En donnant i S M. le eenseil J'aJresssr atl Juc de Wellington une lettre p-reille les ministres se sont depoui les de 'oui sentittii n> persoonelvaitendu qu' Is pensent que la nomination de S. G, serait ce q rt conviendrait le plus su bien de l'armée et •u service pubuc. Nous voyons avec peine que I oflre n'a pas ele arcep.ee et que le noble duc n'a pas cru de voir su;vre l'exemple de S 31R le leu duc d Y orck q i a conserve le cutnm*ndrmeui en chef scus diveis ministres et en a r-mpli les fonctions importantes •ans se U.ssvr influent er par s~» opinions politiques. FRANCE. Paru a juin. S. M. ordonné la mise en construction dans les arsenaux de la nouvelle artillerie de campagne dont l'adoption peut fine regardée comme une des amélio rations les plus importantes qui a>enl ete faites depuis long temps dans le système générai du matériel de Celte aime. Ou uiande de ValetirtennesLes pluies près que continuelles qui tombent depuis de deux mois dans nos environs menacent d «von les suites les plus desasttetises pour l'aginultute et le commerce. Plu sieurs villages sont presque entièf ement inondes et l'on n'y peut aborder qu'avec des barques. Le refu- du divan d'accepter une médiation dont le résulta serait la paeifiraiion de la Grèce et en in voquant la legu m le i le dion d< s gens le refus de reionnailte aux puissance» de t Europe le droit I in tervenir dans ses propres aflaites -.tonnent lieu a quel ques r i flexion* qu'on lit avec intérêt dans le Journal d* s débats. Le droit des gens invoqué par la Porte, dit il «si une des singularités de noire époque. Il y donc- en bien ces lau'rs r ombr ses en Europe pour que le divan cherche s> s au otius dans la con ite tus cabi- Dnts ihietiens! M dimOUlh s'appuysrn i; m Srinla- Ai ance est une grande I-Çjii. H reusetueiti que 1 Angleterre et la Ku.sie ne paraissent pas avoir ieuu t la qmauon a un échange de no s. Il qu qu« fins 'e puis -Ù- que le§ théorie- Ce Sont le- (ails. Des bO'.f eaux rte sont pas ies mai» lies légitimes. Le iincier e es musulmans a altranchV la G'e Elle a paytrop t her le droit J essayer d Ire libre, pour qu'on o-e lui refuser celui de le devenir et de le rester. On ne Vt U1 ni a P^:e «bourg ni Londres que le e ang commue touler en Giece, Baptisée du »ang des martyrs et -le ses héros eue a repus so i om il Dt f.ul plus qu'a Tacher I aveu de» ses oppress-ur». S»us douie ce n'est pas la c.aime de von la bar barie finir par dominer la civilisation qui a déterminé la Russie et I Angleterre a paner au divan un langtgo énergique. Le r ommerce de l'A - hipel et de ia Medi termnee d une par j de l'autre une syuipa hie se crèir pour dea co .-eligio. nairesune ai m-e nom b'ruse sur la irouiière, elonnee d anendre depuis si longit mp» le but dans lequel elle fut rt unie j enfin Un début de règne orageux .et que contribua peui êire pa 6ef l'espoir aie s fonderie prendre part une lui e genere- se votia plus qu i n'en faut pour expli- quet I s.il udt revente de deux cabinets qui croient qo en poli ique il y a un terme a la patience. M sis qui se chargera rie pisl fier l'imlolenre du rô rt Quoi a peine a la suite de deux puissances qui rega.oent le moment d'agi» comme arrive Q te sommes cous donc devenu» en Europe yt 1 ouïe i e oquetiLe de M. de L)r m s ne parviendra jamais a nous démontrer que node pat: aux négocia- liru-s de Cons au iiiople son celle qui co vient la digo e d u e grand n-t ori 11 y a une «ruine voix jmbuque qui ne itompe pas» Let choses n'en marchent pas moint Constan- tinoole vis un bui que rendaient la fois nevitable, et l'opiniâtre entêtement des Turcs et l'heroïque ré sistante des Greis. Le traité d'Atkermann trêve da quelques mois n'aura servi qu'à prol wger les massa» ci es. A lui seul il renfermait bien des causes de rup ture. A peine se delend-l-on de croire que celte ar riéré peosee n'ait présidé la rédaction de plusieurs de ses articles mais il ne s'agit plus aujour d'hui de que ques fortresses du Caucase. Il y a eu ure média tion offerte avec menace La G'è'-e au su l'attendre et la porte la refuse. On ne traitera peut-êue plus qui sur le Danube. AVFAIHES DE LA GRECE. Les nouvelles continuent n'être point positives sut la souatiou d'Athènes des lettres de Napoli de Ra- manie du 27 avril disent q ne les Turcs avaient be aucoup ra emi le siege de I Acropolis, ei que le| communicaiioua des G<eis avec celle plat e n'eiaient pa» tout fait interrompues. Il semblait même que Kara'tscaki avait 1 intention de renouveler entièrement U garti'soo de celle forteresse en d'en retirer les ma» lailes et les bouches iou'.l'es. On avait reçu ia nouvelle oifi 'elle de la capture d une belle corvette égyptienne de 24 ancus. Une le'tre de Napoli de Rotnanie du i/j *"il donne l'importât)'? nouvelle qu on va lire.- a Nous venons d'appi endre par un militaire arri ve ce matin du camp, qu'avant hier 22 les Gteca ont attaque avec fureur le camp des assiegcans d'A thènes. Leioiubat a ele extrêmement opiniâ >e et le uia-satre terrible des deux cô-cs mais la vic toire a de nouveau couionneles Greit qui ont t on- 11 mut le seiaskiei a prendre In tuile et abandonner son camp a la discrétion des vainqueurs. Miite ai il» leios, tous marins des fies, la majeure partie Hy- di O'esSOU» le comvua'ideuient de dix Capitaines, avaient ete choisis par lord Cucbrane pour cette ei- pedl.on. fiel amiral avait déclaré au général Kai afs- knki qu il n'entreprendrait rien avant qu'Athènes ne lui délivrée et Lors du tout dangerLui même et le générai C'iurcb étaient arrives le 20 au camp de Ka* 1.1 k kt, et, en dirigeant ies attaques, avaient pm jusqu a i'euihoiistasme le courage de» Gteca. Une grande pu ne des batteries turques établies a Vaiussi# ont ete emportées Nous ignorons jusqu'à présent les aoties détails, I officier étant paiti précipitamment du camp pour ap porter ici celle grande nou»elle; mais 1 e soir noua attendons un rapport du gouvti nemeui.» D après une lettre de commerce daiee de Ccni» ta 1 1 r ople le 10 mai on y aitendai. la nouvelle da la levee du blo< u* de la citadelle d'Athènes ouïes généraux Rai ï.»k ki Church et Goidon avaient, reurn 10 000 hommes Un assui au que lot d Cochrane devait partir le i5 mat d* Poros pour fenedos afin dy attendre ta floie te que. Après plusieurs réunions du divan la Poiie a dit on fait demander a l'ambassadeur anglais ait Sirat- lord-Uanning si e*lle elaii en guerre avec l'Angleterre ai'enuu que ses troupes doivent battre plutôt avec des Anglais qu avec des Grecs Tout paiait annon. et une oi'se qui doit amener la solution de ia question grecque. PAYS-BAS. Bruxelles t.r juin. S. M., par arrêtes des 19 avril et 2 maidprnierii a accorde douxe communes de la Flandre-orientale pour réparations d églises et de prusbytèies la somma defl i5,(i5o, Aujouid'bui se tiennent, dans tout le rcyscn>S|

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 2