ses facultés intellectuelles et d'une bonne repu- nom de leur favori M. Werbrouck-Pielers que ce qu'on prétend par le paquebot d'aujour- tation, a le droit, soit par lui-même, soit par ses trente fois pendant que l'on en connaît soixante d'hui La Haye. représentans, de votre librement sur le chiffre et dix pour le digne M. de Marbaix sur une Sa Majesté vient d'autoriser l'élection de la desimpôss, leur nécessité, et le mode de leur centaine d'électeurs. On dit que la suspensiou belle et riche fondation de bourses d'études, répartition. de M. Van Hombeéck de ses fonctions de sé- crée par M. Mosselman ancien échevin de la 6° Pour que les choix des représentans du cretaire de ladite commune qui avait eu lieu ville de Bruxelles, peuple soieut libres de toute influence, il faut la veille de l'élection, a contribué beaucoup Un arrêté de Sa Majesté, en date du i a de que l'on vole au scrutin secret. La capacité et la ralentir l'élan donné par le parti battu, et qu'au ce moisaccorde l'école de musique de Liège dignité morale, et non la propriété, doivent contraire elle a beaucoup réveillé et animé le le titre de Conservatoire Royal de Musique. i— i a patriotisme des gens bien pensans. être les litres la représentation législative La durée des parlemensne doit être que d'une ttDuée. Nous déclarons que ces principes sont essen tiels, la protection de nos intérêts comme hom mes appartenant aux classes ouvrières: ces principes peuvent seuls nous garantir la jouis sance des fruits de notre travail et nous ne se rons jamais satisfait de la promulgation de lois qui ne reconnaîtraient pas les droits que nous avons énumérés dans celte déclaration. - Les Hollandais ont ouvert les écluses de Cads-Vliet et lè pays est innondé aux envi rons du Sas-de-Gand. - Un officier, accusé d'avoir lâchement aban donné son poste au Sas-de-Gand a été con damné la dégradation. - On lit dans le Slaats-Courant Dans une feuille allemande très-répandue, on lit une lettre de Loudre où il est dit a Ou a L'escadron de cuirassiers, en garnison Bruxelles depuis quelques tempsa reçu hier maliu l'ordre d'aller rejoindre les escadrons de guerre Matines. Il est parti dans la journée. t - On croit que lord Durham partira aujour- Ahu (le reconnaître 1 opinion des classes ou- long-temps prétendu que la couronne de lad>hui ou demain pflris r Uem vrieres dans tout le royaume, ainsi que celle Grece aurait été offerte une certaine époque sir G> Hamilton secrétaire de l'ambassa- des personnes qui la partagent, nous convo- par la conférence S. A. R. le prince Frédéric dg an„|aise Bruxelles, doit se rendre dans quous une assemblée publique des classes ou- des Pay-Bas; mais il n'en est pas ainsi, quoi- qU'e|qQes jours Paris Idem vrières de Londrespour lundi7 novembre, que ce prince ait fait des démarches ce La n0UVelle du rappelpar son gouverne- Nous pouvons assurer a nos lecteurs que „|ajsà La Haye se confirme. - La presse ne peut signaler trop vivement - Par suite du transfert du quartier général Bois-le-Duc ceux des différentes divisions également changés. Celui du lieutenant-géné ral Van Geen sera établi Tilbourgcelui CORRESPONDANCE PARTICULIERE. La prétendue réponse du roi de Hollande aux s4 articles de la conférence de Londres, pu blié avant-hier par la Gazetteet reproduite 1 apathie de messieurs les sénateurs, qui depuis du lieutenant-général duc de Saxe-YVeymar deux jours De peuvent parvenir compléter le Boxtel. nombre fixé pour les délibérations, quoiqu il pju Des lettres venues de Londres, eussent été prévenu des long temps du jour et qUj méritent une entière confianceannon- de la reprise de leurs travaux. Il y a de la part ceDt qu'on y attendait M. Vaudeweyer et Par tous 'es journaux est une mistification d'hommes honorés des suffrages de leurs con- qu'aussitôt apiés son arrivée on fera connaî- déboursé. Elle a été apporté de La Haye par citoyens oubli complet de leurs devoirs. Il nous tre Bruxelles les démarches communes un spéculateur fameux dont le séjour en Hol- semble que si des intérêts particuliers sont en des puissances pour la reconnaissance de la lande a donné lieu récemment aux conjeclu- opposition avec les fonctions de quelques séna- Belgique. res des feuilles publiques. On assure et nous teurs ils doivent donner leur démission on jvj. ]e colonel Chartrie de la Fosse est parti répétons ce bruit comme très-accrédité que les remplacera par des gens qui comprendront jjjer p0ur parjs c'est d'accord avec le roi Guillaume lui-même et sauront mieux remplir leur mission. Nous éviterons ainsi le ridicule qui s'attache chaque jour d'avantage au troisième pouvoir de l'état. - Le bruit de la nomminalion de M. le comte F. de Mérode au département des affaires étran gère circule en ce moment Bruxelles. On écrit de Bruges, 10 novembre: Le bataillon de la garde civique d'Ypres et des environs, est partie hier d'ici pour Malde- ghera. - Hieront eu l'honneur d'être reçus par le Roi sir Robert AdairM. Hamilton lord Durham M. le ministre le Hon et M. le géné ral comte Ëelliard. Il y a eu conseil des ministres 8 heures. que M. Ouvrard aurait médité ce coup de bour se qui devait résulter de la publication apo cryphe de la Gazette. - On nous écrit de Lille, que des lettres des frontières font mention d'une grande quantité d'étrangers qui rôdent sur la frontière et sur lesquels le gouvernement a des soupçons on les croit envoyés par la Prusse pour lever les C'est sans aucun fondement que le Courrier plans de nos places fortes du nord, de ce matin annonce que M. Ch. de Bror-ckere, Gn va publier incessament un nouveau Le bataillon des gardes civiques de Courtrai tout en restant ministre de la guerrecesserait journaliulitulé le Polonais. Ce journal sera et des environsen garnison en celle ville, d'être membre du conseil; nous ajouterons rédigé par des réfugiés de Pologne, et le gain a reçu hier son uniformeconsistant en une que le plus parfait accord n'a cessé de fégner en sera destiné soulager la misère des malheu- vesle verte un pantalon noir et un bonnet de entre les conseillers de la couronne pour toutes reux Polonais échappés la tyrannie russe, police. Ce bataillon partira dit-ondemain les grandes mesures qui ont été récemment PaI"le de nouveau d'une dissidence pour West-cappelle. prises. - On nous mande de Berchem, commune une demi lieu d'Anvers, que le paru patriote 0„ m sui daDS |e Coum„ hi ■vient d y remporter une victoire signalée sur du les partisans de l'ancien système. U(( rès.dÎDée un conseil de cabinet Le q devait avoir lieu 1 élection d un nou- r - dans le cabinet anglais. C'est toujours lord Palmerston qui est l'objet de la haine de ses collègues, et surtout lord Grey. Il paraît même que ce ministre a offert sa démission au roi mais qu'elle a été réfusée. Cette dissenlion vient de la nommination de sir Frédéric Lamb L6 11 uevdll dYUli I1CU 1 C1CLUUU U UU UUU*" r e 77» rr VILIJI UC Id liUUllillIirll 1UU UC 311 X ICUC1IL XJCJU iaa i_ r .3 été t6DU 311 J?OTCISTI— UftlCC 6t UflC CODIC"" r r i 1 p i tj i veau bourgmestre* Les anti patriotes taisaient A - j comme représentant ae la Grande-.bretagne a les cent coups et cherchaient effrayer les v Vienne. Cette nommination fut faite par lord bons campagnards par des propos plus ridi- e 01 e.®a e avoir Ieu)> Grey sans consulter lord Palmerston, dont 1 ALe meme journal contient 1 extrait suivant ^'intention était d'y nommer cette ambassade du Morning-Herald son frère l'honorable W. Temple. Une autre conférencequi a duré plu- - Il y a toujours beaucoup d'intrigue au sieurs heures a eu lieu hier après-midi au sujet des 34 articles La Haye. L'ambassa- Grand a* été leur élonnement quand au dé- ultimatum a été rédigé pour être proposé au roi de Hollande la promesse de s'en rapporter pouillement des bulletins ils n'entendirent le gouvernement hollandaiset qui serait portéla décision des étau-ri'"""-"" —:~J- cules les uns que les autress'il donnaient leun voix un autre qu'à l'ancien membre du congrès, qui, pour le dire en passant, se démit de son mandat, apiès avoir assisté pen dant quelque temps ses séances 3 L'Escaut. L'Indépendant - Un courrier est parti de Bruxelles avant- hier une heureavec des dépêches de l'am bassade anglaise pour sir Ch. Bagot, La Haye. sujet. ment, de sir Charles Bagot, ambassadeur an- cette dernière assertion est entièrement r L Emancipation. fp'hite- Conduit-Ho useune heure précise, afin de ratifier solennellement cette déclaration eten conséquence, nous exhortons nos con frères dans toutes les parties du paysde pro clamer ces principes le même jour dans des as semblées publiques tenues dans toute l'étendue du royaume. Moniteur. fausse. Paris 10 Novembre. L'Emancipation. Foreign- Officedans laquelle, dit-on, un deur de Prusse a tant fait qu'il a arraché du

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 2