nier soi: condamne ;.ayer aux lemandeurs ce qui
resmil dû au uetunl du chef n'arrérages d appoinicmens
en sa qualité de ci-devant cvêqtte île G oiJ.
,\1M. les élèves du séminaire d. i ournay qui
étaient revenus de Mafines, sans avoir reçu le» saints
ordres, y sont retournes depuis dix jours sur l'invita
tion du prince archevéque ce tte orduia>ion vient d'a
voir lien Malices dire que S. A C. le prince-ar-
thevêque lésa detrayei (tour leui voyage ci le séjour
q i ils ont du faire Malines ce n esl pr-sque m n
ajouier ce que cou-savons déjà du catacièfe i cble
et g uiereux qui dislingue de prélat.
Un 7. Le Courrier des Coyi Pas annonce que
le commencement des travaux du canal de Cflarleioy
est très prochain. L'ingénieur, les entrepreneurs «ri >i
que plusieurs employés viennent de prendre l.nn cife
s Senelfe. La percee souterraine en est p ox rn te et
c'est le point principal du d :\iernent Lundi dernier
la cotumission uouimee par ie gouvei nement s y est
reume.
[la été reçu Amsterdam des gazettes de Bata
via ju qu'au t»8 octobre. Nos troupes continuaient
d'avoir .{faire a un ennemi nombr tu qu elles repous
saient cependant darts toutes les reuc entres notam
ment le 5 octobi e où lesa-rôtres rés unctmb.it
opiniâtre ont pris et brûlé !a dessa Djatiuom, garnie
d artillerie d'autres dessas occupées par les mutins
ont été détruites sur dillércns points. Le i 5 du même
mois il y a eu en rase campagne un vigouieu* enga
gement avec Diepo-Negoro a la tête de 4" o hom
mes I ennemi se défendit en furieux et vit bieniôt
rompre sa première iige la qu'elle en succéda une
presque toute composée de biaintncs, qui tein t de
renouveler le combat, mais sans succès. Il pareil que
depuis lois Diepo Negora s't.i retiré vers le uioot
Me'rapje pour y prendre poste dans une position
presqu inaccessible; mais on pensait qu'il seiau obligé
de se reiirer faute de vivres.
Outre le service sèié des colonnes mobiles on loue
particulièrement la conduite des olfi ieis ausquel est
confiée la defeuse. de riifferens forts tels que Klaneii,
l'empel, etc. Le commandant du premier, dans une
sortie faite avec intrépiditéa soumis presque tou'e I
contrée tles environs, après quoi il est renirt «u foi
avec Ses forces considérablement g'ossieî-
A D|ôt| karla tout était tranquile. Dans les diffé
rentes opérations militaires plusieurs tonimongongj
ont ete tuP3Uu chef des rebelles le pangeraug Man-
k'.ng De iingrat a demandé se soumettre au guuver-
vetn-nt et au -ultan de Djocjokarta.
Vei s le milieu du mè ne moi» il y eu dans les mon
tagnes de l'iaauw rie lo«ls trembiemens de terre. La
i i du même omis la tnon ag ,e de R.ikoewodjo s'est
tendue, ti y a eu au si des explosions dans les monts
Kloet. Les pain, ulari és des ces phénomènes u étaient
pas unnues a Batavia.
Le iapport u général major Van Geen sur les dif.
lé entes op Ta ions militaires, defiuis le u.f jusqu'au
ii octobre coun iei.J piès di cinq rolor.n s in fo io.
Le »8 o ofne es» arrive a B davia de Cr i e'erst
capitaine i). Boes Lutjens venant'd'Amsterdam-vec
118 m'a. ini.u-s colqmaux deux sous offeiers deux
t. ru n s ci un euf iiil.
On ipprei d par la voie d'Angleterre l'ald g»ante
i orvcll q c le i.aviie du Pays Bas Cionw Jnhanna
vi tant de 8oi teaux et destiné pour Amsierdani
fui naufrage mercredi dernier piè» da Newnaven.
la' q '.page a été sauve et on esperallen faite au aut da
la cargaison.
On cent de Deal février .- Le navire la Maria
allant Je Maiennes a Anvers, s'est (elé hier après midi
sut le banc tic Goodwin et depuis il s'est buse. L'a-
quqîage est sauve.
AFFAIRES DE LA GRECE.
Poit-criptuni de la lettre te M. Eynard, du 2!) fé
vrier rierniet automne central philbelteoique da
Bruxelles.
PlusJeu s lettre- m- parlent des affaires d'Hyda t
quelles laconteni ditl-leniment .- voici U version la
plus probable Q e-iques gens clHyira n'ayant pas da
quoi nounir Ieu s l .tni les demaridèieut des secours
aux pr-iuais de I i e qui 11e pirient ou ne voulurent en
donner. I .i piraie nomme Zaeca pit fi a lie e nié-
contentement pour eng ger quelque ma>eiots Lira
de nouveau la ou. se. Effectivement ils sortirent da
non avec q n-iq es bm ks ei prirent deux navires »a-
g'ais. Le ommodore ILmlion en demanda inutile-
nieni Is r-siuution. l.e peupie d'Hydra mene par- Cri-
lod-rn homme lm hu ent e mauvais S'qet, Zacca
relus» vie i ire livrer les prises Le 1 oinuioouie Hamiltoti
envoya alors plusieurs barques qui tirèrent sur les mu
tins. Il y eu mt quelques lues Culodemo fui bleisd -
Or pris par le- -nglais
Les mutins vuu ure.nl alors se porter vers les batte
ries du poit pour tuer sur les anglais, mais le fils da
Culodemo jeune homme de courage, se présenti devant
des b iitenes et empêcha qu'on ne se poi cet e*. ès.
Les primats craignant an mouvement populaire (.ordre
eux lurent rejoindre la flotte anglaise.
Aptès quelques jours de désordre a Hydrs les mu
tins remirent les bâ miens anglais pritet on mit eu
prison les pira;es, cause du désoidre. Les primats don=>
nèren quelqu'argenl pour fournir des vivres et tout
lût appaiss. Ca dçsordrs a eu lien L H t du mois