le sort des précédente». Le» Oree« tombèrent «or le»
Turc» qui e'sieni épuisés de failli et de fatigue cl le»
Biassacièrent quelques-uns des otages fuient égale
ment victimes de leur loreur et tous les eiforts du ge.
néral Lhurch pour empêcher rené boucherie ne
purent sauver la vie qu'a un petit nombre de 1 urc»
enlr'autres au colonel de la garnison.
Le colonel Gordon a dit-on donné sur le-rhctnp
«a. d'-mission et le gené.al Cburch a déclaré qu'il
qJVt teraii imrne iia'emeol l'ai o ée si les coupables n'é
taient pas punis.
Lord Cotbrane a quitte' le Pire'e le 29 avrilil a e'té
«uivi par les autres Là imens qui doivent, ainsi que
toutes les forces maritimes se rassembler Poros.
Ce mouvement a cte occasionné par le biuii que la
flotté égyptienne élail sortie.
Le 1 ei a mai on remarqua beaucoup de trouve
ment dans le camp grec. Il est grand temps que l'at
taque ait lieu car sans cela maigre toutes les dispo
sitions pour la délivrance de l'Aciopolis, celte forte
resse qui rst réduite la derrière extrémité sera obli -
gée de se rendre. Le a 1 avrille» assièges avaient an
nonce par leurs envoyés au camp grecs de Ptialère
qu'ils ne pouvaient plus tenir que 10 jours. Quatre
nulle grecs se sont dirige* sur Asomato pour attaquer
par derrière la j osilion des 1 urc» dans le bois des oli
viers, tandis que le reste du corps l'attaquerait de Iront.
M ais les luics sont fortement retranches sur tous les
peints et ils paraisseui attendre l'attaque de pied
1er uie.
Extraits de l Ami de I» Loi qui parait Hydra
rte» 20 et si avitl.
Dès que lord Coibrune eut pris le comrnande-
Bietu en 1 hef de la marine grecque le danger da l'A
cropoiis fui le premier obj-l de son aiieulion.
a Loid Cocbrnie a débarqué le 19. revêtu de tous
•es ordre» et suivi des ses olti: ier».- précédé d'un dra
peau il s'est rendu au camp de Karsï-k iki comman
dai! 1 général de la G;<ï^e oneui.de. Son secrétaire a
harangué l'arme#, li n promis au nom de lord Co-
ibrafie 1000 écos celui qui enlèverait le drapeau
du seraskier pare lie somuic celui qui planterait le
cirapeau de l'amiral devant la porte du l'Acropoiis et
d.iierenie autres récompenses pour les grecs qui se dis
tingueraient et patiiculièietnent pour les 100 hommes
qui entreraient les premiers dans la forteresse assiégée.
Cette harangue a excite un enthousiasme incioyahle
dans le camp grec une vive canonnade commença
contre le camp turc ei se prolongea jusqu'à la iiuii.a
Dans son ii° lu Wdint de la loi annonce qu'il
view de recevoir différentes lettres de Phalère, du 22,
qui annoncent que les grecs o il eu le ao une escar
mouche où ils ont déployé la plus grande valeur contre
les urcs retranchés. C'est le aa date de ces lettres
3ne la délivrance de l'Acropoiis doit avoir lieu (1 apiès
iffereos |ournaii». I) paraît qu'il y a ici quelque con
fus 00 dau» le rapport des dates du uouveau a l'ancien
»tyle.
ITALIE.
Trieste a juin.
Un navire qui a quitté Syra le 19 mai apporte la
nouvelle bien trisle pour tous les amis de la cause
helléniquo que les Grers ont éprouve sous les mut»
de l'Acropoiisune grande Urfailc par suite de laquelle
ce boulevard de la nouvelle Grèce ce monument de
I immortalité de l'ancienne, est irrévocablement perdu.
35oj Grecs sont restes sur la place, et Kaia'iskaki
avec la plupart des Missolungbiotes y onr. rendu leurs
«mes but omuesLa gatuisou de i'Actopolit <t clédtl-
on «tir le point de se f»1fe «noter. Une coaslernatioa
extrême règne parmi le» Grecs.
Cel'e nouvelle est m oh-ureust-ment co- firme-- par
des lettrés de Syra de la même date f 19 tuai .- elles
ne laissent pas de dotue que le corps gre. que qui s'» tait
mis en Campagne pour jdflivrer lAciopolia, et qui
contenait tout e que la nation pouvait mettre sous les
aimes, a eie bauu. Le séra-kiei rentori p par les trou
pes régulières tories rie Cnnsiantinople vers la mi-
avril cerna le rorps grec qui n'a pu se bayer un che
min qu'après un tombal sangla' 1 et avec U perle de
plus de iooo nommes. Le général Kara'i k ki est paitui
les tués.
L'Acropoiis ne s'était point rendue mais on capi
tulait. Sur la rade d'Athènes se trouvaient une fierai»
française une anglaise et la roi vette aulrii hienne Cn-
ro me pour servir d'intermédiaires dart« les negotia-
tio >s et assurer la retraite de la garnison.
D après des lettres Je Cons'antluople do lo mai,
la flu te turque, sortie des Dardanelles, parait être
arrivée Navarin. G. U.
ANGIETEfiRE.
Londres 8 juin.
Le C-urîer publie de longs détails sur l'arrivée de
S. M. la reine douairière de Wurtemberg sœur de S.
M.George i V. Charlotte A uguste Maihdde. n"' le 29
septembre 1 7(16 était la ptcm ère des fidrs de Gcorge
III et la quatrième des nombreux enfans de ce prime.
En «"97 elle épousa le duc devenu roi de Wur
temberg. Depuis celte epoque elle n'était pas revenu*
en Angleiene, et ainsi avait été 3o ans absente de sa
patrie.
Comme on savait que S M. était dans on état d«
santé qui ne lui permettait de marcher que dilfir dé
nient au lieu de choisir pour lieu de débarquement
les grands escaliers du palais royal des invalides de la
marine, on avait enge une plate forme en saillie -
dessus des balustrades qui tègneni le long du fb-ove-.
Sur cette plate (o°me on avait dresse un pavillon dé
coré avec aut&r.i d élégance que de richesse. Un*
trappe avait été pratiquée dans ,'e plancher pour ser
vir de passage au tauleuil magnifique sur lequel 011
devait élever S. M. de U barque royale jusque sur Ta
plateforme au moyen d'un appareil de poulies et de
cordages.
L'étendard royal fut arboré sur le palais des inva
lides et toutes les cloches de la ville commencèrent
sonner en hran!e.
Les rumeur* les plu* ab-unles om circulé dans
la cite l'égard du message que l'on 'avait devoir êire
communiquée aux chambres. On prétendait que cg
message avait pour but défaire tonna) re que M.
avait pris con|owitein<- l ivec les puissant es alliées, la
détermination de bombarder Co's'anlincp'c r!»~'s
le cas où les Tur< s refuseraient d faire la paix a*«I*
Gtèce. Nous 11 avons pas e moindre rlio 1 d'ellei b< m
barder Conitanùnople et il est iœposihle de ronic-
vnir que I on soi ge 1 u> e eoir- pri e aussi injuste.
Notre journal de lundi a pose les limites I s plu* été*
dues de notre ii te vention «on tv al en fav-uv
des malbeuieu Grecs, que d; s le cas ou iuou
trance» faiie* par U Hu.'se. F ce l'Ange erre
et appuyées par t'Autricbeet U tu .1 ni ejri.es
par le divan les flottes ds |ro s puni èies j ui-sancés
intercepteraient tome communitaiion eulie UsTurCs
les Grecs, et par ce moyen mettraient ces derniers a
l'abri de toute acte nouveau d'hostilité a
Entre ces mesures seul, meut preservatri'es et un*
mesure telle que celle du bombardi-mum de la api-
talc d'un état indépendantou seul combien U mile-
teuce est grande.., {lune.)