3 «mq antres prétenus or.t été renvoyé'» devant la sim ple police souv la prévention de tapage in;u«ieux et nocturne, troublant la tranquillité des b.ibtlatis. Le Joureialdu débats contient un article etenfu relativement a la proposition faite de mettre et) accu- aatton le ministère. Après une longue enumération de gntf» il termine ainsi.* Ministres du roi de Fiance, nous vous accusons d'un complot de trois années contre la nécessaire union du roi et de la Franie. Vous ave» immole le premier de nos intérêts raffermissement «le la restauration, I» tentative d'éterniser votre puissance au moyen «le discor des impies et subversives vota avtz tout fait pour trou bler la sécurité augusie de votie mai ie en calomniant près de loi f.i foi Je ses peuples pour desafieenotinpr ses peuples en sub>ittuaut vos passion» ses vertus, tu» violences ses b'etu ots Au joui où'noo» sommes la guerre civile gronderait «1 un fioul du royaume l'autre si la France n'avait été plus ssge plus pa tiente plus habile plus ièle que vous.Vous êtes Coupables de trahison Le Constitutionnel et quelques autres journaux contiennent des aiticies non moins vtbernent sur le Oiéoie suiet. Une médaillé d'or a été décernée M. Lucas avo«"at a ta rout royale de Fans par le juty chargé de Couronner le meilleur ouvrage eu faveur do la suppres sion de la peine de mort la devise do la médaillé est la même que celle de la republique do Genève post tenebias lux. M. Eyoard est arrivé Paris. M. Cainai ho ministre dis E'ats-Uni» du V ex issue et parti de Paiis pour Londres. On écrit le T (fus (Géorgie}, i|ue plusieurs colons a'Ianir-i.ds qtn habitaient les nouvelles colonies étrangère» formées en Gcotgie par Russie oni ele {a is prisonniers dans la datuiere invasion des Perses et je:ts dans ('esclavages. La population de Tdllis capitale de la Géorgie qui en ib'co eiaii peine de ooo araes s'eiève ac tuellement a 35cuo. y. est ïftJBUSU DU. Le suer Cbeuvet qui était ro té sur les feuilles de la polir e ei <{ui a «ioniie lieu a une funeste méprisé vient détre traduit devait: la cour d'assis s des Mouches du Rhône. Cet individu que lareusatton désignait ■»us le nom de Louis Chauvet et qui a prétendu se nommer.thpno Chauveteiait accusé d'esr rocpieiie» avec des c<tconstant es agrava> tes. Sur la déclaration afin rnaiivfc de jury, a été condamne a 10 années de détention attendu la récidivé 1000 fr. «l'amande et ro arrêts de surveillante de la haute po'ic. Nouvelles de la Péninsule venues de bords de l Adour. D'importantes notes diplomatiques sont arrivées le 3oav«tl aux ministres de France et d'Angleterre. Il résulté de ces notes qu'en vertu d un accord con clu entre la Russie I» P*usse, l'Autriche, ta France et l'Angleterre, c< s deux dernières puissances sont laissées les arbitres de la péninsule j et même danx le cas où des diiferens surviendraient emre la France et l'Angleterre les trois premières puissances les laisse raient se débaitre et se sont engagées ne soutenir ni l'Espagne ne le Poxugal et approuver et reconnaî tre tout co que la France et l'Angleterre auront fait d'arco'd. (Extrait du Constitutionnel.) Le général Monet qui commun le l'avant-gaide d'observation rencontra le 19 du mois dernier le gé néral anglais sir William Lamb qui en visitant ses lignes s'-tail un peu'avancé sur le terri tore espagnol. Le général Monei l'invita poliment a rentrer dans sm limites ce quoi le général anglais consen'it aussi ttê» polimenten disaot qu'il ignorait se (router sur les terres d'E'psgoe,* mais le gsnérsl en chef Sarsfieltï informe de e qui s'était passe et considérant le pied anglais mis su*- son terrain comme une provocation, ordonna nu*si ôt au gênerai Monet d entrer en Portu gal avec 15 a 1800 hommes et quelques piè. es de ca non. Le général Monet, obéit quo qu'à ontre-coeur. Il fut reçu par le général Lamb qui ie chargea avec deux reg mens de cavalerie lui tua 17 hommes, lui en blessa 44 'ul Lu 5o prisonniers et le força ren trer en Espagne. Le lendemain de celte petite action il s'en passait une autre peu près semblable en Galice entre 'l'uy et Sd' atierra er duns laquelle les portugais firent 27 prisonniers qu'ils emmenèrent en Portugal, (idem.) Pays bas. Bruxelles 1 4 mai. Les états dépotés de la Flambe occidentale, par résolution du 3o décembre dernier ont assigne sur les tonds provinciaux ou subside de 2.200 fi. pour rontribuer au frais de construction d'une nouvelle eglise dans la commune de Comenet 2000 fi. pour la resiaurnlion de l'eglise de Rousbrugge com mune de Haeringhe. S. M ptrarié édu 21 avril dernier a accordé une somme de 4ooo florins sur le trésor public, ebacuuo de ces communes pour le même objet. Recueil de famille dédia madame la comtesse de Segurpar M le comte S»gur, de l'acadernie française, pair de Fiance vol. in 8.® Bi u» elle», chez fienaiidière I b-aire n o itagrie de la cour. Les opuscules qui comporem te volume reniieut pour la plupart dans ce qu on appelle poésie de. so ciété. A dr faut de ces p.uisees énergiques et de ce» grandes images que l'aureur ne pouvait admettre sans confondre tout les genres on y trouve de In facilite «le l'esprit de la gà e et ce charme insepa- rab'e de son talent. Les hantons partit uhèremem me paraissent très-agreahle-. On se rappelle que M. de S gur était cité parmi les ingénieux convives des dîner du vaudeville. Machaumiereéloga et portrait A tirs ami., pour toi e'c. son des raoreaaux Charmant, /o dois me borner transcrire ici la plainte et demanda endivorse plaisanterie du meilleur ton elle est dv 1812 Au Buvons tire-larigot Ma femme, quand j« l'é:>ou.sai, Nous elious du même âge, Sur ce te foi je contractai Le Lceu i qui doùs engage» (dais tout est change Puisqu'à présent j'ai Cent marques de vieillesse, Taudis que Je Temps Te laisse au Priu'.eras El t'embellit saus -c sse Ce dieu qui sans pitié m'atteint T'epaigur »un p a sage; 11 repaud ruses sur leu teint, Kidet» sut mou visage Nos aus Lieu Comptes Fout des deux côtes Je cioi9, plu» de cinquante Ou compte tu ri 1 Puisqu tout Farij» Ne l'en douue que trenfe» A tes dépens tu doistrop voir Combien ia fraîcheur brille Chacun me dit! Faites sseoif Madame votre fide i..'est manquer tle foi Et d égard pour moi. Il faut qo'on te puui*!»ev Loisque je vieillis, Toi lu rajeunis J'en ûcuiaude justice* Je vais don** chez le magistrat Ta conduite m y force Puisque u romps noire contrat J\.i recours au divorce. Je l'accuserai Je le convaincrai f Par tes ruses fr-raelle«. D'avoir tour* s-mur Du t?mps de l'Amour Fixé coupé les ailes. AFFICHES, ANNONCES ET AVIS DIVERS. BEK.ENTM AMNG. Schipper Joseph LISNIEYDEN hecft d'eor ae* de heeren konpheden kendbaer le markenals dat hy ider wc«k met eeo «chip zal vertrrkken van Gend naar Yperen en Vice Versa, by tetommvn- deect zig aen de gonre die goederen souden vervoeren hrbben op g« melde plaetsenals 00k voor Nteupotl, D'.xmude Popetmge etc roen xal zig gelieven te adresseren toi Gend by den sihips mi»kelve Gerriets en tôt Yperen by d'beei Pieler Uecaaertyyouueade op du Kaeye aldaer. 3

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 3