2 «ans y être forcée soit par l'intervention d'une puis- - On écrit de Tougresa5 août La gar- •ance quelconque">it par la force des armes, Le but nisQn de Mae^trichl fait tOUS IfS jours des sor- ostensible cic la rrancc étant de prévenir nos attaques r contre la Belgiqueil faut donc ou qu'elle y reste, l,e?' JUS<IU 3 PfeS.eul les Français D ODt |>as re- et empêche ces attaques, ou qu'un arrangement ptlS poste SI important de Heïderen UDe éq tiiiablc se fasse et que la paix soit conclue d'après lieue et demie d'icisur la roule de Maestricbt.» ce que la conférence a inébranlablemcnt arrêté dans les protocoles, et d'après ce qui a été accepté par nous. Que la France avait l'arrière-pensée de vouloir changer l'état des eboses en Belgique, soit en exi geant son incorporation tout entière, ou en partie convaincue, comme elle doit l'être au seul aspect de sa situation et de l'ineptie de son gouvernement, que la Belgique ne peut former un état indépendant, et il en résultera qu'une de ces deux eboses aura lieu} ou que l'Europe voulant le maintien delà paix atout - Les élèves de plusieurs collèges de France ODt cédé eu faveur des Polonais l'argent destiné a l'achat des prix. - Ou écrit de Tournay, a5 août: a Les 4oo hommes environ appartenant au lo« bataillon des tirailleurs francs plus connu sous le nom de corps de volontaires de la Meuse dit com pagnie infernale y arrivés récemment Tour- uay et casernes la citadelle, oui reçu hier prix,"consentira une cession partielle de la Belgique l'ordre de leur licenciement. Déjà Uu assez grand a la France, en partageant l'autre partie son gré, nombre SOUt partis pour retourner chez eUX ou en y instituant un gouvernement provisoire assez quelques-uns se proposent de prendre du ser- fort pour y rétablir l'ordre ou Lienen n'admettant ,a j- pai celtp combinaisonet en exigeant la retraite j* i c- r> absolue de, troupe, française.la guerre générale Le Choiera a diminue d intensité a S». Pe- éclateraj la question belge, de domestique qu'elle lersbourg aiOSt que dans toute la Moldavie. était entre nous et elle, deviendra européenne l'ai- - liance entre les cinq grandes puissances sera rompue, St. Nicolas, 24 août i83i la Russie, la Prusse, l'Autriche et l'Angleterre seront y A T IL UN ARMISTICE? forcées de se liguer contre la France, et le sort des armes décidera du dénouement. Les llollandois viennent de nouveau de Vio- Cortes nous aussi nous avons lieu de redouter cette hr La trêve. La nuit dernièreils sont venus en dernière catastrophe, et l'avant-dernier acte du grand jrojs colonnes attaquer nos avant- postes, la drame nous mettra dans une position difficile, mais «flror/lD*. Nog. gar(JeS civjques |es Qnl rept)US_ toujours il amènera un dénouement,et nous aurons r„__ 11 encore des chances de salut lors même queces chance, se* jusqu a St. Jean Sieen. Ils oui abandonne auraient été perdues pour nous, soit en acceptant un de leuiS morts: nous 11 avons eu tu tues nt le. .8 article, et en nous y soumettant, soit en con- ^lessés. Mainleuant que les gardes civiques des tinuant de rester inactifs l'arme au bras, comiu®^,autres districts sont renvoyés dans leurs foyers, nous l'avons fa,t pendant dix mois, et en consuraan froulières sont entièrement dé^aruies, et les toutes nos forces tluns cette inactivité ruineuse. il* 1 1 Nous pouvons donc ronclure que notre campagne habitaus s eu inquiètent. Loin de racomraoder en Belgique nous fournit pardessus tout l'avantage les digues comme le disent certains journaux, de pousser au dénouement qui nous est nécessaire. D. les ennemis mettent des planches devant les OtF- Outre le caractère officiel du journal d'où nou. vtrtures pendant la marée basse pour empêcher extrayons cet article, nous croyons qu 1 mérite )es eaux Je s'écouler, de manière que l'iuoiida- tT^lPIes arttfrùTJtre^Drn'es^utre" que augmente de jour en jour. On va encore en M. Verstolk van Soelenle ministre des affaires barquette de Uurchl a Calloo. Le fort Me. Ma- étrangères. «1 fortifié on le rend pour ainsi dire impre- - Uu respectable viellardM. F. Opsomernable. Il semble que le district de St. Nicolas ancien maire de la ville de Dixmude, ne pou- est hors la trêve. Les victimes de Tiuondatiou vanl se rendre aux frontières cause de sou se désoleut, et les habitaus de Calloo se deman- grand âge, a fait présent au gouvernementdent s'il ne font plus partie de la Belgique que lors de la reprise des hostilités d'une belle ca- la France protège. L. rabuie et «le tiois bonnes arquebuses. - La fixation du salaire pour la formation Nous nous sommes plaints hier de ce que, des états de recensement de la population dans tandis que le roi de Hollande lève des troupes la Flandre-Occidentaleest portée par les étals- et forme des campsnos ministres dégarnissent députés de celle province un cents par ame les frontières; La lettre suivante fera voir si de population de chaque commune. Celte dépense sera imputée sur l'excédant de chaque budget communal de t83i sauf rappel dans celui de 1883. nous nous sommes plaints a lôfiï Garni, 26 août i83i* Je reçois l'instant un rapport de Watervliet - Le mémoire justificatif des opérations de qui m'annonèe que les Hollandois qui avohént l'armée de la Meuse sous les ordres du général commencé laisser écouler les eaux de l'inou- Daine est livré l'impressionil paraîtra et sera dation du côté du Capitalen-Ûam viennent' distribué lundi au plus tard. d'inonder de nouveau et l'exprèsqui m'ap- - On raaude du quartier-général français porte celte nouvelle me dit que ce malin 3 (Tirlemont)a5 août a Nous partons demain heuresou tiroit lë canon dans la difeclfoh dë' pour Nivelles la première étape se fera Lou- nos écluses. vain, la seconde Wavre et le troisième jour -Le directeur de wateringuesdo bosch. nous serons destination, attendant de nou- - Le 38, est arrivé A sseuede ou déserteur veaux ordres. de l'armée hollandaise venant de Philippine - On mande de Tirlemonta5 août M. le avec armes et bàgàgfei.' Ses compterions l'Ont' maréchal Gérard, ayant présenté M. de Ponté- poursuivi jusque sur la ligne des frontières, coulant, l'un de ses aides-de camp, au roi Léo- - On écrit de St. Nicolas, 37 août: Des rim- pold celui-ci dit Nous avons daus l'armée seignemens certains viennent d'être pris sur les un officier de votre nom, qui s'est très bien barbaries et les ravages commis par les IloHan- baliu et a été blesssé. - Sire c'est mon frère, dais dans la cômnrtune dé Calloo. Il en résulte répondit M. de Pontécoulaut. qu'ils ont dévasté ou brûlé 53 fermes ou habi- - Le roi témoigna l'espéraoce qu'il avait de tations, et assassinés plus de ao habitaus. Ces pouvoir être utile un brave qui a offert deux cannibales n'ont respecté ni l'âge, ni le1 sexe; fois son bras la Belgiqueaprès avoir voulu ils ont impitoyablement massacîé des vieillards, vetser sou sang pour la cause poiouaise. des femmes,de jeunes filles, et même des eufans âgés seulement de deux trois ans les cadavres étendus encore sur le terrain eu fournissent la preuve. Car le respect des morts, ce seuliaient répandu chez tous les peuples, est également éteint dans ces aines abâtardies: leur inhumanité les a pot lés si loin, qu'ils ont refusé aux parens de leurs victimes le triste soin de leur reudre les dernieis devoirs. Voilà les horreurs qui se sont commises au milieu de l'Eunope dans uu sièclequ'on appelle le siècle des lumières et de la civilisation - Les Hollandais ont entièrement pillé et ra vagé le village de fcermpt (Limhourg les dé tails que le Courtier de la Meuse donne sur ces scéues de dévastation, font frémir d'Itor- renr. La seule nuisait de campagne dë M de Stockhem a été épargnée, grâce l'adiesse d'un domestique. - Uu jageau tribunal de H.tsSelt, M. Geysen, raconte qu'en sa presence M. f^leminkxmé decin en chef de l'armée, dit M. l'intendant t)u Faurele jour de l'affaire de Hout-Halen: Nos soldats se battent, et depuis vingt-quatre heures ils n'ont pas reçu de vivres; faites donc des réquisitions de bêtes cornes, les bourgeois se chargeront avec empressement du soin de les tuer et de les cuire, et moi je les- ferai trans porter aux dillêrenscorps, dans lés foWg'onsdè mon ambulance. A quoi M. l'intendant du gé néral Daiue répondit: Je ne veux point pren dre sur moi la responsabilité d'un pareil fait- - Un hollandais s'est présenté, il y a quel ques jours, en cette ville (Ostendé) ef s'y ést annoncé comme devant recruter des marins des tinés pour Rotterdam. D'abord arrêté par la po lice du port, on s'atteiidaif le voir traduire devaDl les tribuuaux ou attendait avecempres- semeut un exemple nécessaire. Mais point du tout: aussitôt relâché que pris, il s'est mis eu route, le a5, pour Rotterdam, emmenant, sur un navire hariovrieu frété cette fin, une cer taine quantité de raarius, recrutés et enrôles Osietide même. Corresp. de VIndépendant. - Voici quelques détails sur l'entrée du jirince d Orange La Haye. Nos lecteurs pourront ju ger par là quel degré de servilisme la natiou batave est descendue: Une personne ariivée de La Haye annonce que la réception la plus brillante a été faite au prince d'Orange, le a4 de ce mois, jour de l'anniversaire du roi. Il a fait son entrée dans une calèche ouverte, ayant ses côtés la prin cesse d'Orange et ses fils. Le freuple a détélé les chevaux de sa voiture et l'a trahiee travers- les rues de la ville, qui étaient ornées et couver tes d'arcs de triomphe, jusqu'aD palais du roi, qui es», venu sa rencontre jusqu'à la pOite du palais et s'est jeté dans ses bras en'Satiglortaiir. Farlout on lisait des inscrijitions; dans lesquel les on comparait le prince César, NrtpMéori et Wellington. Le soir la ville a été illuminée; la famille royale s'est rendue au spectacle, où les plus vives acclamations ont accueilli la pré sence du priuce. Le prince Frédéric est pies«jue oublié. - On écrit de Constanlinople, 10 juillet: Depuis trois jours sa hbutesse est de retour du', voyage qu'elle a fait jHffir visiter les Dardanel les et Andrinople. Elle a été rrçtie dans sa ca pitale avec toutes les démonstrations de la plu*, vive allégresse. La Gazette (Fsfugsbourg a annoncé qjie Izet-Méhémet, pacha', commandant la division des troupes régulières soùs les ordiesdu grand visir, avait éprouvé un échec dans son o jiédttiwi

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 2