ValaCHIE
bucharest avril.
i ITALIE.
craindre que le» démarches de ce diplomate ponr la
Cause de Grec» n'aieni pas de gtandsresullais Mais le
plu» grand nombre lies Gre:s regarde le» propositions
fanes par leur gouvernement ao œintslie anglais,
comuae hutBiliarues pour eux, en ce quelles livrent
de nouveau la domination turque une grande partie
du comme 1 grec et q"e seulement une pente partie,
la Vlo.ee et le# îles, re<ouveraii une liberté impaiiaiie
de» conditions peu lionO'ables.
fcUîsblE.
Pètt-rsbouig i mai.
Correspondance particulière.
Un courtier a apporte de Coustan mople la nouvel
le ijue le divau a ie|ete toutes les p oposi'icns que
DOire ambassadeur avait laites au sujet de la pa. ifica
lion de la Gièce sur la base du protocole des eoulé-
len, es Signe par la Russie et l!Angleterre le avril
»8s6, ei auquel la cour 'le France a ensuiie aicede.
1)> pu'sla réception de ces dépêches le co .seil d'eiat
l'es; réuni dilterentes reprises el l'on apprend que
i't mpereur a fait pu venir au* ministres étrangers une
deilataiion dans laquelle S M exprime la résolu/ton
de rappeler notre ambassadeur près de la Pone M
le marquis de Ribcaupierre si le gouvei ..ement turc
n'accepte pas sur le r h <mples proposit uns de la
Russie. Simultanément avec dite declaraiion I ordre
aurait été e..voye la première armee s ationnee sur
les ft ou lères rte la Bessarabie d s'apu ocliei de ce# b on
tiens. 1 ou# 1rs amoatsofieurs ont,p#i des i ourriei»
informe leurs cabinets de cette résolution de noue
«uguste sous e* ain
A cause de la guerre actuelle avecl» Perse S M.
l'empereur a juge nécessaire de creer une intendance
générale du co-ps d'atmee detacbe du Caucase et a
Somme a ce poste M. Jo'.kow ky. (G- U.)
Un courrier russe qui vient Je passer par cette
ville aurait apporte ce qu'on dit, la oopie d'où hrltl-
heiif ordonnance du sudan portant que par sui
te du iratte d âkkeimau to il se au remis dans la Mol
da vie et la Valachu sur l'ancien pied, toniormetui-ul
Aux traites amer.rurs. On sait que |uvqu'ict rien n'avait,
•te gb ngr. dans les principautés depuis la conclusion
de la touveuuou dakkcruian.
Gazette universelle
Ti teste 3 mat.
Des lettres de Cousiantinople du to avril contien
nent ce qui suii
U'apie* des avis de Smyrr.e lord Cocbrane se
trouvait encore Egioe et hait de s'arranger avec
les Hydriotes qui ne p#ra.ss*ien' pas disposes a parla
ger a ver un ei ranger U gioue qu'ils ont acquise. Eu
Attendant la floiitle g' e. que bloque plusieurs lies ce
qu> a été annonce pat un décret du gouvernement.
Des conférences i equente# ont lieu entre I internonce
dAuiii.be e' I ambassadeur fiançais; le premier reçut
•Vant hier un cou.ier extraordinaire et fii parut hier
ll.e estafette pout Vienne. Depuis l'arrivee de lord
Coi hrane la Porte est en. o.e plus irrité? contre l'am
bassad ur a'filais. On pie.end savoir que les Grèce
Veulent aussi bloqu r Alexandrie, et eq defeqdre iVn-
Itee et la soute aux navires européens. Le teste de la
fl ri e ur que dont la première dtvis'on euldtjà sorti
comme on sait; qu ttera te port dans 3 4 jours, afin
déi.a .orne des Uardannellesavant la fêie du
ba,.am On prevo.t de» evenemen» iœpouan» pen
dant celle campagne.»
ANGLETERRE.
Londres 11 mai.
On lit dans ie Times un article assex remarquable
sur les affaires du Portugal. D'aboidil dit que |t
Portugal s'écarte de l'esprit du traité qui a denge j*
conJuitede l'Angletetre lorsque son allie lui demanda
du secours. Elle n'y a pas envoyé lord William Clinton
et ses troupes pour se battre avec ou pour des embres. A
en juger par les faits il semblent t que le gouverne
ment britannique aurait conseille son allie d'encoura
ger la révolté en laissant tous les chefs de l'insurrection
•an» punition de composer un cabinet don; le membr»
le p'u# distingué serait le partisan de don Miguel, l'en,
nemi juré de la charte et de l'Angleterre de repousser'
et de traiter avec mépris ious les malheureux exilés
espagnols qui représentaient la cause consiitu.iom.elje
de l'Espagne.
E' pourquoi tout cela? parce q'une politique faible
et perfide laisse a D. Miguel l'espoir de devenir regent
du 'oyauroe.
Personne ne peut nier que l'esprit constiiutioneel en
Espagne ne soit le txuilleur moyen que M. Onnii|
puisse employer s'il médité sTieusimem de maiuiema
en Portugal ses nouvelles institutions et I't. fluence da
l'Angleterre'
Si nous encourageons le parti constitutionnel en Es*
pagne, nous faisons de la d. fense do Po'Ugal uua
eft ire Bien facile sinon, nous sai t fin. btrdiriand
l'arme la plus (•fficaceet même Is seule rmc par la q. al
le nous puissions dejouer ses complots. Un agit atuaî,
di'-on. pour tonserver la paix plus durah e ou la guer
re moins certaine par un système de conc ss.on Fer
dinand restera t-il en paix avec la constitution du Por-
gal. Peut-il le faire Non.
Des correspondances particulières qui dépeignent
aussi le minisièie portugais comme secrètement oppo
sé s l'»mpeieur e. la consiitotioi. ne sont a#d'accord
sur la maladie de la princesse tegentr b. A K. a été
d«riger<-u*emen malade, dit une lettre, On croit quVIa
a éie empoisonnée e quoique le bulieun «ni.o çât
quelle se portait mieux on disait qu'elle avait cessé
de vivre.
Le journal le portugaisdu a mai dit en propres
termes q re les bruits qu'on fait courir ont excite la
plus vive indignation conire le ministère qui ne sait
ni lire dans le passe ni prévoir l'avenir; que le p< upla
dans sa |USle indignation croit a une trahison pr<mé-
diiee. une connivence emmielle de certains indivi
dus influens mais enfin qu la providence a rappelé
le genetal Saldanha au ministère e: qu il faut espe.ef
qu .1 prendra en Portugal Unième altitude q e AI.
Carintng a prise en Angleterre que par ce tnoyeq il
sauvera la couronne et la nation.
f Globe and Traveller.
FRANCE.
Parts, i3 mai.
Des cris bas Vd/èle bas les Suisses s'e'tant
(ait enieodre dans la sotree du 18 av.il rue de Rivoli
et. face de l'hôtel du ininsière des finances, ta garde
du poste se mit sous les armes et voulut arrê er plu
sieurs individus qui faisaieot partie d'un rassemblement
assex nombreux une résistance assez vive fui oppo
sée di s piertes fuient lancées contre la garde enfin
ces individus furent arrêtés dans cette scène, e: ces faits
motivèrent contre eux une instruction. Elle viehl de
6e terminer par le renvoi de Noë'. I Jacques, et d un
nomme Glaise, devant la police coiteei'onnelle corn-
me pievenus de résistance avec voies de fait a 1» loice
publique d'ouirages envers ses agens el de t»p#se
injurieux el nocturneLa sixième chambre procon-
cera sur celte «flaire veudredt prochain. L»»