demain i heure pour continuer la discussion delà constitution. ANGLETERRE. Les représentans des cinq grandes puissan ces ont tenu le 4 une contérence sur les af faires étrangères. RUSSIE. troupes russes de la garde qui se trouvaient correspondance. Au Congrès National. j. Op YVomsdag 19 January i83i ,len 12 uren juist des middags zal'er opmbaerlyk verkogt wo: den eeislopde Hofstede gebrui .1 door Joannes yetmeulengelegen te Ypre buiten parochie S1 Jacobs by het gebuchte den yerlooren Hoekden bomber vau 58 koopen seboone Popelieren Boom. n en len i tweeden in d hei berge den y erlooren Hoek, iangs de calchiede van Yperen naer Zonne- b ke de faillie met 71 P|antsoeneu staende op eene par'y bosch groot 75 roeden 70 ellen geleg< u in de genieeDle Gbeluvellby de K.iuisEecke,at met redelykeu tydvau belaling en onder andere voorwaerden alsdan voor te jeztn. t 1 Londres g Janvier. - M. van de Weyerle négociateur belge est arrivé Douvres le 3i décembre et s'est rendu tout de suite Londres où il est des cendu l'Hôtel de Gould, Jermyn-Street. - Selon des lettres de la Hollandele roi attendait seulement que les arrangements re latifs la question financières entre lui et lés Belges fussent termiués pour rendre la cita delle d'Anvers. - Lés nouvelles dé Dublin du i« janvier Sont abîmantes, elles portent qu'il y a des troubles sérieux Lilkenny où les paysans se SOUt assemblés en nombre immense. Selon le Dubtin - E vening- Maille gou vernement a résolu d'appeler sous les armes la yeomanry milice cheval d'Irlande. -Le marquis d'Anglesey a adresssé une nouvelle circulaire aux autorités locales pour leur enjoindre d'empêcher tous les rassemble- mens illégaux et de prendre les mesures les plus sévères contre les perturbateurs. - L»e représentai des cinq grandes puissan ces ont tenu le 7, sur les ailaiies de la Belgique, uneconférence l'hôtel des alkufp étrangères. - MM. Sylvain van de Weyer et Vilain Xllll, commissaires belges ont travaille le 6, an bureau du ministère des affaires étrangères. Ces-messieurs ont rendu le 6 visite plusietns ministres du cabinet, dans leurs hôiels lespeciifs. - Il est évidentmalgré l'a^Jttiou de quel ques journauxqu'aucune dctnarcluî n'a été faite pour forcer les Belges, en ce qui ccncei ne le choix d'uu souverainbien qu'il puisse être Vrai que M. van de Weyei" ait i*cu Pai is l'a vis de chercher un souverain en Angleterre Comme ce diplomate est actuellement ici, cette question sera probablement bientôt décidée. On parle encore d'uue mauiéie positive du prince Léopold et certainement pour leur propre sû reté les Belges ne sauraient cko«jrtfia meil leur souverain. Coumertf^ii. - Le Courrier revient aujouid hui sur le dioixd'uu roi de la Belgique; voici ce qu'il en dit Jusqu'àce moment toute cette affaire E irait être enveloppée de mystère il est stu- menl certain qu'il se fait des elfoi ts pour as surer l'élection du prince Léopold par plus d'un personnage très-influent. On du que la plus forte objection est qu'il est pio'esutu niais le prince d'Orange l'est aussiet cepen dant lions savons qu une trés-graode partie des habitans respectables de la Belgique dési rent sa nomination. Pour le bouheur de ce pays nous ne pouvons imagiuer un meilleur choix que celui du prince Léopold. Le fait qu'il est protestant ne doit pas alarmer les ca tholiques les plus rigides car il n'appartient pas une école iotolfiante. - A la bourse de mercredi 5on a assuré que le roi de Hollande avaiteufm consenti recon naître l'indépendance de la Belgique. Pétersbourg2/ décembre S. A. I. leCésaréwitscb rend compte S. M. l'empereur par un rapport en date du 13 de ce moisqu'il est enlié le même jour dans le gouvernement de Volliynie, ayaul passé le Bug près de Wlodawaavec toutes les dans le royaume de Pologne. La trahison et la perfidie de la majeure par tie des troupes polonaises avaient ôté S. A. I. toute possibilité de rester plus longtemps dans le royaume de Pologne et déierminé sa re traite qui s'est effectuée par Pulawy et Lu- berloff. Le Gésaréwitsch ajoute qu'au moment du départ de ce rapportle ministre des finances du royaume de Pologne Lubeckiet le com te Jézieiski, nonce la diète du royaume*, qui se tendent S'-Pétersbourg venaient d'arriver de Vaisovie, et s'éiaiuut présentés chez S. A. I. Les mesures prescrites par S. M. l'empereur s'exécutent sur tous les points avec le zeie cotf- veaable et toute l'activîle possible. i Ce 7. A Monsieur l'Editeur de Propagateur. Monsieur Veuilleznous vous en prionsaccorder une place ■dans le plus prochain n0 de votre es timable Journal la pétition ci-aprèsque nous venons d'adresser au Cokc&ès National. Agréez etc. J. MaRTELLI L. DE WoLFF. Messieurs Le Congrès National de concert avec le Pouvoir Exécutif, s'occupe, avec toute la sollicitude et toute l'équité que la Nation Belge est en droit d'attendre de ses Mandataires de la révision, de la réforme totale du système financier. Ce système, souvent exploité, et, presque toujours, aggravé, enveloppé qu'il était du réseau des interprétation* fiscales et de l'occulte syndicatlabyrinthes inex- 1 tricablepesa, de tout son poids, durant i5 années sur la Patriesur la Belgique opprimée, devenue colonie hollandaise. Un gouvernement bon marchépour nous sèrvir de l'expressionsi énergiquement simple du Congrès National lui-même, voilà, sans con tredit, le voeu de l'immense majorité de la Na tion. Déjà, Messieurs, vous avez posé les bases des nombreuses améliorations ou réformes qui vont surgir du nouveau système financier de la Bel gique des loisrien que des lois le régiront tout entier. Déjà, aussi, la Représentation Nationale a dé crété de notables diminutions dans un grand nombre d'ap^ointemens ou salaires de fonctions pu bliques. Le Congrès en a promis d'auties encore et sur une échelle plus étendue, au Peuple Belge; ce Peuple qu'écrasèrent, que foulèrent les im pôts les plus immoraux, les plus révoltans.... C'est cette occasion, Messieurs, et joignant nos faibles voix celles des habitans de Mons séance du Congrès, du 5 Janvier,)que nous prenons la respectueuse confiance de signalerau Concrés National comme une des réformes finan cières tout la fois les plus équitables et le plus unanimement désirées la suppression de tous appointemens ou salaires quelconques, alloués pour des fonctions municipales. Il serait inutile d'en déduire, ici, les motifs péremptoires ils sont de notoriété publique; ils découlent de toute l'économie du système électif, coordonné avec la magistrature municipale ma gistrature essentiellement citoyenne, tutélaire et honorifique. On ne verra plus, d'ailleurs, se renouveler, de nos jourssous le Gouvernement paternel de la Belgiquecette scandaleuse dilapidation des de niers publics, ni cette profusionnon moins scandaleuse que les hommes du pouvoir, ou leurs Créaturesavaienten quelque sorte, érigées im punément en impôts additionnels soinptuaires d'autant plus infâmes ou d'autant plus grevans qu'ils frappaient directement au cceur, les clas ses industrielles et moyennes de la société. Les hautes lumières, la profonde sagesse, le patriotisme, aussi ardent qu'éclairé et généreux, du Corsais lui suggéreront facilement les moyen» de concilier, conformément la constitution fon damentale d'un Gouvernement représentetiTf'ac- tion des divers pouvoirs provinciaux et commu naux, avec les intérêts et les droits bien enten dus des administrés et les légitimai indemnités dues aux administrateurs municipaux. Les sentimens qui animent le Congrès lui tra ceront également les voies, pour aplanirppur faire disparaître les difficultés qui'pourraientdu chef de-l'introduction de çette mesuré flè justiev dis— tribptive, et de haute-économie" publique "naître encore de l'état actuel des choses. L'initiative a été prise par un dçs Grands Pou voirs de l'Etat, par des haitts-fonctionnaires, par des magi'stiats mftnicipailx', au cœur désintéressé et éminemment patriotique. Cette initiative a été accueillie par les remercicmeiis par les béné dictionspar les vœux, sur-tout, de la Patrie reconnaissante.... Pourquoi le Congrès National, liésjsterait-il décréter comme mesure, comme loi générale, une initiative si honorable et déjàsi forte dii qqhcours nombreux net spontané de fonctionnait, res, élite des citoyens belges*, une initiative, d'ailleurs si en harmonie avec la générosité du Caractère national, et laquelle, nous nous plai sons le croire, il n'est àueuh "elgedigne d'être appelé l'exercice du màndat municipal qui déjà, d'avance, ne s'empfesse de souscrire de concourir de tous ses vœul!!! Quoi faisant etc.. Y près, 7 janvier, i83i. J AJARTELLI, L. DE WoLïf. 2. Dep zatunlag 2 2»len jaciuary i83t,ten een ure namfddag 1er zilting van bel Brstuer Oer Burgeflyke Godstluizenyi hei Belle- Godshurs, Rysselslrael te Ypre, zal overgegaen worden tôt de ôpenbaere yerkooping van de ciaschrevene parlieu Boscblaillie eo Plantsoe- uen le weten De taille ed plantsoenen staende în eene par- lie plamsoenboschgeheeleu de zes gemeten van de Hospicengroot ontrent 2 butidsrs 77 roedeo 3o ellen, liggende éeti weiuig noord van de Keik van Woesten, en aen deo zuidkant van de Steenstraeté verdeeld in twee bestek- ken, zuo volgt: Eeisten kuop zynde het eerste bestek ge- teekend N» 1, aen den westkant, groot 1 buuder 86 roeden 45 ellen, met 400 geteekende plautsoeneU. I Tweeden koop, zynde het tweede bestek geteekend N* 2, groot 90 roeden 35 ellen, met 227 geteekende plantsoenen. Deiden koop, de faillie en plantsoenen staende iu eene partie platitsoenbosch, gtnotmd de zeven Lynen of het Molenboschgroot 96 rueden 6a eilen, liggende een weinig noord- i uosl van de Kerke vau Wôesteu lauj.» den Viervoelvreg, met 257 geteekende plant -icti. Vieiden koop, de faillie en plantsoenen staende in eene partie plautsoenbosc1), geherten het âielengemetgioot outrent 34 roeden 44 elleii, hggeude digt by den raolen, met 79 ge teekende plantsoenen. f Tprts. Imprimcris ds R. GAMBART-MORTIERLibraire, sur U Grands-Place, vis vis de l'Hôtel de Ville.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 4