Annonces.
VERKOOPINGE
d'un p. ®[o les changer contre des francs. Il est
désirer que le gouvernement prenne promptement
des mesures pour arrêter et couper le mal.
G. de la ptuv. de Limbourg
Bruxellesi5 Janvier.
Parmi les gratifications que S. M. a accordées
dos dcsservaus et chapelains; se trouvent 145o fl.
treize ecclésiastiques de notre province.
- Un journal dit que la malheureuse femme qui
s'est jetée avaut-hier avec son enfant (laus la Senne
avait depuis quelques jours donné des signes d'a
liénation mentale causée par des chragrins d'a
mour. Un autre journal dit qu'une dame charita
ble a pris sous sa protection l'enfant si heureuse
ment sanvé. Ou parle aussi d'une souscription
dont le produit serait consacré assurer uue bonne
éducation cet orphelin.
- Un avis de la régence d'Amsterdam du 10
fait connaître que daus le courant du mois de sep
tembre prochain il y aura dans cette ville une
exposition d'objets d'arts, par des artistes vivans.
Du 16. - On dit qu'une caisse renfermant des
chandeliers d'argent d'une grande valeur est arri
vée Hasselt la destination d'une des églises de
cette vilLe. On ne connait pas ce qu'il paraît
l'auteur de ce précieux envoi.
- On mande de Maestricht i4 janvier
La violence du vent a fait chavirer une nacel
le sur la Meuse Mechelen, trois indiv idus qui
s'y trouvaient ont été noyés malgré tous leurs ef
forts pour gagner le rivage.
- L'autorité a fait dresser un procès verbal
Koeiwagt charge de deux hommes .de l'art
qui ont refusé leur ministère dans un cas semblable
celui où le curé de Houtenisse s'est trouvé si
singulièrement compromis-
- On apprend de bonne source, dit la Gazette
de La Haye, que le gouvernement a résolu que,
lors de l'organisation de l'académie militaire qui
set a ouverte Bréda l'automme prochain l'ins
truction dans l'art de la navigation, qui jusqu'à
présent a fait partie de l'école d'artillerie et du gé
nie Delfl, sera séparée des autres armes, et qu'il
sera érigé Medemblik, pour les élèves de la ma
rine uu institut l'instar de celui établi jadis
Feyenoord.
S. A. le prince régnant de Kaunitz Rietberg
est arrivé La Haye, et descendu l'hôtel de
Oude Doelen,
- Des lettres de Java du ioctobre reçues
Londres, anuoncent que lorsque l'armistice conclu
avec les princes indigènes fut rompu, tous les
otages furent rendus de part et d'autre et l'on
croyait que la guerre allait sur-le-champ recom
mencer. Cette fâcheuse issue des négociations a eu
pour cause les demandes immodérées faites par
Dipo-Negoro.
Gand 16 janvier.
M: Henri-Daniel Guyot, professeur-honoraire
l'Uuiversité de Groningue, fondateur, président
directeur et instructeur en chef d'un établissement
de sourds- mu ts, la prospérité et au perfection
nement duquel il a consacré, avec un zele infatiga
ble, 40 ans de sa vie est mort Groningue, le 10
de ce moisl'âge de 74 ans-
- M. le colonel Delaunayconducteur des Osa-
ges, est arrivé La Haye.
- Un journal de France donne le mot de l'énigme
sur uue clause secrète du testament du M, le baron
Auguste de Staëlmort dernièrement sa terre de
Coper en Suisse. Le voici:
d
M"" la baronne de Staël apprit, après la mort
de son époux, que celui-ci avait eu uu enfant d'une
liaison qui avait existé pendant son mariage. Celte
dame avait depuis long-temps, et toujours vaine
ment cherché a découvrir la mère et l'enfant. Le
hasard lui présenta un jourdans une société au
Marais, uu jeune garçon de douze ans qui lui parut
avoir la plus grande ressemblance avec son époux.
Elle s'approcha de cet entant, chercha gagner sa
confiance et l'invita a venir déjeuner le lendemain
chez die. Tout le monde fut surpris de celte pré
dilection si particulière d'une femme aussi distin
guée pour un enfant de classe si médiocre. Mada
me de Staël apprit de son jeune commensal qu'il
habitait un quartier éloigné avec sa mère, qui vi
vait d'une manière tiès-restreinte depuis la mort
de son père. Au bout de quelques jours la baron
ne n'eut plus.de doutes elle se convainquit que
Félix était fils du barou de Staël. La mère appai te
nait une bonne famille bourgeoise, envers la
quelle le père de l'enfant avait mal agi. Celle fem
me ne fut pas peu surprise de voir chez elle M"'*
de Staël et de l'entendre lui dire: Regardez-moi
Comme une sœur ce quartier n'est pas convena
ble pour l'instruction de votre fils je me charge
de tout l'aveuir. El'e s'intéressa si bien ce
jtuue homme qu'elle le fit placer la poste Fer-
ney et elle lui paya annuellement une somme du
quatre-vingt louis. Il se maria et \lme de Staël
pourvut genéreusemenl son établissement. Enfin
le baron Auguste de Staël laissa sou fils Félix
eu mourant un legs de cent mille francs.
BY GEDVV08 G t KE ONTEYGENING.
Van wege Z. M. den Koning en Justilie.
Bxttijkt uit de minulen beruslende ter grijjie
der liegtbanh van eersten aanleg te Yperen.
Uutrek eener inbeslagneming ten einde le doen
verrigien de veikoopirig by Gedwongene Onieige-
ning, von een buis ende erve ge9laan ende gelegen op
de Nieewe iloui-marki le Yperen geteekend nu
méro negen-en deriigmet een magazyn daar aan
boa lende en hebbende eenea uit gang op de Kloos-
te.'poorl, abouterende van noorden de straal ge-
naaunl die nieuwe Hout maïkt van vvesien het huis
ende erve van de weduwe Bachy van oosten het
buis ende erve van joulfrouvv Marianne S marcq
en van zuiden de Klooster poortgebruikt door
sieur Ignatins Ryckasey9koopman woonende ta
Yperen, op vvelken het voorgemelde hui9 in beslag
geoomen is gt-weesi by procès verbaal opgeuiaakt
door den Deurwaarder LEPOUTRE in daten zeven
en iwint'gsten october duisl acht hondert zeven en
twiniig.
Den zelven d^g en vooralgaandelyk aan de for-
maliteit der regisiratie, heeti bel gemelde procèa
verbaal van beslag gezien geweestprimo door dea
heer Peikel. ^rilfier van het vredegeregt der ver-
reenigde kantons Yperen westerdeel en Llverdingbe,
secuiidô door de wel edele achibare heeren liuig-
mtesier en Scbepenen der siede van Yperen die
bel origineel geviseert hebhen en alzonderlyk
kopie ouivangen bebben van het gemelde procèa
vei baal
Naar dies is het procès verbaal van beslag ge-
registreerd geweesi te Yperen den negen en twin«
tigden October acbtien honderd zeven en twintig,
deel acht en twintig. folio iwee en sestig verso,
revende vakonder het regt van eenen gulden een
cent verhoog begrepen.
En overgeschreven ten kaoloor van hypoibeek
bewatig toi 't zelve Yperea geplaaisl deu derdeu