f.jl-il pUré dans ce cafe qu'il manifesta une espère d'aliénation mentale. Tous les soirs, après la ferme ture du café, il se mettait sur les épaules plusieurs ser viettes en forme de manteau, récitait quelques fragmeus de tragédie et disait qu'il était un second Talma. Un jour, en causant avec M"? B.il lui dit: Je ne suis pas né pour être limonadier, il faut que je me fasse on nom: j'ai de l'espritet si je ne réussis rien je ferai un coup d'éclat pour me faire mettre dans l'histoireVers la ffo de ïS;i3 Charles fut renvoyé cau=e du dérangement de son espritparce qu'il pré tendait vouloir se marier avec Mil» BCependant il venait de temps autre voir son ancien maître- Le cadavre de ce malheureux a été déshabillé la Mor gue on a trouvé sur sa poitrine un ruban de la légion d'honneur. La chaîne des forçats est partie hier de Bicêtre pour Toulon. Cette choine se composait de io4 indi vidus, pour lesquels ao militaires condamnés en ver tu de la loi de ijgà et venant pour la plupart du dé partement du Nord. La pèche de la MortiP sur les rô-os d'Islande a été très abondante, et les pêcheurs de nos ports de la Manche sont revenus avec chargement complet. Nous recevons l'instant une lettre d'Ajaccio la date du 11 octobre, qui contient textuellement les mots sun ans Nons venons de recevoir l'ordonnance de dissolution de la chambre des députés On doit se rappeler que ce département ne jouit pas de l'institution du jury. On lit dans la correspondance particulière de la Gazette sous la date de Constantinople i5 septem bre que la position de Smyrne a été l'objet d'une convention entre les commandans.des navires et con suls anglais et russe consentie par le pacba Hassan, eu moyen de laqualle cette place doit être reconnue connue ville neutre dans tous les cas et pour toutes les Da ions. Les propriétés n'y courent donc plus aucun risque et celte mesure doit avoir des résultats tort importanu. PAVS BAS. La Haye. 25 octobre. On attend avec quelqu'intérêt la réponse des états-généraux au discours du trône particulière ment pour ce qui a rapport la convention con clue. avec le saint-siège. On assure que la gran de majorité de la seconde chambre a acquiescé au projet de se borner en ceci répéter les propres paroles du Roi concernant la conclusion de la dite convention, et qu'il rie serait manifesté qu'une fai ble opposition contre la répétition de ses paroles. La dernière audience de S. M. a été encore très- nombreuse. On y a reniai qué eulr'autres le pré dicateur Molenaar. Bruxelles, 27 octobre Le Catholique a appris de bonne part que les informations d'usage avant la nomination des évê- cues, faites au sujet de M. Ondernard comme iuiur évèque de Namur, n'ont pas souffert de dif ficultés Rome. On raconte qu'avant-hicr, la nuit tombante tins dams a été saisie au cou Si-Joos- ten-Noode, près de son domicile par un scélérat qui lui a pris son ridicule, contenant, dit-on, environ uoe va leur de 40 5o fi. eu objets divers et en numéraire. Le voleur essaya aussimais envainde s'emparer de la faille en soie de celte dame. Du 28. Les arpenteurs qui désireraient subir l'examen prescrit par l'arrêté de S. M. du 61 juillet 1825 pourtortl se présenter cet effet le 15 novem bre prochain, neuf heures du roatin l'hôtel du gouvernement de la province, rue du chêne a Brux elles. Les arpenteurs pourront s'adresser l'autorité loca le de leur domicile pour prendre inspection du pro- gramme des conna'tsancei rcquiiei pour être admis exercer cette profession. On écrit de Gand 37 Lies persopnes bien instruites assurent que S. M. a approuvé le plan pour établir le bassin de cette ville entre la porte de Muyde et celle de Dam et ces travaux iraportans commenceront dans le courant de l'année prochaine La garde chasse de la commune de Guinne- ken (Rrabanl septentrional), voulant nettoyer son lusil qui était chargé, le coup est parti et a dan gereusement blessé la femme de la garde chasse. L'algemeen Nieuws blaclde La Haye, contient un article de Java, d'après lequel le man que de numéraire aurait obligé le gouvernement lait e usage de monnaie de cuivre qui éprouverait une forte perte cet état de choses serait provenu de l'importation exhoibitante de marchandises étrangères; car, il est presque hors de doute, dit—il que le numéraire emporté par celte voie est la cause de celle pénurie. On lit dans VEcho du Norddu a5 octobre L'épouvantable fléau que Jenncr a cru anéan tir, cette affreuse maladie qui selon ledneteur Ta- ranget, moissonnait le cinquième du genre hu main, la petite vérole, puisqu'il faut l'appeler par son nom a repatu Lille avec toutes ses horreurs. Di jàb tucoup d'enfans en ont été victimes, et en ce moment un grand nombre d'individus en sout atteints. La négligence des parens d'une part, d une autre part le défaut de zèle de médecins en sont la cause. Quoi qu'il en soit nous en accu sons les uns et les autres. Peut être l'autoritéqui jadis accordait des recompenses aux vaccinateurs, et qui ies a supprimées on 11e sait pourquoi, y a t-elle contribue son inscu. Cependant, le mal existe, et nous pensons que si l'on avait exigé ri goureusement la vaccination de tous les eufans nouveau-nés, on n'aurait pas aujourd'hui dé plorer tant de victimes d'une maladie jusqu'alors irrémédiable. a Toutefois nous ne nous aveuglons pas la vacciné est un préservatif sans doute mais il u'est pas efficace dans toutes les circonstances Nous en avoDS un triste et malheureux exemple sous les yeux une jeune fille de dix-huit ans, l'otgueil et l'idole de sa famille, est dans ce moment atteinte d'une petite vérole épouvantable, après avoir été vaccinee avec sut ces après avoir communiqué elle-même la vaccine plusieurs individus.... Une exception ne détruit pas la règle, mais la confirme Il est douloureux pour celui qui écrit cet article d être obligé de dire qu'il est le père de l'infor lunée sur laquelle celte déplorable exception s'est pré sentée. AFFICHES ANNONCES ET AVIS DIVERS. BERIGT. De hesiuiirtlers van het gestir ht v#n Weldad'g- heid der gemeente VVutou, district Yperen maken bekend da^er op den dinsdag 27 november 1827 een uur des na niiddags in het gemeenie huis aldaar zal voori^egaan worden door het amht van Notatis tôt de publieke verhuring voor den lijd van g agter een volgende jaren van ondersrheidene goederen toebehoorende gemeld armgesiicht. Het kohier van voorvvaarden is iiggende ter inzage van een ieder ter secretaiij van bot geaieente bestuur. Gedann te Watou den a3 oclobcr 1827. Voor de voorzitter van het arm-bestuur Geteekend C. F. G a.mur on.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 3