v france. 3 Angleterre. De cette calomnie générale le ministère fait urgir des calomnies partiçliWéS,...» L'auteur de l'article Huit en Ces termes Nous portons, nous trop de respect la oyauté pour l'alléger comme vous taites e ces vains fantômes, de ces illusoires terreurs, ces menacés mensongères nous aurons as- ég d'égards poni la'France, pour ne pas tu ca- oininti comme ievuliiliuunaire. El toujours, oit que vous iteiubiiez ou que vous soyez enaçans de désespoir ou par impuissance, ions suivrons paisiblementjnotre route veis l'a- tnélioration de cette société française qui, mal gré vous, compiend ses hautes destinées et qui malgré vous aussisaura les accomplir On remarque que, depuis la mise exé cution de l'ordonnancés qui tixe deux francs le minimum des mises de la lotetie royale, les produits de cet impôt ont sensiblement diminué, L'expédition d'Alger sera composée de 3o bâlimens, qui sont déjà désignés dans les poits de BrestChei bourg, Lorimtel Toulon, ainsi que les oilicters cnmtnuiidans. Probablement, quelques-uns des bâtimens convoyeurs de la Àlédiletranée feront paitïe de l'expédition. Les lettres de Madrid font mention d'un nouvel emprunt, coruracté, par le toi d Espa gne avec le banquier Arietla, de Madrid, '.et emprunt n'a aucun rapport avec c< lui fait,der nièrement, avec M Aguado - \Conu\dit Les lelties de Cadix, du 29 janvier, mandent qu'on a nolisé dans cette ville, les bâlimens qui doivent transpoiter, sous peu de temps, trois mille hommes a La Havane, et quinze cents hommes de toutes armes,Manille Le Constitutionnel cite oue lettre de Borne, du ad janvier, dans laquelle it est du que les jésuites ont obtenu une indemnité de 4«,ooo écus romains, pour lesdedonimogrr des frais extraordinaires, occasionnés la c<un pagnie de Jésus, par l'eleclion du lies-iévé- reml père Koothaan leur gépétal.fii chef Outre quatre grands élabiissemi'us b B. P. ont usurpé, entre autresle collège Boiromée avec toutes ses dépendances.- dans ce vaste lo cal, habitaient environ quarante familles bour geoises qui en ont été impitoyablement chas sées. Ce bâtiment a été restauréaux frais de la Sanla-Camata il a également coûté 40,000 écus romains. L. de WoLFr-Gtcrshomme de lettres rédacteur, du Propagateur itiede Me ton n° 16, Ypres, pievient ceux que la chos< con cerne qu il ne se charge aucunement d'alîaires contenlieuses ou autres, du ressenties tribu naux On ait s'adresser aux acocafs, avoues agens d'affaires, etc. E T IÎRIE t Paris, 28 février. Les lettres de Madrid, d'une date récente, parlent du renouvellement de l'ancien projet de M. de Meltei nieh, de donner çn mariage une des archiduchesses d'Autriche doit Miguel. Les levées de marins s'exercent, avec ac tivité sur toutes les places maritimes du royau me. Nous croyons que, non seulement le com mandant en cuefmais encore les lieutenans généraux qui doivent être employés l'expé dition d'Alger, ne sont point encore nouimés. t Gaz de France. On lit dans le Courrier Français Un journal annonce qu'un nouveau proto cole vient d être signé, Londres, modifiant celui du (5 juilleteu ce sens, que ta Grèce est, désormais, formellement reconnue, par l<s trois puissances alliéesétat indépendant, sans au cune suzeraineté^nieoie r.ouiinale, de la Porte.» a 11 parait, dit ce jour- il, que cetle concessinfi a éle la condition de 1 acceptation du prince de Cobpurg, et la dot qu'il apportera la nation qui va i'adôptor pour son rot. L'affaire de là royauté serait ainsi, dvfinitivéhiènt, terminée. Nous croyons savoir que le prince Léo- poid n 'a point encore fa h de leponse officielle la pioposition q ti lui a été communiquée, au nom des trois puissance signataires de la con vention du 6 juillet, 1827, et du 22 mars, 1829. Quant Ce dernier point là Gazette croit pouvoir assurer que le Courrier Française est dans l'erreur. L'expédition d'Alger n'est plus une fiction maritime: on nolise, on arme en flûte. Ce n'est point devant les chambres, c'est devant le dey que M. de Bourmout va défendre son honneur, si peu galamment attaqué. Des mecréans pré tendent qu'il y a du cordon sanitairesous cette réunion de ot>,ooo hommes au* ordres de M. de Bouimont; que la politique du 19e siè cle n'est pas chevaleresque ce pointqu'elle fasse de tels fiais, pour aller punir un corsaire, que de si grands armemens se préparenteu prévision de combinaisons plus positives: il ne faut pas moins de btijdoo hommes disent les incrédules pour fonder un royaume au Me xique, ou, en Frauçe, une majorité. La Bussie qui guette, n'a fâché sa proie que pour mieux la ressaisir; elle fait preuve d'un admiiabie instinct politique: pendant qu elle signait Je traité d'Andiiuople elle exé cutait une des plus considérables levées qu'elle ait jamais faites, et voilà qu'elle porte au grand complet les garnisons sur le Uauubç.! La Fi ance, l'Augleicrie et .Mahmoud travaillera lui four nir d<-s prétextes de guerre: c'est, peut-être en le redoutant, ce que souhaite la LUtssie. Don Miguel, petit protège du héros de VVa- tei!'»o, couvei t encore du deuil de sa mere dépenses six cent mille francs en une partie de chasse et de débauché, tandis que son lrère don Pédio, amasse iaboiieuseuient quelques piastres d'emprunt, poui armer une expédition conlie 1 usurpateur: elle auia lieu, si quelque banquiei y consent. Les journaux libéraux sont remplis de conjectures sui la dissolution de la chambre ils expriment aussi avec foi ce leurs vœux poui le changement du ministère. -- Les biuils les plus coutiatiictoires conti nuent a circuler sur le petsoiiuel de l'expédi tion d'Alger. On ciie deux traits de bienfaisance dans deux classes bien opposées. L'ambassadeur russe, M. Deniidolf, a donné, cette année, do,000 fr. aux pauvres de f'aris. Le eoilïeur Nardm, me du Helder a verse le produit de son pei gne, le jour du bal de l'Opéra. 1! a coillé 4ô dames, a raison de 10 fr. ce qui fait 400 fiancs, aux pauvres. Sept courriers de cabinet, de diveises puissancts, oui embarqué ou débarqué, a Calais du 14 au 21 de ce mois* On propose la fondation d'une association Londres dont le but avoué serait d'obtenir le sullïage universel, le parlement de trois ans, et Tes élections par ballotage Le pros pectus, pour cette société, est signé de treizi personues, qui n'ont souscrit, que pour les frais de l'impiession. Le premier article de cette associai on porte que chaque membre doit tous sa Tes, onsabilité contribuer pour une tiv. st. par an. Mès'sager. -- Le roi r çuen audience p uuciilière ■M. le v:ce araual uup yre et M. le chevalier Eynard. M. l'abbé de La Tour,quiapparlient l'une des plus aucienrfcs familles de Provence, a été nommé auinônt 1 du loi. M le vicomte Laînépair de France, esL dangereusement malade d'une fièvre inflamma toire. - Il paraît certain qtife tê prince Lédpold de Saké-Gbbourg a accepté* le ai feVriéif i souveraineté de la Grece. -- (Gazette -Le biocuS des pofts algéiiehs pat boS Fol- ces ihaiiiimess'étend aux ports d'Alger, Borla Btig.e et Or;iw. - La fonderie d Toulouse vient dé recevoir l'oiuie oe fcuûlt r six obusierS de 8 pouces lu ministre exige-qu'èl soient prêts le do av 1 il au plus tard dùt-oii liât ailler nuit en jour. -- Ou nous écrjt de Florence qti'tirie nou velle tragédie du piiète NiCcolmi, Ftocî/a vient d'y obtenir un tiés-giand succès.Ge sont les 1/épres Siciliennes arrangées.' Noire cor respondant ne conçoit pas comment la censure a laisse passer une piecb qui respire chaque vers, la lia die dti joug étiariger, et fan, a i'ui- déjiendance italienne, 1rs appels entraînons, te Ji est vrai ajouie-l-ilque de continuelles imprécations Contre la France servent de pas seport a l'ouvrage. - (Le Globe.) - Une ordonnancé du 14 féviier V.ieut, poii M Cinquième fois, leurrer les communes de l'espoir d une instruction primaire. On demandé, et l'on aura des fonds y mais on ne dit ui quels seront les instituteurs, ni ce qu'ils ebseigne- 1 Mit Le catéchisme et les docuinesultramort- t dues Est-ce encore une proie qu'on veut offrir aux frères et aux soeurs N'est-ce point assez, in fiancé, de 19,000 congrégations ou cou- vens El que fonten effet,Troyes, les dames du Sacré Cœur dé Picpus En foi me de punition monastique,elles infligent, une jeune fille de quatorze ans privée de tout vêlement, le Supplice d'une exposition, treize degrés de froid. On entend ses gémissemensque re dit la cianieur publique; mais un père foncti onnaire est contraient de les étouffer Nous avions des punitions correctionnelles et crimi nelles: nous avons des punitions monastiques. C'en est une bien cruelle que celle qui arme un curé dont le poignard attend au détour d'un bois,un maii qu'on l'accuse d'avoir dés honore. Ce mari est encore un fonctionnaire dont la ferveur ecclésiastique voulait dit-on h fréter lès poursuites. Serions-nous réserves voir fuir un second Mingral Ce n'est point Saint-Pélersbdmg. qu'il trouverait asyle: les gaicttes publîém que tontes les ambassades hisses ont reçu l'ordre de tie délivrer, que liés- pré'Cautibmieusemeiitdes passeports aux prê tres catholiques. Est-ce que la diplomatie au rait tenté d'envelopper de la soutane quelques espionnages de cour et de cabinet Heureusement, lè liaul-clergé s'occupe de plus dignes soins. Mgr. de ih.uin, dans une pastorale publiée en carnaval, l'occasion du Carême, termine, en permettant l'usage des œufs a la coque. Oaibre de Féuélon Le Temps. Londres2 février. Les débats dons la chambre des communes s tir la délimitation de la Grece, ont fait con naître plusieurs circonstances dont voici un résumé: La Grèce sera entièrement indépendante de la Turquie: mais eti revanche, son terricoiiO subira quelques diminutions. La frontière pat court actuellement, le côté méridional de la chaîne des montagnes qui, sedirigeant de l'Est l'Ouest, divisa l'ancienne Grèce, de la Thes- sahe, jusqu'à la grande rivièred'Aspropotaffios Ache'ous), qui coupe la ligne de frontière eu angles droits. On a le projet de clore, ici, lu teiritoire du nouvel étal, et de laisserdans la possession des Turcs, la province l'ouest do i'Aspropotames, l'ancienne Acarnanie. Cette délimitation renfermera tous le* moyens de défense. Lt territoire qu'elle embrasse com prendra le Pélopouese, l'AUtque la Beoue^

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 3