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Lord PonKJmby. ministre Anglaisfaisait toBiSes
efïont pour i é^oiier la psn entre Buenos Ayres et le
Brésil; il attendait une escadre anglaise afin d'en impo
ser au* pnrlies belligérantes les forcer, pour ainsi
dire, la p i et donner le leraps don Pedro de rena
rd.re en Portugal où ?a presence est néces-ane pour
l'accomolissement des vues du gouvernement anglais.
Du 10. Pur voie extraordinaire.
La chambre de communes a repris hier soir les débats
sur la motion de sir F. Burdett, touchant la question
catholique. La plupart des orateurs se sont prononcés
eo faveur du comité démande par I honorable propo
sant M. Peel s'y est opposée dans un dis< ours fort
élenJue en combattant tous les argumeus avancés en
faveur de l'émancipation catholiqu Ues débats après
avoir duré jusqu'à trois heures de la nuit, ont ele
ajournés lundi.
U'apiès des lettres de La G'Jayrs du 3 avril,
plusieurs corps municipaux de Venezuela ont témoi
gné dans des de< larations publiques, le désir quels
convent'on nationale qui allait se reunir Ocana, pro-
clamâ Bohvar dictateur de la Colombie, celui-ci au
rait offert sa démission la convention nationale.
Le Courrier déclaré aussi qu'il est faux que don
Miguel aurait su vi dans ses dernières démarchés les
inspirations de la cour d'Autriche, et qu'au contraire,
I empereur, dans une lettie autogr phe, lui a conseille
de ne rien faire qui j ut le meure en hostilités contre
son frère don Pedro. Courier alfume en ouïe que
fe gouvernement fiançais est tout fait étranger aux
intentions u-ui pitriccs manisfeslees par .don Mguel,
La cour d'E'uag in a eié egilein 'ni étrangère aux evé-
ne<n '«s du Portugal et M. C. s'est prononcée de
la manière la plus loyale relativement ce pays. Le
seul laii qui sou pirvenu la connaissance de ce jour
nal, c'est que don Miguel suit les conseils de sa mère.
FRANCE.
Parisi mai.
La fi:,e do général Beri.an f professant la religion
eatnol que vient d'epouser !e fi s ai de M Tayer
prof-ss«iu ta religion protestanteUn ministre a béni
aujourd'hui le managi- dans le templs de l'Oratoire.
Ce qui suit co .fi me officiellement la nouvelle
«j te le prince »I guel a ele proclame roi daus diverses
piovinces du Portugrf.
U ie Jepô he télégraphique de Bayonne, en date du
lo mai i8a8 porie que Don M guel a été procla
ma roi sans aucune opposition Coïmbre Aveiro,
betubal Villafranca Vianna et dans plusieurs au
tres villes.
Lisbonne est fort tranquille et Porto était fort cal
me le a8.
Les intention actuelles sont de convoquer immédia
tement les trois ordres Les corlës de Lamego
Nous croyons éire sûrs que dans le cas où l'infant
te ferait effectivement procl niier roi absolu le minis
tre du roi a crédité seulement près du prince-regent
devait imiuediaiem ni cesser ses fonctions.
Du i u On assure que le ministre de l'empereur
du Brésil psés la caur de France a remis aujourd'hui
au mmisière h ançrs une pareille pro esiauon celle qui
a été remise par l'ambassadeur biésilien Londres au
uiiuisiére anglais contre l'u.u paiion de don Miguel.
PAYS-BAS
Bruxellesid mai.
Mr. F. magnee, de Mons caligraphe Jil roi, a ob
tenu de S. M un subside pour la foi mation d uo éta
blissement de calligraphie dans le royaume.
Les frais suppones par M. K.»ssels, relativement
la baleine exposee a Gand, moQtenl, dit on,
100000 francs. Il p.raî q te les curieux n'accourent
pas eo foule, aussi M. Kess-ls vient de diminuer le prix
d'entrée qui était d'un fl. 5o cents.
Pendant la ouit de 8 au g de ce mois, des voleurs
«a «ohf întro-fnits Jars l'e'glise delà commune de H»r«
statprès de Liège. Ils y ont enleve un calice avec sa
ps ène et sa cuiiler et trois cr uronnes qui servaient
orner la représentation de la Vierge, le tout en argent.
Ils ont aussi pille on tronc.
Une lettre adressée de Paris au Times semble vou
loir expliquer sur les mo'.ils qui ont porié lord Co»
chrane quitter si subbitemenl le service grec. Il pa
rtirait que S. S. a considéré son honneur et celui d«
la flotte nationale grecque comme-lésés par la déconsi
dération qu'ont jetee sur celte dernière les commandant
des escadies alliées en lui interdisaot toute opéiaiion
et la confondant ainsi avec des forbans- Lo noble lord
s'elève surtout contre les menaces de ces amiraux, de
détruire même les vaisseaux de guerie pour empêchet
la piraterie.
Quoiqu'il en soit, l'opinion générale dans Ips îles
Ioniennes, est que ce ne sont pas les comités philbelié-
niques de Londres et de Paris, qui ont détermine lor J
Cochrane, dans le temps aller en Gi èce, m ris biea
le ministère anglais d'alors, et qne maintenant cet ami
ral a agi dans le sens du nouveau ministère.
Ce serait donc ce ministère qu'il faudrait attribuer
ce départ et non aux motifs allégués par la lettre do
Paris-
Dos lettres de Berlin as«urent que si l'occupation
des principautés dont on attend la nouvelle cèaqno
instant, ne peut amener la Porte la condescendance,
les envoyés des trois puissance-* se réuniront Corfnu,
et que les ministres d'Autrii he tt de Prusse quitteront
également Coustantinople, et prendront pari ces dé
libérations.
On nous informe que dans l'affaire intentée nu jour
nal l'sirçus et a charge des sieurs Belle! Iacier et
de Péthuue renvoyés devant la cour d'assises, l'impri
meur a ete uns hors de cause. L'arrêt de la chambra
des mises en accusa ion psi basé sur ce motif, qu'il n'est
p s établi au procès que l'imprimeur incu'pé ail eu con
naissance des écrits pour lesquels il avait prêté eet
presses.
La gazette de La Have parle de lettres particulière»
de Batavia d'après lesquelles les généraux de Kock et
Van Geen se seraient mis en rouie pour retournée
dans la mère-patrie où ils pourruieut être attendus
chaque instant
Résumé des nouvelles d'Orientetc.
On pensait Vienne que les Russes passeraient non-
seulement le Prutb et le Danube simultanémentmaie
qu'une armée pénétrerait du côté de l'Arméoie dans
les provinces asiatiques de la Turquie.
Le i mai cette capitale a joui d'une fête militaira
dont les babitaus avaient été prives depuis plusieurs
années
L'arcbiJucCbarles est entré la tête de son régiment
d'uhlanspour relever le régiment de hussards qui
porte le nom du toi d'Angleterre et qni y était en
garnison. Les membres de la famille impériale et unes
foule immense se trouvaient sur le passage du régiment
et lorsque I archiduc en défilant a salue les personne*
augustes de sa famille, ou aperçut une émotion géné
rale. La lète se termina par une grande parade.
On mande de Triesto qu'un vaisseau do ligna
anglais et un brii k avec des troupes étaient par lis le i y
avul de Zanle pour C»rigo.
On écrit de Smyrne le ut avril, que les pri
sonnier tures au nombre d'environ 700, que le comte
Capodristrias a fait mettre en liberté el babiller neuf,
y sont arrivés et se louent beaucoup du traitement
qu'ils ont éprouvé pendant leur captivité.
L'amiral Rigny a annoncé aux autorité» locales I»
blocus des ports de Candio et de la Moree ordonna
par le gouvernement grec.
A Poros on (occupe de l'établissement d un arsenal
maritime et du projet d'une foadene de caooas jae
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