Annonces. -IwT^V. X- "v"; -V A On lit dans !e Messager des sniencei et des (tris cri compte rondu par M jCorDelissen, de, Gand do k'oyages aux états-unis d Amérique, par 5. A. le O piince Bernard de Saxa-Weimar, imprimé en allemand a Weimar. Nous en prenons les extraits suivans.- Parti en avriV i8a5, l'illustre voyageur arrivait Boston le a6 juillet. J'allai rendre visite, dit il, au curé catholique de Pensacola, M. l'abbé Maeahout, natif de Waerschoot dans la Flandre orientale. Ce digne ecclésiastique ac compagna en 1817, Mgr Dubourg, évêquede la Loui siane. L'abbé Maenbout est généralement estimé et chéri pour la régularité de sa conduite et pour ses con naissances, et comme il est le seul ecclésiastique de l'endroit, tous les babitans, quelque religion qu'ils appartiennent, fréquentent son église. Il se réjouit d'autant plus de ma visite que je lui apportais des nouvelles de sa patrie. A la Nouvelle-Orléans, non loin du Missouri et du pays des Osages, dans une petite église de bois, le prince rencontra un jeune curé, M. l'abbé Verbeg- ghen. natif de Gand, qui avoit également accompagné M. Dubourg, avec d'autre9 séminaristes flamrnands; d'après le dire de M. Verheggben, huit autres ecclési astiques belges remplissant des fonctions sacerdotales, dans ces districts des Etats unis, ou dans uo séminaire de jésuhes, cinq milles de Sainte Génevieve, et non loin des villes de Saint-Charles et de Saint Louis. Gands S avril. SA. C. le prince-archevêque de Matines et les vicaires-généraux capilutaires de Gand et de Tournay viennent d'ordonner des prière* publiques pour obte nir du ciel l'heureuse délivrance de S. A. R. la prin cesse Frédéric des Pays-Bas Nous saisissons avec empressement, N. T. C. F., dit le vénérable primat, cette occasion de satisfaire aux désirs de S. M. Le dévouement sincère, le profond respect, l'attachement inviolable que nous lui portons, la recounoissence que nous lui devons pour le bienfait inappréciable qu'elle nous a accordé eo nous procurant un Concordatet pour la ferme volonté qu'elle a constamment manifes tée d'en exécuter loyalement le contenu les autres avantages eufin que sa puissante protection peut accor der notre sainte Religion, nous en fout uu devoir ri goureux. a On vient de publier Amsterdam le prospectus d'une nouvelle Société générale pour les inhumations. Un journal de Berlin annonce que dans la nuit du ta au 13 de ce mois on a ressenti dans cette ville des secousses de tremblement de terre. Le bill sur la suppression do due! a passé dans la chambre des represeniens de Washington la ma jorité de 61 voix contre 3^; par ce bill la mort d'un des cotnbattana est déclarée meurtre, et les seconds ■on» coupables de félonie, quaod même le combat en champ clos n'occasioDne pas la mort de l'un des duel listes. La chaire doit être surveillée plus que jamais,» dit Ch Ft c'est apparemment pour y mettre ordre lui-même, qu'il se moutre 6n un jour six ser mons différons. au r fc d acte u du catholique. Monsieur, On-vient de me communiquer le n® io5 du Jour, do Gand qui contient on pitoyable article dirigé contre moiquoique d'une manière un peu oblique. Le spi rituel écrivain insinue que je suis l'auteur d'une misè re c'est à-dire d'une plaisanterie insérée dans votre n* du a4 deroier sur un discours solennel prononcé l'occasion d'une distribution de prix. Com me cette inculpation est dénuée dv fondement et qu'elle pourrait jeter de la défaveur sur une école qui néiite toute ia confiance des père* de famille je prends la liberté de recourir votre feuille, pour démentir cet. te insidieuse calomnie. J'ai heureusement assez d'indé pendance dans le caractère, pour ne pas faire un pro blème de mes principeset pour ne jamais déguiser la vérité; c'est pourquoi je déclare franchement que, d'après ma conviotiou et celle de presque tout l'au ditoire devant lequel le discours a été prononcé, votre correspondant a exagère les torts de l'estimable orateur. Sans doute son discours était susceptible ds quelques observations; on aurait pu lui reprocher trop d'enthousiasme pour notre siècle et trop d'exagération dans la peinture qu'il a cru devoir faire de I étal moral et intellectuel des siècles précédées c'est la manie de noire époque de tout outrer, l'auteur a pu partager en cela l'illusion générale, mais ce n'est pas là uu tort qui peut légitimer une forte ceosure dans un journalqui se fait un devo'T do défendre la vérité partout cù elle se trouve. Du reste je fais grâce au correspondant dti Journal de Gand de toutes les inepties qu'il a cru de voir entasser dans sou articletoutes ses belles excut- sions sur la réligion la morale la politique etc.ne valent pas un mot de réponse. Ypres ce 18 avril. L'abxé Verbeke. (68) Bekendmaking. Maandag 19 mei, 1828, om 8 uren s' morgens, in het Stad-huis te Meessen zal men publiek verpachten de goederen der kerk-fabriek van Meessen besiaande in 49 lotendoor het minisle rie van den Notaris Victoor, en ingevoige de voorwaarden door Z. Exc. den lieer gouverneur der provintie Westvlaanderen goedgekeurd. 2 (jo) Provincie Westvlaanderen. Stedelyk besluur van Meenen. si anbesteding der herstellings werken van Stadstoren gezegd Belfroi. Burgemeester en Schepenen, brengen ter kennis der gegadigden dat op woensdag, i4mci aanstaan- deom negen uren des morgensin de Vergader- zaal ten Stadhuizezal worden overgegaan lot de aanbesteding der herstellings werken van Stads toren waar van hst bestek beloopt tôt Fl. 44'7" /5 cents. Het kohier van voorwaarden en bespre- kenalsraede bel bestek en teekeningkunnen da- gelijks door de gegadigden ten Stadhuize ingezien •vorden van 9 tôt 11 uren voor middag. Gedaan ten Stadhuize den 16 april 1828. pe burgmeester AUGUSTE GHESQUIERE. ten oruonnantis de sekrelaris VANELSLAND. 2 Noords houl publiekelijk te verkoopen binnen Oostende. A. en J. Van Iseghem te Oostende zullen al- daar op Maandag 28 April 1828 's morgens ten tien uren preeies, op den BassiD, publiekelijk aan de meestbiedende door het ministerie van den rua- kelaar Dutreuez, laten verkoopen, de volgende zeer schoone Houtwaren, zijnde delading van het welbekend noordsch schip tf^ilhelmkapitein A. L. Woulir op 12 april van Frederikshald aan- gekomen. i3oo Roode planken, 1 s 5 ellen laog 7 duin 880 Wiiie dito, J dik. iiSoo Roode delen, 2 5 ellen lang 3 duits •4oo Witie dito, dik. Eene partie mooye sparren. Op de cuudiiien aisdau vooren te lesen.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1828 | | pagina 4