3 hnn est allé chez le roi el cliez M. le duc d'Or- parable c'est que jamais une couturière ne On peut de même nettoyer les rubans de f 1.«xn pnl in /ii i./Af fin \'>r.loc urne 1 c mniwli/iii C léans. - On lit dans le Nouvelliste ce qui suit Nous voici le i novembre. C'est la première époque désignée par le traité dontavant tous les autres journaux, nous avons annoncé l'é change ratifié. Si l'évacuation réciproque des places occupée, par les deux souverains rivaux n'est pas effectuée les escadres partiront le 5 rais pu nourrir une pauvre famille pendant un de Spithead pour entrer dans l'Escaut. Quand mois avec l'argent qu'il faudra pour acheter pourra me faire une robe qui m'habille aussi salin et de gros de Naples unis les mouchoirs bien. - Allons folle de quoi s'agit-il - Folle c'est bientôt dit, écoutez-moi Mon mari me fait une pension pour ma toi lette et celle de mes eufaus ce que j'épargne sur mon budjet je le donne Eh bienj'au- de foulard les bas de soie, les cravattesles tabliers noirs;.... Maintenant c'est moi qui vous demande pardon de n'être pas plus amu sante. - Au contrairemadame, je vous écoute avec plairircar vous avez des consola- tic ns toutes mes douleurs. une fois leurs pavillons flotteront devant la ci tadelle, il faudra que l'opposition veuille bien se résoudre croire non-seulement au traité mais même son exécution. L'événemenls'approche. ANGLETERRE. Londres 3i octobre. Hier les ambassadeurs étrangers se sont de nouveau réunis chez l'un des ex-membres de la conférence e< y sont restés en délibération au- delà de 6 heures. Ils s'y trouvait le prince Lie- ven, le comte Matuschewicz le baron de Wes- semberg, le baron Bulow el le barou van Zuylen van Nyevelt. Ces différens personnages étaient déjà assemblés neuf heures du matin. La nuit dernièredes courriers ont été expédiés avec des dépêches pour Paris Berlin et St.-Péteis- bourg. - On lit dans le Courier Les bruits de l'entrée de l'armée française en Belgique se répètent chaque jour mais il parait que ia protestation de la Prusse a arrêté le mou vement en avant des Français, qui attendront quelques jours afin de pouvoir opérer cette entrée selon les règles. - Le brouillard était si épais Londres, dans la matinée du 26 que les piétons n'osaient pas se hasarder dans les rues. Les voilures étaient obligées d'avancer avec la plus grande précau tion et dès midi le gaz était allumé dans tous magasins. - Le vice-amiral russe Krusenstern a reçu de M. Herburg, hydrographe de la compagnie des Indes anglaises la communication suivante Deux navires marchands de* M M. Enderby ont découvertau mois de février 1831 une nou velle terre dans la mer du Sud. Il leur a été im possible d'en approchera cause des glaces mais ils l'ont cotoyée de loin pendant un espace de 100 milles de l'est l'ouestet son étendue est peut-être beaucoup plus considérable car ces deux bàtimens en ont été éloignés par une tem pête avant d'avoir pu la mesurer. La saison était déjà assez avancée et ces bàtimens sont restés au sud aussi longtemps que les glaces le leur ont permis en janvier et février mais MM. Enderby se proposait d'envoyer d'assez bonne heure|, l'été suivant deux bàtimens pour suivre cette découverte. La situation géographique de celte nouvelle terre n'a pas encore été rendue publi que mais je crois qu'elle doit se trouver l'est du méridien du cap de Bonne-Espérance. SECRET DE TOILETTE. - Ma chère voisineque vous arrivez en core propos Je pensais vous comme on pense Dieu quand on est dans le malheur. - Vous m'effrayez - Rassurez-vous ce n'est qu'un malheur réparable avec l'argent mais ce qui est irré- une robe qui remplace celle que j'ai perdue. Voilà ce que j'appelle un malheur. - Et moi aussimais voyons si je ne pour rais pas encore le réparer. - Le jour ou mon mari engagea ses amis de collège diner javais une redingote de gros de Naples couleur écrue, double pélérine je croyais éviter les taches en découpaut et en servant avec adresse mais je ne pus éviter la politique L'un de ces messieursplacé ma uroite, blanc de regret et honte, laissa tomber sa fourchette sur ma robe l'autre placé ma gauche rouge d'esperance et d'audace éclaboussa ma manche, et le domestique, qui écoutait la discussion sans la comprendre ren versa tout une saucière sur ma pèlerinemoi qui par le fait étais juste-milieu. Voilà donc ma jolie robe perdue! je sais bien que le dégraisseur me la nettoyera pour 3 fr., il l'attachera avec de grosses épingles et le corsage tiraillé en tout sens ne pourra plus me servir Je vous demande pardon de vous ennuyer de mes doléances. - Au contraire madame je vous écoute avec plaisircar je sais des consolations toutes vos douleurs. Faites découdre votre robe avec soin puis qu'elle vous habille si bien, prenez-en un pa tron exact avec du papier taillez dessus la première robe que vous achèterez, votre fem me de chambre sera assez habile pour la faire et vous aurez gagné sur la quantité de l'é toffe sur la façon et sur les fournitures de quoi augmenter vos économies en faveur des pauvres. Puis voilà ma recette avec laquelle votre femme de chambre rendra votre robe tachée anssi belle qu'une neuve. Pour une pies ou de robe de satin de gros de Na- foulard. 3o c. 30 70 Quatre onces de miel Cinq onces de savon noir Demi-litre d'eau-de-vie fr. 1 ao c* Lorsque vous avez laissé fondre le tout en semble pendant au moins vingt-quatre heures dans une cuvette étendez chaque morceau de votre robe l'un après l'autre sur une table de cuisine bien propre; trempez une brosse habit dans ce mélange brossez l'etoffe en droit fil alternativement dans le sens de la lisière et dans l'autre sens ayez une corde tendue et dans deux vasesdeux seaux d'ean fraîche des que vous avez brossé un morceauplongé-le sans le tordre en le tenant des deux mains par les deux extrémi tés dans le premierpuis dans le second se- seau d'eau étendez les morceaux en ayant soin de ne pas le mettre l'un sur l'autre aus sitôt qu'il n'égoulteut plus repassez-les l'en droit pliez-les a l'envers de demi-aune en demi-aune, pour imiter les plis du neuf, et repassez-les encore en appuyant avec force sur les plis. ANNONCES. 2 4o. Bestuer der Registratie en Domeinen. TERKOOPING VAN ROOÎttEN. Op Donderdag 22 November i832, ten 10 uren voormiddags, onder voorzitting van den Ouder Inspecteur der Watereu en hosscln u in de beide Vlaenderen en ten byzyn vau den Ontvanger der Domeinen te Dendermonde, zal'er in een der zaelen van bel Stadbuys te Aelstdoor den Notaris DEVIS wordeu over- gegaen, tôt de verkooping van de uavolgen- de aengevvezene koopen Boomen staende in het Domanieel Afflighem Bosch te weleu Gewoon [j832. Eersten koop. 82 Beuken [staende op de dreeve voor de poort van de gevvezene Abdye van Afllighem, daer onder begrepen eerien Beuke door den wind afgebroken, en liggende in den hauw van i83o. Op last dat den kooper [zal moeten openen langs de zelve dreeve op eene lengte van 56a metersen voorderj 00k zal leveren en doen planten 3ooo Elzen planlen zoo als bel bree- der is omschreven in het proces-verbael vau Hamering. Tweeden koop. io3 Beuken en 3 Abeelen staende op de zelve dreeve daer onder begrepen eenen Beu ke door den[ wind afgebroken en liggende op de noord oostsche barme van den Bosch. Op last dat den kooper de gracht zal ope nen langs de dreeve op eene lengte van 818 meters, eu voorder zal levereu en planten 3ooo Elzen planten. Onverkochte Boomen van het gewoon i83r 43 Beuken uilmaekende den zevensten koop staende op de Aelstenscbe Dreevelang den hak van i83i. Op last dat'den Kooper eene nieuwe gracht zal moeten openenj alwaer heden de tvveede reeke Boomen zich bevinden op lengte van meters, eene breede van 17 decimenrs 44o boveu 1 meter onder en op eene diepte van i5 deciraelers de aerde daer uytkomende zal naest de Bosch zyde geworpeu worden eu er zal eene barme van gemaekt wordeu deze werkzaemheid word geprezen op eene somme vau zeventien guldens sestig cents. Opgemaekl door den ondergeleekenden Onder Inspecteur m de beide lylaendcrcn. Ypereti den 25en October 1831. J. C. VANGRAV* G zien en goedgekeurd door.3.11 !a c'la(^e'ie' der Registratie en domeinen Ooslvlaetideren. Gcnt den 3o DE STEE.N

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1832 | | pagina 3