LE PROPAG JOURNAL D'YPRES, I ACTES DU GOUVERNEMENT, AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS. Épliémérideé. valachie. 976. mercredi, 17 Janvie^-, j-S>-0» f ir.. v - POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE, DE LA PROVINCE DE LA FLANDRE-OCCIDENTALE. OUVERTURE DES PORTES DE LA VILLE. Ou I au 16 Janvier 6 rp heures. TERME TU RE DES PORTES DE LA VILLE Ou i au 16 Janvier, 5 heujcs. Le pria de l'abuDuemeut est de 8 florius 00 ceuts par aiméeflorins 5o cent, pour 6 mois3 florins 35 cents pour 3 moi*. Le pua des insertions dans ce Journal est de 8 cents par ligne, et celles au-dessous de 7 ligues se paient 5u cenls. Ou a'abooue cher, l'éditeur, et tous les hoitaua des postes ana Unie du royaume. Le 11 Janvier 1/99, prise de Capoue. Après la défaite de 60,000 Napolitains par iâ.000 Françaiset la prise importante de Gaè'tele général Champiorinct, commandant Varmée de Romequi marchait sur Naples, se présente devant Capoue et somme la garnison, si ubout de deux jours de délibération, le vice-roi de Naples propose un armistice, qui est accepté et signé le 10 Janvier. Le lendemainles divi sions MagdonaldLemoine et Rey y font leur entrée triomphante Le 12 Janvier 18 r4 combat d'Epinal et de Si Uia. L'armée coalisée avait passé te Rhin, et s'avançait en France. Le maréchal Vic tor qui depuis Strasbourg étaii en retraite voulant ralantir la marche de l' ennemi livra plusieurs combats mais sentant (im possibilité de se maintenir plus long-temps dans les /-fiisges et craignant d'être coupé dans toutes les directions par les colonnes en nemies, il se retira sur Nancyoù il fit sa jonction avec le maréchal Ne y. Le i3 Janvier 181*, combats de Merxhem et de ffinigen, en Belgique. Pendant que les principales forces des coalisés pénétraient en France, une armée anglo-prussiennesous les ordres du général Bulow, envahissait la Hol lande, et s'avançait jus qu aux environs cl En vers déjà il établissait ses batteries pour bom barder cette placelorsque le général Maison, accourant au secours d'Anvers, força l'enne mi une retraite précipitéecraignant de voir couper ses communications Le lé Janvier J/97 bataille de Rivoli, en Italie, gagnée par le général Bonaparte, contre le gènéaal Aivinziqui conduisait une armée de cinquante mille hommes au secours de M an loue. L'ennemi perdit ses provisions de bouche et de guerre, soixante nièces de canon, vingt-quatre drapeaux et vingt-trois mille hommes faits prisonniersparmi lesquels était un corps de volontaires levés Hienneauquel l Impératrice avait dennà un drapeau qu elle avait brodé de sa main. Bucharest1 8 décembre. On parlait braucoup de grands arméniens que fait la Porte. Un dépôt de fusils dont le nombre et porté i 20,000 réunis depuis longtemps Cons- tattiinople par des spéculateurs, aurait été acheté pur le gouvernement, un prix considérable. Des milliers de miliciens viennent de l'Asie, ce qui est surprenant, dans la saison actuelle, et prouve l'esprit public des Turcs en cette occasion attendu qu'ordinairement les Asiatiques n'entrent en campagne qu'au printemps. lisseront armés Constantiuqplel'européenne et dirigés ensuite sur Widdiu. Ou dit encore que le grand-seigneur, pour couvrir les frais causés par ces arméniens cxlraor- dinaires, aura recours une espèce d'emprunt, et que la Porte a fait plusieurs maisons respectables de commerce franques l'olïre de leur donner en gage, pour des avn/ices, les produits des mines de 1 Asie-Mineure où s'exploite principalement du cuivre, dont il y a une grande quantité en dépôt Smyrne. On indique la somme de roo millions de piastres, comme montant de l'emprunt, et l'on ajoute que des négociations y relatives ont élé aussi entamées avec le [tacha d'Egypte, Mehemet!*i Ali et qu'un plénipotentiaire a été envoyé vers lui. (G. U.) ITALIE. Trieste, 1" Janvier. Une lettre de Syra du i3 décembre, contient ce qui suit: Nous avons peu de nouvelles positives, mais en revanche beau coup de bruits. On dit que les amiraux anglais et russe avaient proposé Ibra him-pacha de le conduire, avec ses troupes, Alexandrie, et qu'il paraissait disposé accepter cette offre. On dit qu'une goeletle de guerre autri chienne, arrivée Scio par suite des mauvais Irai- tetuens que le consul d'Autriche y avait été non- seulementjempéchée par le feu des Grecs de débar quer mais qu'elle avait été même obligée de couper ses cables- Enfui, on mande de Navarin Une coivette française avait capiuré la goélette pirate d'un certain T. Sideriet comme celle-ci 11'était pas munie de papiers délivrés par le gouver nement grec le commandant français y mit un of ficier et treize matelots,et l'envoya de Milo. Jetée par des temps orageux sur l'ile d'Astrafaglia cette goelettc y mouilla mais elle y fut assaillie par deux mistics dont les équipages traitèrent les Français avec barbarie. L'officier français sabra un. des forbans et mit le feu la Sainte-Barbe; de sorte que le navire sauta; avec tout ce qui s'y trou vait6a pirates y périrent2 fiançais parvinrent se sauver sur des planches. Le consul français Syra a déjà expédié quel qu'un pour porter des secours ses deux compa ti iotes* ijLe reste de cette lettre dit que les pirata

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Le Propagateur (1818-1871) | 1828 | | pagina 1