|8f« gf^sSl i)ftlL|ttC; ^U.àlCLiLLtO CL. D^ôl aual. 12 IQ. XIII'»e ANN-ÉJ&. PAR AUTORISATION de s. M. LE HOI U£S PAÏS^BiS. <T> ^î^?j o r< vv. j^a/ r5 Mars i 83o. OUVERTURE DE5 iPORTES DE LA VILLE. Du au 16 Mars, 5 1/2 heur;», FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Du i au iG Mars,.7 heures. wmmh D yihies^ gPMÈMÉRIDlES. Le 27 .février i5g4Henri IV est .sacré rpi de France, dans la Ville de Chartres, attendu que -Reims tenait enqpre -pour La ligue. A 'la Sainte—Ampoule ,de saint Rémi on substitua calje 4e .-saint Martin, iqu'on ,|it venir de Mar- moutier. .Ce .fut .Nicolas de ,Thou évoque (le Ciiartr^s qui lit la cérémonie. Les truv's ducs et-pairs ecclésiastiques .'furent représentés: l'arche vêque .de Reimspar l'évêque de -Chartres celui 4e .Laon .par L'évêque de Nantes et.celui de Langrespar liévéqne de dliqne. T- 28,, 5^5., .ordonnance .de .Çujldehert,, contre les assas sins dont le ^premier artiqle porte que rr qui- cpnque aura .tué un autre méchamment ct'sans «raison, soit puni de mort, sans qu'il puisse' e se racheter par aucune composition. J iGîest qu'ançienutment tout wurtrier ipouvait racheter »a vifi, «n donnant que .j^f&yie .somme aux pârens de celui qui était tué. - .6 3 supplice de 'la Vçjne Bnùnéhaut ld plus méchante 'et la plus cruelle femuie de son -temps. wrrm IN T'EUlElj R. 'PAYS-BAS. YiPitss y 3 metrp. <£?est,-hier, qu'a du se ifaire l'ouffeiiliwe des cuambi es eu France. Jamais, .aucune aune époque, peut être,, les débats pauletmip- taires u'aurotiiiaffenl un intérêt plus .vil, plus émtnentplus .'générai. Mous .verrons «ttfiii fgee^àilaoejila glmmboe d>«. députes fit le minis tère dPiB août: la France etila cmuarilla Foli- gnac. Aiiqndtwts los .adreMes. l)u discours du tfcWe, jQp pourra sans.legereté., dedutretelles dpt'wées., .telles pioliubtl'tes jqui.petU-êttie, lliemôt, de vtendrouLlles cotis.equeucts patentes, des farts,avérés. iFuisâtjiiUips .VQistns s'en.tuer «fi peuiroteux qu'aLumlnee.... et ailleurs!!! «r D'après iU(ie correspondance pafitiçu- hére <).e .RaUabofnue t{u a 5 fevi.nr., Mîle prtrjqe ,de .MeUer.moh «at tres-mecouluot ,de -la Bavière. La raison fin est que cnlle puissance est d^e,, au tWiortemberg etila >Prusse, par uu traité do,commerce quipuuriati Bien amener une wttcfl politique, il paraîtrait, en .résumé de culte Mrrçspondmçe, que doau<-, dans SQP 58 le National de Bruxelles., .qu'une espèce de CQngrégatiQD ou dfopposiliun ut'io nisa s', en mêlerait, il me s'agirait de rien de moins, d!apiesite.grand-œuvre tle reforoiatiou sur lequel le chet-ôligaïque est chevalque de faire cabinet du ministère bavarois: 'les pau vres Fxc.! leur a-l-on donc déciaié, par-louf, une guerre mort.... d'élimination?. Le comte d'Armansperg, dis aUaiies-étrangères, et le respectable barori.de Zentinr, de la jus tice seraieut les holocaustes destines au Wolpcli de la congrégation otigarcho-aristo- cralico-aposlolique.... Tel autre pays, que nous nous croypns sùllisammeut dispensés de citer par son iiom. en offre les pendans ministériels peu pi.es, dans des départemeos identiques.... Au reste voici comme quoi celte correspon dancequi u'est poiutsaus 'arrière-pensés ni sans objet, se termine dans le N/utiona'l susdit: Le roi de Bavière s'entend i est trop jaloux de son autorité, pour se laisser dominer par'les partis. Ni il. de Aletternieh, ni la con grégation, ne parvieudiont remettre la Bavière sons la tutelle dont elle s'est émanci pée, le premier jour du régne du roi Louis. Encore du M. de Metternicli!... Cette fois, c'est une corresjjoodan e du National si de Paris, datée de Lindau, près du hic de Constance, le i a lévrier. D'après cette cor respondance-Là, on parle beaucoup, en Italie, d"*émissaires russes que Ton dit parcourir les pays soumis l'Autriche,, pour soulever les esprits contre le gouvernement: On reconnaît la^ la îiaine contre la Russie. Ces prétendus émissaires russes,ne sont autres que des agetis provocateurs, la solde de M. dp McVternlch. C'est du Vidocq eu grand.... On doit, tout prix,, eutrqleiqi la terreur dans .la peuiusole italique. O11 s'alarme de la pqpidat ilé, julus encore que des cpmjuèles,,de l'ejupereiir ÎVico- lat. Enfin, dit la correspondance, «le mécontentement est toujours très-granden Italie, contre les Autrichiens: même, dpns les cabipets de Turin, de Florence, de Bomp et de Naples, plusieurs hommes d'état sqrit fntigues de celte,dictature qui demande une obcissauce aveugle, et ne fait ni p'éçoute rien dans l'intérêt des peuples. Tous attendent un mo ment favprable,l'affranchissement de l'Italie S. M., par arrête du (7 .février dernier a nommé M. Cluoles-Uenii-Ives Courleris notaire, Comines Flandre- occidentale j, en remplacement de son père, i\J.Marc-LvesUoui - teus. M. .Robert Çtppjl a présenté, pu parlement anglais, une ^étitipo pour l'émati.ciption des juifs, nés sujets britanniques Après le retrait d,-s tesl-andcorporation-acls eti'émancipytion des catholiques, et tandis que toutes les autres classes des sujets de S. 1V1.3. jouissent de la liberté civile et leligieuse pourquoi les juifs, ces 'hommes si utiles et si iuoustiit-iix, seraient- ils exclus des bienfaits de la consiitutiou du loyaume-uui Celte exception, dit the Sun auquel nous empruntons cql ar ticle est aussi injuste qu'impolitique. --.D'après les nouvelles deîtfexico,,les plus dignes de foi une sorte de révolution .s'y est opérée dans les derniers jours de décembre, sans aucune commotion, dans'legouvernemerit- général. Lesprononciados (.c'est ainsi que l'ou désigne les signataires de l'acte de Jalapa voientpartout", se rallier eux de nombreux partisans. Legénéral Buçuimenté vice-pi ésident, est la tête de ce mouvi-inent. 1.1 paraît que c'est définitivement le parti fédéraûf proclame qui triomphera. On a rejeté le plan décentra lisation que divers cliefs voulaient adopteret mettre, peut-être, a exécution. Le général pré sident cîuerréro était encore, le i5 décembre Ayacapixtla. Il ue,taisait aucun mouvement, pour s'opposer aux forces du vice-président. On ne sait encore quel parti défini! embrassera !e généial Synta-Auua, qui,Récemment encore, s'è^t signalé, Tampico, par la défaite de Texpéduion Barradas 'Une proclamation, d née du ad décembre, a été adressée, au peuple mexicain, par le poavoir exécutif. -- S M'., par.arrêré du 10février, a pourvu au remplacement des membres des différentes; chambres de commerce et de fabriques, dont le mandat avait cessé au d t décembre. Les mempres de la chambre ,d Ypres ont été nom més par continuation. M. L F., Ges comtes de Ro'biano de Borsbeek vient d'enfanter de nouviau, en fotmê de contre-mandement libétalo-aposto- lique, et pour servir de correctif aux dt<cu- mens émanes de nos sièges episco.pyux uue Exposition des Sentimens des Catholiques.' Le noble aristocrate n'a point démenti sa haute renommée: aussi, nous croyons-nous dispeusés de reproduire, d'analyser même, une piece qui, déjà, avec la rapidité de la foudre, doit avoir pénétré parmi toute la CONFEDERATION.... Toutefois, nous nous permettrons de faire observercelle occasionau malicieux et iuortliodpxe Journal ministériel deGandà lui, qui a eu l'ir révérence inique de blasphémer que le savant et haut seigneur comte de Ro- biano écrivait comme.... une cuisinière.... que M. le comte vient de prouver, irréfutable ment, par son dernier oh f d'çeovre que S. Kxci u a non do courmun avec Miguol

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 1