qn kta ffend't qoi levs't se fendre dans !s seconde
àe ces villes, a ete io.ce de sai téter dans la première
avec sa suite.
Il été lu diins les ég'ises erer-quo un ordre q .1 près
ctit «os I mme» de teue natio-i de ne point paraître
dans les tues sans voile de ne pas porter de costume»
contraires a la décence, ni de ihaussure de la couleur
jaune et qui leur défend en ou'ie de preadre du sor
bier- dans les maisons arménienne*.
0 répand le b oïl que les Russes marchent en for
ce sur la vi.le de Tehéiaii et que le» Persan* ce tien»
ri'm nulle part rna's «elle nouvelle est trop vague,
e la source m est tiop obscuie pour qu'il soit prudent
*l'v ajouter foi.
L'itiusab aga a fait a's»n.b'er auionrd'hui tous les
tn^rr hands de mousselines de la capitale il a tn'S son
eut I) l -ur ieurs marchandises et leur a signifie que
le droit d'un para par piastre ou de 2 ijx pour®|#,
serait pet eu désormais sur toutes les étoffes qui se
raient vendues dan» Coi sianlinople.
1 es< égalern- n question de «tonner ours plu't utri
auiti s m «uts fisca es jugpe* nécessaires pour subve
nir au» Irais de la guerre et ceux de la nouvelle or
ganisation de l'aimée.
AUTRICHE.
f'ienne par voie extraordinaire^. I juin.
L'Observateur autrichien publie les pièces sui
vante»
Proclamation du généra1 Church en quittant son
quartier général de Me gare pour marcher tur
Athènes.
Le (jenéralisdmp tous les tirées. Appelé par la
nation grecque et par ses représentai)* Trezène a la
d'gniie Je généralissime je ne put* que faire connaî
tre combien je ressens profondément la grandeur du
devoir s cré que ce poste in'itnpose et combien j'ap
précie l'IiOonvui qui en résulte pour moi Je sais que
ni mi s laiensni mes o.insistances ne me rendent
digne du titre glorieux de géiiéralisiine de la Grece
mais le zèle avec lequel ja nie suis depuis longtemps
consacre aux intérêts de ce pays me recommande
l'amour et la ro fiance de toute la nation et d'au
tant plus qu'un gtand nombre de reux qui se sont sig
nales dans les Combats pour la patrie étaient autrefois
mes frères d'armes.
La n .lion grecque h ■uraiisérnent réunie dans
line sss» nib't e nationale Trezène doit déjà attendre
d> granJ» succès de l'union du patriotisme et de l'é
nergie ei bientôt délivrée delà tyrannie, elle sea
reconnue de tout le monde clire Ton comme une naiitin
célèbre et ind> pendante. Accourez donc Cirées de
tout rang et de ijui âge qui puuvez porter le» armes,
et rang-z vous sous les etendarts de la pairie'... Ac
court z ponr delivei la célèbre Athènes et chasser les
biiba'ts rie se* murs sacres Accoures et ne douiez
pa* que le* maïques de victoire que vous recueillait z
dans l'At'. que et qui surpasseront les précedens en
lain fondent U tùieté et la gloire immortelle d«
b (i ère
L) mon rô je niYIfo rerai par tous ips moyens
imaginables de soutenir le cour ge-dp vos guerriers
et de préserver de touie violente les habians des pays
que les troupes traverseront; et siavec I assistance
du ciel, nous avons denviee Alhèues les guerriers
doivent a ers tecevcr le prix de leur vaillance et Us
citoyens «e réjouir de I iutroduction d'uu sync-me qui
ne perm«i plus l'usage de» poids défendus par |Uis
et autres abus.
l'els sont en peu de mots mes sentimens, que
j- lais 1 Oin. reà iou< les Grecs a l'instant eu je prends
lu tomman iemeni de i'armee de Mégate.et soyez
couvaiuwu»Hellènes que le glorieux chef de la uia-
j
rnp estaîrts* que moifermement rero'u rentrî.
buir par tons lestf'orts et par tous les moyen» ion.
ginab'es foud<r votre bonheur votre gloire et voira
indépendant» a
àigné le génèralisime delà Grèce cuubch.
Donne Mégaie le 30 avril 1827.
Lettre écrite far lerd C< chranoaprès le pnmier
c en. bat du Pirée.
A la commisse n du gouvernement de la Gèce.
Aujourd'hui a été livre un combat glorieux pour
les armes grecques L'affaire a été engagée par le* sol
dats de la marine qui étaient débarqués sur différent
points de la tôe de la Péninsule Munithya et
chassèrent devant eux les ennt m s qui s'y trouvaient.
Le* ttoupes de terre, qui ne voulaient rien céder en
courage aux soldait de marine, se précipitèrent égale
ment sur l'ennemi.
Pendaul que les St<exziotéS et Hydriolet s'ern-
paiaient des positions de l'ennemi sur la Péninsule,
les troupes se portèrent en avant sur la e opposée
du Piice,d'tù les Turc* a cette attaque imprévue du
courage hérr ïque des Hdi.èuei s'enfuirent comme un
troupeau en désordre.
p Do ce jourdate une nouvelle époque dans la
sy-ême militaire de laG.èce nouvelle. Si chacun se
comporte aussi demain comme tous sans exception se
sont comportés aujouid hutle aiége de l'Acropolit
sera leve et la liberté de la Gèce assurée.
Mes voe ix et mes désirs sont que les Grecs puis
sent obtenir la liberté pour un temps plus long que ce-
loi pendant lequel ils ont soulfert l'esclavage et que
leur gloire puisse égaler celle de leurs anréires.
Au port du Pnee, a5 avril 1827. cocheake.»
Extrait des nouvelles de Salamme jusqu'au a mai
que /'Observateur dU Unir de très.bo/.ne. source
Le au point du jour tout étant prêt pour une
attaque générale par terre et par mer contre les Turcs
campes et retranchés autour d'Athènes et les troupes
grecque* sou* le* ordre* de lord Cochrane des géné
raux Church et K*ralsk,ki étant arrivées aux points
qui leur étaient assignés G bi u ki grecs entrèrent sa
Pirec. Reschid-paihs avait reiiie l'artillerie du cou
vent de S'.-Spindoo près de la rive orientale du
Pirée et n'y avait laissé qu'une faible gainison de
3.>0 hommes. Les bri<ks ranonnèrent ce couvent;
mais la perte en tués cl en blessé* fut peu considérable
de» deux <6te».
Le 26 la canonnade recommença avec beaucoup
de vivacité et la frégate Ilietlas s'y joignit. La plus
grande partie du couvent fut détruite mais peine
avait on frit une brèche, que les Turis montaient 6ut
les ruines, et entretenaient sans interruption un feu de
lEOUsqueuerie qui empê. ha les Grecs d'oser tenter un
assaut Lord Cochrane et le général Church témoins
de la valeur et de Is consume avec laquelle les Turcs
se défendaient, desiraient leur accorder une capitu
lation honorable avec la libre sortie pour Cons'anti-
nople, où ils devaient ê'ie conduits par mer mais
celte propo ttion déplut eux Grecset en conséquent e
le 27 le feu recommença avec plus de vivacité que
la vejle.
Dans la nuit du uG au 27 les Turcs avaient pro"
pose une capitulat'on qui leur accordait la libre sorti*
en r onservant leuis atmt-s. Cette proposition ayant
etr rriuiée le feu continua mais !e général Clturca
voyant la biavouie que les Turcs déployaient enr oie
le 27 consentit a leur proposition, leur donna pour
otages les Gis et les parens de capitaine* grecs et or
donna la cavalerie de les escorter jusqu'au rivage.
Malgré toutes ces précautions, ctl.e capitulation a c a