LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRES, I S0 io5i samedi, 4 ociobre 1828. jime Année Ephemérides. i.e 3 Octobre i468arrestation du Roi Louis XI Péronne par le duc de Bourgogne qui, pour lui rendre la liberté, le força si gner un t>aité onéreux et marcher contre les liégeoisennemis du duc, que le Roi favorisait en secret. j6t i, mort du f ameux duc de Mayennechef de la ligue contre Henri ÎU.- f]o4d'Aldenhoven, où les Autrichiens fu rent battus par f armée française. TUUQUiE. GRECE, OUfERTURE DES PORTES DE LA PILLE. Du 1 au i5 Octobre 6 heures. tER ML TU RE DES PORTES DE LA PILLE. Un i au r5-Octobre y heures I.e |>iii de Pabouueoleul est de 8 floriu» oo ceins (>ar aimée, f il >rins 5o ceuts pour 6 omisa fl arins 35 ceuts pour 3 mois», Le prit 'les insertions dans ce Journal est de 8 cents par lige et celles au dessous de y ligues se paieut 5o Ceuts. Ou s'abonne chei l'edileur, et tous les buieaua des poste» ans lettres du royaume. Le f." Octobre 1660 mort de Scarrnn le premier de tous Ips poètes dans le genre bar les- que. Une partie de plaisir lui ôta l'âge de 3 7 ans l'usage de la moitié de son corps. Il était allé passer le carnaval au Mans et s'y étant travesti en sauvage il fut poursuivi si vivement par une foule d'enfans, qu'ilalla se cacher dans les roseaux d'un marais. Un froid glaçant pénétra ses veines une lymphe acre se jeta sur ses nerfs et le rendit un raccourci de la misère humaine. Le 2 Octobre 179g bataille d'A Ikniaer entre les armées anglo-russe et franco-batave. Le duc d'Yack commandait la première el le général Brune la seconde laquelle était de beaucoup inférieure en nombre. Les avant pos tes furent d'abord repoussés mais l'action s'étant engagée en avant de Berghenet le gé néral Abercrombie ayant dépassé avec sa co lonne la gauche de l'armée française, Brune se replia en bon on/re et laissa Les Anglais en trer dans A Ikmaer. Le 4 Octobre y33 avant l'ère vulgairefon dation de Rome. Un prince d'une naissance obscurenourri par une femme prostituéeélevé par des bergerset depuis devenu chef de bri gands, jeta les premiers fondernens de la ca pitale du mon ie, qui, qui dans son orgine, était moins une ville qu'un camp de soldats, rempli de cabanes et entoure de faibles murailles sans lois civiles sans magistratset qui servait seulement d'asile aux aventuriers que l'im punité et le désir du pillage avaient réunis. Constantinople3i août. D'« tariares venant d'Alexandrie ont apporté deg dépêches d abord aux agens du vite roi d'Egypte et •ensuite au sultan elle» annoncent la convention con clue par Mehen.ed Ali-pat ha avec l'amiral Codringion pour l'évacuation de la Morée, et stipulant la remise des forteresses aux troupes turques. Cette tournure des choses qui est tout à-lait en opposition aux otdces du sultan, a excité son indignation, et produit une gran de sensation dans la capitale- Des tartares succèdent des tartares qui apportent •les nouvelles de victoires remportées sur les Russes. Dan» ces rapports Hussein bey assure qu il pourcetio année détruits tous les plans de l'ennemi de franchir le tialkin.il a ainsi décidé celte eampagne. Un dit même que l'avant-garde du grand visir lequel est ac- rouru comme on sait en personne ScbumU pour di riger les opeiatioos a déjà rejoint les troupes de ilus- «eiu-bey. Egine n o août. (Extrait dune lettre particulière.) Nous sommes dans une incertitude mortelle sur no tre état futur,' tout dépend de la volonté des (rois puis sances et nous attendons les ambassadeurs liai ont fixé nos frontières et l'espèce de gouvetanmeu! qua nous avons. Les soins du présidentdepui son arrivée se por tent particnl èreaient sur l'administration intérieure c'est a dire qu'il établit des communes des hôpitaux des Hospices, des ecole» primaires, et qu'l fait cultiver les terres incultes. Tout se fan par lui ou par son Lêre, car le panh- lleniuni et tous les secrétaires ne sont qu'une ombre. La coudui'e du président depl.it aux primats et surtout aux Il y-i liotes, qu'on peut appe ler les janissaires de la G ère au contraire, le peu ple, qui voit le président chercher a soulager sa tuhèio et mettre de l'ordre partoutl'a'me et le respecte. On ne parle plus de la convocation de l'assemblée nationale; il semble qu'elle soit «|ouiaee jusqu'à le décision de uos proiecte 1rs européens. RUSSIE. Odessa, 10 septembre. Des journaux étrangers parlent depuis quelques temps de l'inteniion qu ils atuibuenl noire cabinet d'insiiguer les Serviens contre la Porte. Mais la meil leure preuve de la fausseté do celle assertion c'est que le romie de Nesselrode n'a pas voulu admettre en sa présence quelques Serviens qui étaient venus ici deman der une au bence de ce ministre el qu'il leur a lait dire que la Russie n'a jamais eu le dessein d'exciter le i peuples la révolté. Par des navires neutres nous «vons des nouvelles de Cor.staniinop'e du 29 août. Le public n y s»v it pas encore la defense du l'exportation des grains <1 g ports de la mer Noire. Au resteon connu tiomper les Turcs par des nouvelles exagér^ésTirmc^"~ toiles. Lé ESCLAVONFE. Se m lin, i3 septembre. Le bruit court Belgr» le qu'une révolte M éclaté en Thessalie dans les environ de Volo et,.q»e le pacha de Saloniqur et le bey de Serès V ont elNoye des tioupej. La plus grande tranquillité rtgae da»? al

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Le Propagateur (1818-1871) | 1828 | | pagina 1