ANNONCES.
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TRAITÉ PRATIQUE
31 -nV^ heu Ce nosveaux cas de choléra
ff.nnilurs i Uoobethî et South watk li -les
>deces depuis hiers'élèvent 5. l>e total d'in
dividus atteints est de a# et celui des décès
•de 4 a.
A Glasgow il s'est manifesté 3 cas de cho-
•lera-qui ont été tous suivis de la mort.
Le comte Roden est parti de -Dublin pour
Londres, avec une adresse des piotesiaus Ir
landais, qu'il doit -remettre S. M.
Les deux chambres du parlement ont adop
te le bill pour arrêter autant que possible la
.propagation du choléra eu Angleterre; un bill
semblable pour l'Ecosse a été présente et lu
pour la première fois.
- Choléra-moi busau i5 février, i G ma la
ides, 7 morts.
- On ne s'occupe plus guère ici que du cho-
Jé'a-morbus, et des suites que son apparition
Londres doit produire. Déjà il a airëte le Com
merce d'exportation; on ne compte pas ici le
riombred'entravesque le commerce vaen éprou
ver. Les ministres viennent d'envoyer àl'évèque
de Londres l'ordre d'intimer au cierge de son
diocèse de ne permettre, en aucun cas, qu'on
porte les corps îles personnes mortes du choléra
«Lus 1 intérieur de l'église, avant l'enterrement.
AUTRICHE.
Vienne 8 février.
Par ordre de S. M. l'empereur 16 médecins
en chef et en sous-ordre sont partis hier en pos
te pour la Galicie ou un typhus d'un carac
1ère dangereux s'est manifesté dans les cercles
de Bocbnie et Taruower et a attaqué plus de
10,000 personnes, militaires, paysans et bour
geois. On attribue ce malheur an grand ras
semblement de militaires qu'on a été obligé de
tenir sur les fuulières de Galicie. zeii.)
RUSSIE.
Pétersbourg4 février.
L'ffbeille du Nord donne dans des frag-
mens de lettre de la ville du Caucase Tatki
au 11 juin t83i,el du village Huddeu du
G septembre des détails inléressarts sur les
combats que les troupes russe ont eu soute
nir dans le Daghestan septentrional sous le
commandement du général Kochanovv avec
les montagnards de cette comrée.
43. Den Notaris VANI1EE le Liclitervelde
vraegt eenen Klerk met de morale hoedanig-
hedeu om Notaris le worden die kan werken
voor eersten Ivlerck. 1
4a. Vente de Taillis et Baliveaux
Le Mardi a8 Février i83a une heure de
relevée au cabaret occupé par le sieur Van-
denbroucke, au villaged'Holleb»kc, il sera ven
du publiquement le Taillis de huit ans avec
vingt huit Baliveaux sur une pente partie rie
bois de la contenance de a bonniers 3 perches
ou environ située en la commune de YVytschae-
le, aboutissant de levant aux terres occupées
par le sieur Pierre Leclerc de midi au chemin
du Sterkte de couchaut au bosquet et terres
occupés par le sieur Cuvelier et par Casimir
Alleweireld et de nord-est par un petit chemin.
Ledit bois est divisé eu six lots et sera vendu
avec terme de payement moyennant de donner
caution solvable. Qu'on le redise. i
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ObSER VATIONS pour l'emploi du Taffetas végé-
to-épispaslique de Mauvageservant entrete-
tenir les vésicatoires.
Ce Tallétats est composé sous différens degrés de
force désignés par numéro 1, 2, 3, 4-
Le N® 1 est le plus faible chaque numéro au-
dessus a un degré de force supérieure.
Le N° 4 sert ranimer les vésicatoires qui tendent
se sécher.
11 faut couper la feuille de Taffetats de la grandeur
du vésicatoire, et l'appliquer du côté brillant, eu
ayant l'attention de poser la main pardessus jusqu'à
ce que la chaleur la fasse adhérer au vésicatoire, et
en protégeant cette application par une bande <le toile.
Les premiers pansemens d'un vésicatoire que l'on
vient d'établir se font ordinairement avec du beurre.
Pendant les deux ou trois premiers jours qui sui
vront la création du vésicatoire, on emploiera de
même du beurre, que l'on étendra sur le côté brillant
du Talletas N° 1, pour en diminuer la force; on con
tinuera ensuite d'employer le Taffetats sans y rien
ajouter.
Il convient assez généralement de se servir du N° 3,
pour un vésicatoire formé depuis quelque temps.
Si l'on s'apercevait que la suppuration diminuât,
il faudrait employer de suite un numéro plusfort y
et. après en avoir fait usage quelquefois, on pourrait
revenir au numéro dont on se servait habituellement,
et continuer se panser alternativement avec un
numéro plus fort et un numéro plus faibley en
ayant cetteattention aussi souvent qu'elle deviendrait
nécessaire, il y aurait toujours une suppuration con
venable, et on éviterait que le vésicatoire se séchât:
un tel désagrément, qui pourrait être attribué au
Taffetas, n'aurait pour cause que le défaut d'attention
de la personne qui en aurait fait usage. Dans aucun
cas on n'a rien craindre d'employer un n° fort,
attendu qu'il n'y a point de catharides dans ledit
Taffetas. Voir les approbations de MM. les Médecins
Membres de la Faeulté de Médecine de Paris.
En étendant un peu de beurre sur le Taffetas N° 4,
on pourrait au besoin en diminuer la force.
Lorsque les différens numéros sont employés con
venablement on en obtient toujours l'effet désiré.
I! convient auisi d'essuyer la plaie légèrement, car
défaut de ce soin il pourrait se former des peaux
blanches qui nuiraient l'effet du Taffetas.
Comme tout moyen de pansement produit dans le
commencement un effet plus ou moins sensible, i[ est
bon de prévenir les personnes qui éprouveraient
quelques légères cuissons, qu'elles pourront conti
nuer d'employer le même numéro, en choisissant ie,
feuilles les plus minces qui ont un peu inoins d'action
que celles plus épaisses, jusqu'à ce qu'elles se
soient bien assurées qu'il est nécessaire qu'elle s
prennent un numéro au-dessous.
Les vésicatoires sont susceptibles de démangeaisons
plus ou moins grandes suivant l'âcreté de l'humeur-
si on en ressentait, il serait convenable de ne pas
attendre les vingt-quatre heures pour renouveler le
pansement, et on pourrait mettre parfois, pour
adoucir les démangeaisons, un peu de cérat autour
de la plaie, ou sur les bords seulement de la feuille
de Taffetas du côté brillant, avant de l'appliquer.
Si le vésicatoire faisait ressentir quelques douleurs
il ne faudrait pas les attribuer au moyen de panse
ment, mais la disposition même du vésicatoire, et
ce qui le prouve, c'est que, sans avoir apporté au
cun changement dans la manière de se panser, on
peut sentir quelquefois des douleursquoiqu'on ne
souffre point habituellement.
On peut conserver ce Taffetas très-long-temps
en ne l'exposant ni la chaleur ni l'humidité
et en évitant d'appuyer les feuilles les unes sur les
autres.
Chaque boite de Taffetas est feemée par une bande
de papier portant les armes de France.
Une modif cation du même Taffetas sert l'en
tretien des cautères.
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