LE PROPAGATEUR, JOURNAL DTPRES, SAMEDI, 19 Mai, 1827. 9."* Année POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE, ACTES DU GOUVERNEMENT AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS. Il.ES IONIENNES. N.* 907- DF. LA PROVINCE DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. OUFERTURE DES PORTES DE LA VILLE. I FERMETURE DES PORTES DE LA FILLE. L)u .5 ou Ï.1 ra»i i 3 heures et demi. I i'u 15 au 3.) mat, 9 heures Le pris de T abonnement est de R fl .fins 5 i/i cents par aDQée, 4 florins îo cents pour 6 mois, a florins 36 cents pmu 3 mois Le pris des insertions dons ce Joaruai, est de 7 171 cents par ligneet celles au-dessous de 7 ligues st paient 47 1,3 cea Oo sNboune cher l'éditeur et a tons les bureaux des postes ans lettres du royaume P tlÉ M E RIDE S. Le 17 mai ili5 les Anglais se soulèvent contre leur Roi Jean Sans Terre et l as siègent dans la tour de Londres- Ils voulaient l'obliger signer celle grande charte qui est regardée comme le fondent! nt de /a liber té anglaise i Jean la signa le i5 Juin sui vant, 1606 detronement du faux Démélrius usurpateur du trône de Russie. Le 18 niai i 53Henri 11, Roi d'sfn- gU terre épouse Eieonore de Guyenne ré pudiée par Louis H IL Roi de France Cette princesse lui apporta en dot le Poitou et la Guyenne mais ce mariage n'en /ut pas plus heureux Trois princesnés de cette union conspirèrent avec leur mere Eléonore contre leur père La conspiration ayant été découverte la Reine fut mise en prison eu elle demeura 18 ans Les jeunes prin ces toujours armés contre leur père., le fi rent enfin périr. Le 19 mai iS36, Henri FlllRoi dAn gleterre fait décapiter Anne de Rou/en sa seconde femmeL amour L avait placée sur le trône Vamour l'en fit décendre. Parmi sis fi les il honneurJeanne de Seymour frappa les yeux de Henri par sa beauté. 1 egowe de la Reine il veut mettre cette fille sa place il la fait condamneravec son /'fie, a perdre la tète pour crime non avéré d inceste et le lendemain de l'exé cution il épousa Jeanne de Seymour qui mourut peu de temps après. Le xo mai 1217bataille de Lincoln qui été un prince français la couronne d'An g! e terre. Les Anglais s'étant révoltés contre Jean-Sans-Terre leur souverainavaient appelé au trône Louisfils de Philippe- Auguste Roi de France Mais la mort du Roi Jean ayant éteint leur ressentimentils se tournent aussitôt du côté de son fils Henri 111 Louis est défait la bataille de Lincoln et perd sans retour la couronne d'single terre. Six ans après il monta sur le trône de France. Corjou 10 mars. On «e communique ici depuis plusieurs jours des copies de l« lettre suivante qu'on regarde comme au thentique et qui aurait été adiessée p«r M. S'raiford CaMoing aux membres du cornue de l'assemblée natio- nale a E-ine. Les copies 'Ont en grec. Au comité de f assemblée nationale Fçme. Pera 8 levriet 1817. Messieurs, vous m'avez fut parvenir en mai de l'anoee précédente une dépêche sigme du près dent et de cent dit membres de l'assemblee d'Epidauie qui s'intitulaient les légitimés fondés de pouvoir de la nation g e. que reunis aux rhefs militaires et au clergé dans laquelle on demandait la médiation de mon gouverne» m. ni afin de mettre un teime la guerre actuelle et Ion m'autorisait négocier et tiaiter pour obtenir la paix désirée. O-t m'annonçait en même temps que votre commis» sion était thargee de se mettre en rapport avec moi, sûn de delibeier sur les moyens de p.rvenir cette partûca'ion et de rédiger en .renvoi vos résolutions pour oui, le traité que m s efforts tendent a conclure. J'ai eu depuis le plaisir de vous annoncer que mon gouvernement a accède a vos propositions ei m'a te* commande de piésemer au divan tes points fondamen* taux de l'accord que vous avez remt- en mes mains. Je vous fis connaître en mè-ne temps la raison qui m'obligesit pour le moment a litUrcr l'exécution de ces ordres, le puis vous annooC'r maintenant que les difficultés précédemment exis'antes étant apnlanies l'oflre de médiation de 00 gojverneni 'nt bas e sur vos demandes, et appuyée pur d'autres puissances al liées de mon souverain va éire incess mtu-ui com muniquée au divan. Vous n'attendr s pas de mot que je garantisse l'effet de cette démarché et vous o'oublietez pas non plus les égards dont mon caractè'e e! les rappo t existant auxteimi des traites entre ono gouvernement et Porte, 111e font un devoir Ju qti'à ce que je putes messieurs, vous faire tonnai e ie résultat de nos ou vertures je compte sur vos nobles sentirnens et sur la G délité avec laquelle vous accomplirez vos promes ses. condition essentielle de la médiation que vous avez desiren. J ai l'honneur de reuouveller l'assuiance du ma considération peisoonrlle Stratforo CirtNIA» On remarque que sir Ivrattoro Lanntng parle dons cette note des.égards qn il faut observer Lins es n> ,0* ciaiioai entre l'Aogleicé.e et la Porteet l'oo en parait

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 1