(3) il est àcraindre que le retour des pluies n'amène tîans».. fondées, puisque fondées il y a. - L'écrit le renouvellement de son activité. dont J* s a6lt d»visé en U la plupart passable- ble y, qui pourrait avoir pour résultat l'inonda tion de la cootréeparce que l'éboulemcnt, s'il avait lieu intercepterait probablement le cours - Lundi dernier est arrivé dans la place de ™ent ongs' en-coniacre l0- *et ce ne "ont- pdI eî de l'A a. Douai un officier belge, pour y recevoir 5o,ooo - Les rapports qui sont parvenus la Mar- fusils que le gouvernement français cède celui l'iniquela suite du réçil de l'événement de de la Belgique. la Barbadeque l'on pouvait croire exagéré - Il arrive Paris beaucoup de familles ri- dans les premiers motnens confirment malheu- ches de Vienne et de Berlin, qui ont fui devant reusement les détails les plus aifigeans. Trois le choiera. mille personnes environ ont perdu la vie dans - Un voyageur arrivé récemment delà Prus- la nuit affreuse de l'ouragan. Les navires sur se affirme que toutes les autorités de ce pays, tement nommés: du lendemain. -Il y a plus: le 3» rade se sont perdus les habitations de l'île ont et même les aubergiste, ont reçu le signalement ,ne ten<* a nen de moins qu'à insinuer qu'un peu disparu avec leurs récoltes une partie de leurs du célèbre Lelewellmembre du gouverne- mieux traitées par l'exploitation oppressive de l'é- - t- )eurs esclaves et de leurs bes- ment national de Varsovie, et chef de la cons piration qui éclata le 39 novembre, avec or dre de le faire arrêter. -Le roi a reçu samedi, onze heures du ma tin en audience particulière, M. Le Hou, mi nistre belge. Cette audience a duré une heure et demie. Aujourd'huideux heures le même propriétés tiaux. Le gouverneur de là Martinique touché du sort des malheureux babitans de la Barbade, 8 envoyé la corvette Vlsis avec des approvi sionnement et tin fort équipage, pour offrir secours aux autorités de l'île ravagée. .Ou di sait au départ du navire le Marsde la Mar- ministre a été reçu de nouveau par le roi. Unique (23 août)que l'Ile Saint-Vincent avait éprouvépar l'effet de l'ouragan une partie des malheurs qu'on ayait a déplorer la Bar bade. - On lit dans la Gasette l'extrait suivant d'une lettre écrite un ami par uq homme que la révolution de juillet a forcé de quitter la France, et qui a été atteint du choléra sur la ANGLETERRE. On lit dans le Morning-Herald ce qui soit: Il n'y a pas de doute que les affaires des Pays-Bas ne soient prises en considération sé rieuse par la conférence des ministres des gran- terre étrangère. On a lieu de croire que l'auteur des puissances Londres, et qu'on ne puisse s'attendre voir bientôt un traité de paix défi nitif conclu, soiis la médiation de ces arbitres entre la Hollande et la Belgique. peu. A la requele de^la^COuferenCCYleS pleni- d'un cas où, sans s'astreindre, comme un serf la Limbourg appartiendrait a la Belgique, eu que soient, d'ailleurs, leurs antécédens, les digni— 1 1 x. j- talres non promus en rang. Et nous sommes auto ont été si pénibles que je n'ai pas encore recou- V°q"eJauwi inadmijsibles ^1°°^ Peu°°uL importe vré le sommeil, des soins affectueux sooius chez qui je si— r'° .....lu .-J, ,j'u0 écha0Se de territoire. Il a.outa que r—r— çhao<*s de b contagion. A mon grand regret, ^Iges devaienfse charger de i6,3.. de la f."' ^'ru U maîtresse de te mars™, et ope de ses femmes que la Hollaode repreadr.it se. limitesde m 8jai. D,e ®Sr,even®ent atteintes, |-q0 tous en obtenant une extension dans le guerre. On nous taxera, encore moinsd'applaudir Que de familles en deuilque de tristesse et Limbourg qui lui assurerait les deux rives de k certaines scandaleuses promotions. Déjà, nous le* de cette lettre est M. de Montbel. Je suis en convalescence du choléra dont j'ai été atteint le i4 septembrejour de la première invasion de ce terrible mal. constitutionune vie très-: d'une forte dose de l'infusion mélissej'ai été du petit nombre de ceux qui m1n.i!d"d#»V n'ont pas succombé. La Providence m'a fait u s :mLnil, r le LtimDOUftd nuuaiiicuiiiaii o la iweiuug, V.U triompher de cette dangereuse epreuve. Le jour omre piusie5ursTndroits sur la rive gauche de meme, sur 110 malades. g5 avaient succombé, j'Escaut, en offrant toujours une indemnité. Le Des vomissemens ayant rétabli prorogeaient la pléDipoleDljaire hollandais, de son côté, a in- respiration ,e n ai pas_soufïerlmais les suites nr0t0,0ies. en avant soin d'en exaoé- enclaves, selon lequel presque tout de désespoir on rencontre Le fléau qui semble se jouer avec une amère dérision de tous les calculs de la prudence humaineest venu écla ter dans le sein de la ville même, dans l'enceinte, la mieux défendueil a choisie ses victimes au Sein de l'opulence ou du moins dans la vie aisée. Des faubourgs et les classes malheureuses ont été jusqu'ici presqu'â l'abri. Les princesses Est- hérazyGuilay, Mitronwki, le comte et la comtesse d'Averspergles comtes LatourHa- Juckles vice-présidens des conseils de guerre «t des finances, le commandant de la place et une multitude d'autres personnes marquantes ont été enlevées. Mais tantôt la maladie agit len tement tantôt elle dure deux heures. Dans l'état des espritsje crois qu'il a été Limbourg qui I la Meuse jusqu'à Visé. Cesdernières prétentions furent cependant regardées par la eonféreuce comme d'une nature bien extraordinaire. avantageux que la maladie atteignit plutôt les Vous aves cru devoir faire précéder,'de ce qui suit, classes élevées. Ainsi sool tombées les préven- l'écrit de votre Correspondant L- Toujours manifesté nu sentiment d'affliction lorsqu' la vu ™U°M nou\ 7,7" iïlLt'Z* ia mort moissonner ^les premières maisons de la B venjr ieur adresse! - Et moi, aussi, Monsieur Ville. La maladie s'est calmée depuis quelques je m'étaie de cette espèce de profession de foide jours parce que le temps est magnifique mais YQtre part. Je viens réGlamer contre les réclama— A Monsieur l'Editeur du Journal d'Fpresl* PMOIAMMBE. plus courts) discuter sur des évènemens, des cau ses et motifs, et sur des faits, dont, en thèse, générale, nous admettrons, volontiers, pour abré- fer, si non la véracité, au moins la plausibilité. 'outefois, il nous peine de voir M. Z. prendre, si chaleureusementpartie pour n'en pas dire d'a vantage) les homme9 de septembre, quels qu'il» soient d'ailleurs, tandis que, du moins implicite ment il-préconise ou justifie les hommes si jus— Londres, 8 octobre, par l'exploitation oppressive de l'é tranger le» braves corps d'officiers et de sons-offi ciers belges n'eussent passeulementhésité plus long-temps, se raillier la cause nationale, ta combattre, sous le noble drapeau tricolore; la ty rannie hollandaise mais encore, qu'ils eussent fait; cause commune avec la tyrannie, et, fils ingrats et parricides, coopéré l'assassinat politiquede la Patrie! (C'est ce que corrobore encore le 5*.) - Nous ré— Eudions, de toutes les forces de notre âme, une sem— lableimputation; et nous la répudions, sans crain dre un démenti, au nom de la brave et loyale armée belge tout entière.... Du reste, loin de nous de pré tendre que M. Z. l'a lui ait voulu faire, cette impu tation directementni indirectement mais c'est une argumentation que l'on pourrait tirer de» considérons qui, sans doute, sont échappés lu chaleur de la rédaction ou des souvenirs. - Quant aux autres considérations de M. Z., nous nous per mettrons en les abordantd'écarter toute question de personnes: pour nous, nous n'y verrons qu'un# question ou des questionsdes principes. Partant de là, nous dirons que, d'elle-même, la guerre est un cas exceptionnel: et ce seul argument nous suffi—, rait, et de reste, dans l'espèce- Nous ajouterons, u cependant, que, militairement parlant, il est plus els ou tels règlemens organiques ordi— Gouvernement peut (et doit même), sans commettre des passe-droitetc., récom penser, par la collation des grades, etc., les services reiidus l'État, etc.: collation qui, selon nous, ne K 1 •- blesseni ne déshonore, en quoi que ce soit, quels risés croire, fortement que c'est, ici, le cas.) Ea définitive, les mesures, soi-disant rémunératoires que, dans ces derniers alinéas, propose M. Z., sont A - ir -aixi - - avons signalées diverses reprises par exembletel» capitainesou peù près, métamorphosés en géné raux etc. Mais, en tout état de cause, nous noua garderons bien de jeterau moins ingraternentla pierre aux hommes de septembre etsi nous cen surons, même avec amertume, les actes duministère n'importe lequel c'est pour des principes (grief* réels) et non pas pour des individualités. L. os Wour. Viennea6 septembre. CORRESPONDANCE. A Monsieur l'Éditeur du PaorsoiTiua. ce if octobre, i83i. Monsieur J'attends, de votre impartialité, et de l'intérêt que vous portes la chose publiquel'insertiondan* un de vos plus prochains numéros, des Obsixvatioss suivantes. Je lis, dans votre n° d'avant-hier12, Coxaas— rosDANcsune Lettre (ou Article), la date du 4 relative un soi-disant passe-droit dans l'ordre --t- graduel, ou successif, de la hiérarchie militaire. lions dont OH avait imprégné lev peuple qui a empressé de communiquer, au Public, les récla- U 1 j 1 d'insérer la lette suivante. Puissent ces lignes par- Ce i5 octobre. Monsieur Je lis, dans votre n* «370 mercredi, 5rubrique Ypres - <r Déjà des bandes armées circulent dan* a cette province,et tentent des vols et des assassinats.* - Ce peu de lignes sont pénibles, alarmantes.... Fort heureusement, la distance, ou la peur, aura grossi les objets*.. Du moins les bons citoyens se plaisent le croire: car il ne doit pas en être autrement. La Justice, sans doutenonobstant son bandeau, veilla constamment P.* Elle est debout, la balance et 1*

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 3