LE PROPAGATEUR, JOURNAL ll'YPRKS, N*. iG rjin> i*?T. f p A NNtfiÇ POLITIQUE, LITTÈUAlUfih, GO I MERCI AL, JUDICIAIRE, DE LA PROVINCE UE L1 FLANUUB OCCIDENTALE. ACTES DlT GOUVERNEMENT AFFICHES. ANNONCES, AMS DIVERS. iJH ad l ~t j'tlu S heure* et 'Jemie. La tri* de r abannemenl «si H« rin» Jt par année, 4 (1 rin» îo cent. p..ur 6 m s. -a florin Î6 cnilt pou. 3 m i, t. prx de» insertion. d»u» e« Jhwnool est -le 7 1/1 cent par ligne, ei c.ll-« HU-.lev.on.. de 7 ligues se ,.aicm t/.ou O'. '.bonne che» l'.dneur, el m..* les bureaux ri'» p..»'*» 1 TURQUIE. il» vb-«- ve quelque met oniente ment parmi le, ti'é- nia. et dans le Oips rie* s.fas ou e udieng. Le bru» a outu que le mobi avait f-ii préserver au »i-lt*n un (otoer île M moi. if une* s qp» te p'i'te lOuiieJont LS.ge en t e qui vient des hefs de la u i a île I té de su) e 01 donnai» que le molli el les ua mas i o nieiasser l que des i hioes du euoe el lui laissassent a iui le io n de gouvetrier létal. Il eat i ni -iqner qu'un «s.-ez grand t omb e de if fies gens tit i mil e en ô-eui aU|oU'U liui dans e» nouvel!, s troupes u vont a l'e« oie de m dr« lue d J laquelle on ei.aetgi e L lai gue f at ise. e i hei de ttue uo!t leuiie I m me arménien a reçu de ses elète, Musulin .us nu b 1 ui L» n:t.|'e guagea (Y t orisitletauon les plus il*, eu:» que rsjs ait obtenus den« loulea les in-mot», s et t de op* q..i ont eu lieu telle epoque .Lut et qu'il lui eut t'e loi répétant a divers s rej :e, h Les siècles de I obstutile sou. passé' le, poejup-s religieux n'éila etoni plus le ulem, }>aiiou pi..t.. .ira sa platr. Des lente le Rornelie ayant boil joins de d*t r»|)| o> et que !«s (ir-rs s, so. pr .seules d, tar.i V t, u aveu b tuent .aorurde M H .slinns p nsiein x au tes navoes qu ils Ui l f il n e de.rer.ie tlgns 4 iviio a qo'uuo rte 1 u bombes f*i sn iet la pr diièse du i i il au qu lis ouf pris ou dr l ui unees «qd lu que mouiller sou» le (..mon de te for qu'il» e V,., pot es en une a inkeii don' ils so tup e.i qu>- o iie» les rouirr unica'i-ins e- lu Ld A»' /a u»r fi tyui COUptta ^OAll lt S MujU UiuLrè At.lf SAMEDI, iVYESlUKE DES POETES DE M E IL! E. EEHMETjHE DES PO HT fi S Oh LA PILLE »)u i au 5 juin 9 heurvs et fit rai ÉP HÉMÉR1 D E S. t'qo l Empereur Frédéric Barberouss étant parti pour la troisième croisade meurt le 10 juin pous'être baigné la veine tout en sueur dans Le Lydnus C'e*l le même fleuve ou Alexandre le Grand pensa per dre la viepour 'y être également jeté tn sueur it juin rrfl, dépari du Roi Lnuis le-Jeune pour la seconde croisade. i6ô la flotte hollandaisecommandé par famiril Tromp remporte une victoire signalée sur la flotte suédoise. I~l* mort du duc de fendante en Espagne II était arrière p lit fi s de Henri jr et fut un des généraux qui soutinrent la gloire et la fortune de la France au piillieu des désastres rie cette longue guerre de la succession d'Espagne. le li Juin Ij3* le maréchal de Bpr urit k est tué d un coup de canon au siège de F h'lis bourg. La mort du Roi de Polo gne, Auguste tt, ayant rallumé la guerre en J7.Î Jentre l Empire et la FranceLe maré chal de Berwick nommé général des trou pes de France en A i le magne alla mettre le siège devant Ph 'hsbourg Un coup de canon termina sa glotte use carrière le 12 Juin j/34. tJflSprise de l.uxen bourg par les Français Cette place contenait àoo bou ches feu. Le i3 Juin t655 le duc (fYorck depuis le Roi Jacques 11 et le prince Robert rem portent une victoire signalée sur la flotte hollandaise qui fut presqu entièrement de - truite. La ptincpale cause de la guerre qui s'était allumée entre t'Ang e terre et la Hol lande était le ressenhn.ent que le R >i Charles 11avait toujours conservé de la conduite que la repub ique hollandaise acaU tenue envers lui du temps de Cromwef. i7i,S, prise de llie de Malte en Egypte% faf le* Français. 1790, l'abbé Seyeys fait aux états— généraux ta motion ae se cnnsliluct en «s- s mulet', active expression que l on chan gea le iy four aavptei la denononuiun d assemblée nation., le. ('on latin pie 10 mai t.* grand seignrui s'est mparr de le inrcwon de feu S id» r fis ellen.li il'-prse pt u fie l> mp» usant se n ou el dont le Ion une esi évaluer 8 ou y oo hour éns iori a millions «le IV. (>it me u<r» o» du» quelque sensation parie qu'elle e1 a» une viola tion du deiiel qui lui itrrfu l'ai-nee dernier.» pu-f aboi ir la canfiiinlioi.. Mais crus qui veulent U ,us. lili i disent d une pari que la fui une d« N I i .IL. ti a'«Ut formée pruqu'en totalité d* dot s Lilé «oBTpî.ie p utô qu'a iui el île l'autre qu il u'asaii que de» t-olU- taux pour heri iers

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 1