Eh refusant de rétablir la Pologue comme I iiri aàvuinistrR, fe-c» ^pauvre iiabhû'Lr.dépendanf le très-liberal 'Journalrtes "Flandres et ce «oit dit en passantdans un Style qui visant au genre léger et bavinn'en trahissait que d'avantage la scliolas- tique gravité du pédagogue.... Aucuns diraient- C'était le petit bout d'oreille de la Fable) mais I'Union nous garde, tout jamais, de cette outre cuivance semi blasphématoire!!! Voks direz: A quoi bon tout ce verbiage? Au fait! - Au fait, soit! Je réponds: --C'est pour servir de passe-port obligé ma Corres pondance.... en vers correspondance, qui certes, vous tombanttoute crue et sans'dire - Ga re sur l'estomacpourraitfort bien comme tant d'autres), vous affliger outrs les nausées ordinaires de quel que, arthme.... ou dé tout autre gentil et bénin colla téral diminutifde la noble famille Choléra-morbus... pour parler comme eertain honorable député de nos provinces. - Voici, donc, ma Correspondancselle frise la chansonmais ce genre en vaut bien un autre.... Demandée, plutôt, Bélanger et nos faiseursJe réclame, de votre obligeance et de votre patriotisme, l'insertion, de mes complets dans un de vos plus prochains numéros. - Veuillez agréer etc. L. di VYovtt. CHANSON NOUVELLE. Air: volonté. Remontons aux impures sources, Peuple belge! de tes malheurs: (Quels hommes gorgés de nos bourses!) '1 u les dois tous nos rusEURS I Que cher te coûta leur jactance! Hélas! comme ils t'ont alléché! C'est le comble de l'impudence Gouvernement bon Marché Certes l'attrayante utopie Que l'on appelle: - Liberté Ces mots sacrés - Glorie Pâtre L'opprobre d'un joug détesté: llelges tout a dûdans vos âmes Rallumer l'antique valeur..,. Paillait-il que des inains infâmes Souillassent jusqu'à votre l onneur Trois fois malheureuse Belgique Que tu dois dévorer d'affronts Rendue ilote politique, Tributaire de MILLIONS, D'impôts et d'emprunts écrasée, Mise en coupe par tes Séjans Tu sers au monde de risée) Et de pâture aux intrigans Oui, c'est, là, l'excès de l'outrage, Pour quiconque a brisé ses fers C'est, là, le plus vil vasselage Dont on puisse accabler des serfs Braves du Pare noble Patrie De Septembre est-ce le soleil Que d'AouT la brûlante infamie Pour vous, soit l'heure du réveil! Sans doute, ils furent légitimes, Les Grands—jours de votre courroux Mais quel prix d'efforts magnanimes! Mais quels raissuRs pèsent sur vous'... Peuple fort la gloire t'est chère) L'honneur le veut: fais ton devoir Souffle: le vent de ta colère Suffit, pour venger ton pouvoir! Respect aux Lois - C'est la barre Où siègent tes Représentans, qu'il faut traîner, sans qu'on t'égare, De misérables charlatans! A grands cris, demande jusice: Qu'on rende compte de ton OR!... Attends-tu que l'Etat périsse? Qu'un Nassau sur toirègne encor Justice! - Belges! la Patrie, L'Honneurla Libertéles Lois Voilà le pacte qui vous lie, Et voilà, la suprême voix - 3 La tribune parlementaire Tonnera sans doute, avec vous..- Que l'on nous donne un Ministère, Digne d'un Peuple comme nons REFLEXIONS D'UN CAMPAGNARD SOLITAIRE. «t suivant qu'ils sont plus ou moins mêlés a d'autres, ils portent dans les os saillans des joues, dans plusieurs protubérances de Gall L p dans les facultés dont ces bosses sont les organes' et dans lenrs idiomes, les preuves de leur ori gine commune. Garde vous donc Autriche1 car ces peuples slaves s'étendent,en lignedroite depuis la mer du Nord jusqua près du cap Ma- La russie foule la pologne ses pieds et 1 or- tapan, la pointe la plus méridionale de 1 Europe, t-ueil de la noblesse moscovite neconnait plus de Toute la Pologne est slave, une bonne partie bornes elle veut étouffe! les idées libérales dans des silésienstoute la bohème, toute la moravie, le sang et elle y met une ardeur extrême, par- une grande partie des hahilans de la hongrie où cequ'elle ne peut trouver de manteau plus op- les slaves sont aborigènes, les hongrois, Mad. poitun pour'couvrir la mise exécution des gyars, étant des conquérans bien postérieurs, projets gigantesques de son Cabinet: il est toute l'Esclavouie, toute la Crealie, la Carniole, même craindre que les aristocraties prussienne le Frioul le littoral, la dalmalie, l'ex république et autrichienne ne se laissent prendre ces ap- de Raguse, l'herzogovinne, l'albanie; il ne reste, parences, sans en pénétrer le secrèt, ou sans en jusqu'au cap Matapan, que la grèce, que la vouloir scruter le mobile caché aveuglées qu'- russie a travaillée, soulevée abandonnée au elles sont par leur haine antilibérale, qui ne cimeterre turc et exitées de nouveau pour pense qu'au momentet qui amerail la perte de l'épuiser et la dompter plus facilement la u jeur indépendance, leur sujettiou. occasion, et où elle avait su placer en chef ce En donnent au Duché de Varsovie le titre Capo d'Istria, sa créature dévouée, le type de de royaume de Pologne, la russie a insinué la ruse grecque né dans les sept îles) et de le clairement sa prétentiond'y rattacher les pro- viuces séparées pour l'autriche et la prusse, maîtresse de tout ce royaume elle pese d'un poids iirésistible dans le balance européenne; si elle commence la guerre et que la prusse, oubliant le principe fondamental de l'opposition nalurelle, pat alliances, traités etc., etc., du jdus faible contre le voisin plus fort, se laisse suite sous le nom honorable Tourbarie et de l'astuce russe; pour faconnei peu jpeu ce malheureux peuple au joug mos covite. Voilà donc la part que devrait livrei l'autriche amie, sans parler de la turquie enne mie, dont les provinces européennes sont peuplées en entier ou eu très forte majorité pai des slaves. La Pologne autrichienne, la Haliczie ou Ga- entraîner a sa suite, sous le nom nonorame licie, une fois réunie au royaume de Pologne d'allié; elle aura, en cas de pins ou moins de celui-ci touche la hongrie, où la nobles» réussite, en indemnité réelle ou promise, du mécontente l'excès des empiétemens incessant duché de Posen que la russie s appropriera le du gouvernement allemand, ne demanderait pa Hanovre, la Saxe au tel paysqui arra été dans mieux que de reconnaître un Suzerain plu d'alliance opposée. La russie prouvera que la éloignés'il lui garantissait sa Constitution di Pologne dévastée et partagée en grande partie t ie siècle avec un roi indigène, fut il tributaire entre les favoris et généraux russes ne peut se Je u'ai euvisagé que la tendance russe; je n'a remettre, se repeupler et se civiliser la russe, pas parlé des embarras intérieurs de la prussee qu'eu trouvant des débouchés faciles pour ses <je l'autriche, en cas de guerre contre ies idée grains, ses graines, ses cuirs, ses cirespour du siècle; de la prusse Rhénane de l'italie, de les produits de son agriculture et industrie, et provinces polonaises de l'explosion des libé que la uature lui a assigné évidemment cette raux comprimés; je dois ajouter encore un fin le cours de la istule, l'euirepôt de lliorn considération: la Civilisation européenne serai et le bon port de Dantzick que le commerce par cette voie doit soutenir, relever, enrichir sa noblesse et alimenter le tréson public épuisé; avec la Visiule il faudra la Warta,qui se jeltant dans l Oder, ouvrira une seconde voye indis pensable; plus tard il foudra l'Oder même avec ses forteresses, pour défendre l'empire etformer une limite naturelle! La prusse, avant poste héréditaire estla civilisation pétrifiée de l'As* russe, murmureraalors, regimbera, menacera, ja férocité, la cruauté, la spoliation, l'esclavag exigetades indemnités prom.set des nouvelles, |e mépris des hommes; sa civilisation européens et la russie s'impatentera, se fachera froid, et ne date pas d'un siècle c'est une civilisation i lui adressera le a« volume de l'ouvrage, dont serre chaude, factice, rabougrie; qui s'est ai Napoléon lui a fourni le i«r lorsque, après rêtée la surfaceaux modes, aux phrases ht occupation des pays de démarcation et sa neu- miles, aux manières; mais qui n'a pénétré ni II tralite perfide, qui livra 1 armée autrichienne 1 prèsd'Ulin, elle eu reclama le prix, le Hanovre; et fuiieuse d'avoir été jouée par plus fin et plus fripon qu'elle, el;$ donna dans le panneau et alla se perdre Jéna. avant la révolutionla russie a mis en avant, en vices de sa civilisation artificielle, sans e diplomatie et dans ses journaux, un argumentconserver ni acquérir une seule vertu! L< dont on n a par calculé la portée; la Pologne, classes moyertnesy comptait peu, étant peu Don a t'elle dit, doit être unie la russie; c'est une breuses, par la défiance de l'aristocratie, q' branche du même arbre, c'est un peuple de la craint en elles et par elles ladifusion des lunW même souche que les russes, c est la même race; res les classes inférieures y sont des horoW1 or tous les peuples slaves sont dans le même cas, machines, des hommes tropeaux des born®1 sauvée si le royaume de pologne était rétabli indépendant avec un roi héréditaire. La nobles» polonaise civilisée depuis plusieurs siècles, ell a sauvé la Chretienneté des fureurs de l'isla misme; sa civilisation est naturelle héréditaire progresssive, européenne: la civilisation de 1 noblesse moscovite, sa civilisation naturelle seiiliniens ni le cœur; voyez les assassinats empoisonnements de leurs Czars, Czariunes etc etc.et dans cette transition d'une Civilisai!® une autre, qui s'opère laborieusement sous ne yeux, elle a gardé cette noblesse, tous les vtct de sa civilisation naturelle et adopté tous l<

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Le Propagateur (1818-1871) | 1832 | | pagina 2